ATT-cratie : un vulgaire tract
Le pamphlet ATT-cratie a été imprimé en Italie pour brouiller les pistes. Il n’y a pas de compte d’auteurs. Ce qui veut dire dans le jargon de l’édition que les auteurs ont renoncé à leurs droits. Ils se sont d’ailleurs cachés sous le pseudonyme « Le Sphinx » C’est la raison pour laquelle, la 17ème chambre du tribunal de grande instance de Paris a condamné, Denis Pryen, le DG de l’Harmattan, intuitu personæ. L’éditeur, -qui a servi de bouclier à nos couillard- a été considéré par le juge comme étant l’auteur des deux tomes du pamphlet.Voilà un vulgaire tract dans lequel se trouvent certes, 500 grammes de vérité, mais aussi une tonne de menteries, délations et dénigrements.
Un sobriquet pour chaque personnage
Selon nos sources proche du milieu de l’édition, dans les manuscrits qui ont servi à confectionner le méprisable tract , les auteurs avaient donné un sobriquet aux principaux personnages afin de camoufler les cibles.N’est-ce pas que cela sent du « dabizo » ?
Les accointances du Végal
Le Végal aurait-il rejoint les nostalgiques auteurs d’ATT-cratie avec ses différents jugements de valeurs et déclarations intempestives en privé proférés au Casino ? Ces nouveaux amis ont trouvé refuge du côté de Sébénikoro. Après la déculottée de la présidentielle et la dérouillée des législatives, ils n’ont que la calomnie et l’insulte à la bouche pour amuser la galerie. Un éminent écrivain et philosophe français ne disait-il pas que : « L’essentiel est toujours menacé par l’insignifiant » ?
Du lobbying au contrôle
Mais qui est donc le membre du Bureau du Vérificateur Général qui, en juin 2004, a été à Dakar pour faire du lobbying auprès des membres de la commission bancaire pour le compte d’une banque très en vue en ce moment ?Une question à 100 mille.
Un audit qui coupe le sommeil
L’audit initié par la BCEAO sur la démonétisation commence à inquiéter plus d’un. Des commissaires aux comptes, des directeurs d’agences nationales, des PDG de banques commerciales seraient impliqués. L’opération aurait rapporté gros à certains d’entre eux. Selon nos sources, généralement bien informées, l’audit aurait été fortement souhaité par l’Ivoirien Laurent Gbagbo et le Sénégalais Abdoulaye Wade. Lequel, soit dit en passant, est un éminent économisteHum ! Ça va chauffer !
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