Le gouvernement du Mali a décidé de proroger à nouveau le mandat des députés jusqu’au 2 mai 2020. Les autorités justifient la mesure par «le caractère de force majeure des difficultés entravant le respect scrupuleux des dispositions constitutionnelles et législatives et la nécessité d’assurer le fonctionnement régulier de l’Assemblée nationale». Selon le gouvernement, l’évaluation de la situation politique et sécuritaire du pays révèle la persistance des difficultés et contraintes qui ne permettent pas la tenue d’élections législatives régulières et transparentes. Cette décision fait grincer des dents et n’est pas partagée par tous les acteurs politiques.
Mines :le gouvernement veut mettre fin au dragage sur le fleuve
S’achemine-t-on vers la fin du dragage sur les fleuves au Mali ? Oui, si l’on en croit le ministre des mines et du pétrole LelentaHawa Bah. En conférence de presse, le jeudi 6 juin, elle a affirmé que le gouvernement a décidé de mettre un terme à l’orpaillage durant une année afin de sauver le fleuve. «Suite aux différentes missions effectuées sur le terrain dont la dernière en date a eu lieu le 25 mai, nous avons constaté avec amertume la pollution que causent le dragage et l’utilisation des produits chimiques dangereux. Ces pratiques causent des dommages aux différents cours d’eau du Mali», a-t-elle souligné.
La coalition des anciens candidats de 2018 : un autre machin !
Le Premier ministre, Dr. Boubou Cissé, a reçu, samedi 8 mai, la coalition des anciens candidats à l’élection présidentielle de 2018. En vérité, ce sont les candidats qui ont rejoint IBK entre les deux tours de l’élection présidentielle. Composée de :NiankoroYéahSamaké, Mamadou Oumar Sidibé et Boua Ka Mah, cette coalition est un machin pour ses ex-candidats pour avoir voix au chapitre. Lesquels commencent à être oubliés par le peuple. Ils étaient venus voir le chef du gouvernement pour échanger avec lui autour du dialogue national inclusif et la mise en œuvre de l’Accord politique de gouvernance et lui ont réaffirmé leur volonté de soutenir les actions du gouvernement.
UPF-Mali : RamataDiaouré, élue présidente
RamataDiaouré a été élue présidente de la section Mali de l’Union internationale de la presse francophone, à la suite d’une assemblée générale organisée le samedi 8 juin à la Maison de la presse. Elle dirigepour un mandat de quatre ans un bureau de cinq membres composé de : Alexis Kalambry, Mamadou Talata Maïga, Assa Sakiliba et de Maliki Diallo. Celle qu’on appelle affectueusement «grande sœur» remplace à ce poste, le doyen SadouYattara, qui a décidé de ne plus se représenter.
Rassemblées par SoraBanaSanu
Source : Le Wagadu