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Où se passe-t-elle la campagne des législatives ?
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L’on sent une certaine morosité dans la campagne en cours des élections législatives.
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Par peur de mordre la poussière ou par manque d’argent pour la plupart des candidats ? Rien n’est moins sûr. Il y a peu de tapage en ville. Des candidates indépendantes ont pris le parti de faire le tour des bureaux pour chercher des soutiens matériels ou financiers. Pourquoi alors se lancer dans un combat quand on sait qu’on n’a pas les moyens nécessaires ?
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Pour tout le monde un avertissement s’impose. Parce qu’en effet, il y aurait parmi eux qui ont décidé de prendre des raccourcis en faisant un tour chez le féticheur du coin.
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Donc, attention veillez surtout sur les enfants. Que Dieu nous épargne de ces criminels qui veulent franchir les portes de l’hémicycle par tous les moyens.
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Parents attentions à vos enfants !
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A l’approche des élections, il y a des éléments mal intentionnés qui se sont transformés en commerçants d’organes humains. Sans vergogne, aucune. Des disparitions d’enfants ont été signalées, surtout dans les quartiers périphériques, loin des regards indiscrets. Une fillette d’un médecin de la place, âgée environ de 5 ans, a échappé de justesse à un enlèvement en plein jour à Djélibougou. L’action s’est passée dans la journée du jeudi passé vers 14 heures au moment où beaucoup de gens faisaient la sieste. La fillette a été violemment prise par le coup par un individu portant un cache-net. Il a fallu l’intervention vigoureuse d’un passant pour libérer la fillette des griffes de son bourreau. Personne ne sait jusqu’ici quel sort ce individu sans scrupule allait réserver à la pauvre dont le seul tort a été de vouloir se prémunir de la chaleur torride. Elle était en effet dans la rue. L’inconnu a eu le temps de disparaître avant que la foule ne sache ce qui s’est passé.
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La configuration du nouveau gouvernement dépendra des résultats des législatives
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Le général doit être certainement en ce moment en train de préparer son plan de riposte contre la multitude de combattants politiques qui pensent pouvoir retrouver refuge dans son camp. Si la reconduction du gouvernement Pinochet par le président ATT a été perçue comme la meilleure façon de ne pas rompre le système avant la tenue des élections législatives du 1er juillet prochain, la configuration du nouveau gouvernement dépendra certainement du résultat des urnes. N’est-ce pas meilleure façon pour le locataire de Koulouba de connaître la vérité des soutiens multiples dont il a été l’objet et de mesurer à sa juste valeur l’intention réelle de la cohorte de partis politiques et d’associations qui criait derrière lui.
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Le Parena : pas dans la course en Commune VI, pourquoi ?
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Encore une fois, le bélier blanc n’a pas échappé au sacrifice en commune VI. Un litige et certainement un manque de décision et un mauvais calcul politique ont fait que le Parena n’a pas de représentant en Commune VI pour défendre ses couleurs.
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Le candidat que le Parena a retenu contre la candidature de Soumaïla Baïni Traoré a désisté à la dernière minute faute de n’avoir pas eu un parti avec qui faire une liste commune. Notre candidat a voulu d’abord aller avec le Rpm, ensuite avec l’Urd. Il a échoué et n’a trouvé autre solution que de désister. Baïni Traoré s’est retiré pour se présenter sur une liste indépendante avec une ancienne présidente du parlement des enfants. Ils sont trois sur la liste (deux femmes et un jeune). Pour un bref appel, Baïni est natif du coin et bénéficie déjà du soutien du président de la coordination des chefs de quartiers de la commune. Affaire à suivre…
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