Vive polémique sur le terrain de Basket de la maison des jeunes
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Située au quartier du fleuve et contigu à la pyramide du souvenir, la maison des jeunes a pour but l’intégration des jeunes sur le plan socioculturelle, ainsi que l’épanouissement dans diverses activités sportives plus particulièrement le basket ball. Parce que c’est de cette discipline qu’il s’agit. Dans la cour il y a un terrain de basket répondant aux normes internationales. Ce terrain est très sollicité par des jeunes de tous les quartiers et de toutes nationalités qui résident chez nous au Mali. En effet, depuis deux semaines ces jeunes se plaignent contre des dirigeants de la maison des jeunes pour, disent-ils « leur mauvaise foi », et de la façon dont ils t traitent les jeunes ces derniers temps.
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Le samedi dernier, nous avons rencontré les jeunes sur le terrain de basket de la maison des jeunes. Certains n’ont pas hésité à traiter les responsables de cette maison d’ « égoïstes ». Selon un basketteur, tout se passe bien jusqu’au couché du soleil. Leur calvaire commence toujours à partir de ce moment, parce qu’ils refusent d’allumer les quatre lampadaires qui servent à éclairer le terrain de jeu.
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Rappelons que le terrain a été innové et équipé de projecteur il y a de cela quelques mois. Si la jeunesse ne profite pas pleinement de ce terrain de basket-ball, pourquoi l’avoir rénové alors ? Le mieux qu’on puisse dire est qu’il n y a de moins en moins d’espace pour les jeunes dans une maison qui pourtant porte leur nom!
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L’affaire de la prime générale alimentaire au niveau la garde nationale n’a que trop durée. Certains qui avaient réclamé la fameuse prime avaient été mutés ailleurs, loin de Bamako. D’aucuns avaient pu parler de machination et de mouvement de diversion. «Nos responsables se sont débarrassés de nous pour étouffer cette affaire de la Pga. Mais, qu’ils sachent qu’on est loin d’avoir oublié. Avant la décision de notre mutation, on nous avait fait croire qu’une fois mutés, chacun sera mis dans ses droits. Malheureusement c’est loin d’être le cas. On attend toujours nos Pga. Nous ne pardonnerons jamais à aucun responsable bouffer quelque chose qui nous appartient », nous a confié une des victimes. Affaire à suivre !
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Apparemment les étudiants de nos grandes facultés endurent un véritable traversé du désert. Suite à la prise en otages des notes d’examens depuis presque trois mois, maintenant c’est le tour des étudiants des facultés des sciences juridiques et économiques et de ceux des lettres, des arts et des sciences humaines. Après avoir orienté les nouveaux bacheliers dans ces facultés, les anciens ne savent plus où donner de la tête à cause de cette grève des professeurs. C’est une façon de dire que toutes les années se ressemblent dans ces facultés. Chaque année, le scénario est le même. Si ce n’est pas les étudiants, c’est les professeurs. Pauvre université malienne !
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