La loi d’entente nationale faisant l’objet de plusieurs discussions avait été renvoyée en décembre 2018 afin qu’elle soit relu par les députés. Cela, afin d’éviter de ne pas ouvrir la voie à l’impunité au Mali, expliquait le président de l’association malienne des Droits l’Homme, Maitre Mariko. Cette relecture devrait permettre d’ajouter des d’éléments prenant en compte la réparation des victimes de la crise de 2012, indique M. Mariko sur les ondes de la Mikado FM avant de préciser que cette loi est censée prendre en compte la situation des réfugiés. Les complices de rébellion doivent également être poursuivis, recommande-t-il.
Il estime que l’État doit jouer sa partition afin que les victimes de 2012 soient mises dans leurs droits. Il a tenu à inviter les juges maliens au respect du statut de Rome que le Mali a ratifié.