Jusqu’à la disparition du Colonel Youssouf Traoré arraché à l’affection des siens par accident de la route, ils étaient encore trois survivants de la célèbre junte ayant mis un terme au régime des pères fondateurs d la République du Mali. Ils ne sont désormais que deux. L’un n’est autre que le Général Moussa Traoré, le numéro 1 du Comité Militaire de Libération Nationale qui mène une paisible existence à Djokoroni Para depuis qu’il a bénéficié d’une grâce présidentielle. L’ancien chef de l’Etat partage le statut de survivant du CMLN avec un homonyme. Il s’agit d’un certain Moussa Koné, l’un de plus célèbres ministres de la Santé du Mali, qui connaît une existence beaucoup plus discrète dans son Bougouni natal. Comme par hasard, les observateurs relèvent que les deux survivants des tombeurs de Modibo Keïta sont les deux plus grands complices de la junte de 1968.
La Rédaction
On est aussi musulman dans son cœur. C’est cet aspect là qui permet au pratiquant de poser des actes de foi.
Chacun a son parcours et personne ne peut changer la route de l’autre et le moment venu personne ne peut agir pour arrêter cette fin inexorable, inéluctable et fatale. Après cinquante ans de route, ils sont aujourd’hui deux sur cette terre ici bas, ainsi va la vie. N’oublions pas qu’il a été le métronome de l’augmentation de la bourse des étudiants en 1978 et cela fut une cause de sa discorde avec le Général Moussa, ce qui lui a valu une longue période d’exil sur le Burkina Faso où il a résidé durant une dizaine d’années à Bobo, il avait demandé et obtenu de doubler la bourse des étudiants au lendemain de la création de l’UDPM, il avait contraint et acculé le Général. Nous devons prier pour le repos de son âme.
ne dit pas n importe quoi si on tue ta mère et ton père tu serra contente grande sœur nul n est infaillible bien sur si c est comme CA le monde va mal ils doivent payer .
Mais alors faudrait il qu’ils demandent pardon. Quils nous disent comment ils ont tué Modibo Keita et que les autres crimes aussi soient reconnus? Comment peuvent ils mourir un à un sans dire la vérité au peuple malien?
Le peuple leur a déjà pardonné puisquils vivent parmi nous sans ostracisme. Mais est que eux peuvent nous rendre la monnaie en reconnaissant quils se sont trompés ou quils ont agit sous la guidance des forces neovoloniales pour qu’enfin le militaire malien soit débarrassé de cette hantise de conquerir le pouvoir? Cest eux qui ont ouvert la boite de pandore en 1968. Modibo Keita leur avait dit que sa seule personne ne peut changer ce que le peuple malien a décidé. Ils doivent au peuple malien d’enseigner la dissuasion de comettre le crime de coup d’etat qui fait de nous des peuples infantilisés. L’état est sacré.
FOURB€UROCCID€NTAUX
Ils sont certes homonymes, mais, le “Moussa” de Koné s’écrit “Missa”. Donc il reste ces deux maintenant en ce qui concerne les membres du CMLN. Nous, leurs fils et filles, nous leurs souhaitons davantage longue vie! Amen.
Personne n’est parfaite. Nulle n’est infaillible. Tout le monde peut se tromper. Donc soyons cléments les uns envers les autres. Moi, je suis une musulmane à part entière (mon père et ma mère) sont tous des musulmans, et, aussi, j’en suis une pratiquante. Mais, il y’a un côté que j’apprécie beaucoup chez nos parents chrétiens: c’est qu’ils sont en majorité très cléments en ce qui concerne “pardonner quelqu’un de ses fautes”! Le chrétien pardonne plus à son prochain que d’autres.
Excusez-moi si mes propos sont désobligeants. Ce n’est pas fait exprès. C’est pour tout juste dire une remarque que j’ai eue à faire auprès de nos amis, les chrétiens.
Pardon madame, il n’y a pas de musulman non pratiquant. On est musulman que par la pratique. Wa salam!
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