Le chef BR du commissariat du 1er arrondissement dans de sales draps : Pour une histoire de fesses, il laisse échapper un bandit

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Le patron de la Brigade de recherches du commissariat du 1er arrondissement est-tombé dans un piège ? En tout cas, le moins qu’on puisse constater, c’est qu’il a péché par pur amateurisme. Sa faute : il tombe amoureux, sur un théâtre d’opération, d’une jeune femme qui se fait appeler La Vieille, alors que cette dernière s’est révélée être une complice de certains bandits de grands chemins et autres vendeurs de drogue sur lesquels le Chef BR devrait mettre le grappin.

 

En effet, lors d’une descente musclée de la Brigade de recherches du commissariat du 1er arrondissement, derrière l’Ecole nationale d’administration, il y a de cela une bonne dizaine de jours, en vue d’attraper un grand vendeur de drogue du nom de Mamadou Sacko alias Cobra et sa bande, le Chef BR, qui dirigeait l’opération, a pu mettre le grappin sur ces derniers.

 

Arrêtés, ils ont été jetés derrière les barreaux du commissariat du 1er arrondissement. Mais au moment où l’opération se passait, le chef BR aurait dragué une jeune femme qui a des accointances avec les bandits. Ainsi, les deux tourtereaux se fréquentaient assidûment et La Vieille passait même ses nuits au commissariat dans les bras de son désormais amant. Mais quelle ne fut la surprise du chef BR quand une nuit, sa dulcinée qui était en réalité la copine d’un des gangs, donne son téléphone portable à Cobra qui était derrière les grilles pour lui permettre de faire ses appels. Aussitôt, selon nos sources, Cobra intima à sa copine d’aller chercher une lame de scie. La Vieille s’exécuta. Cobra coupe les barres de fer du garde à vue et s’échappe avec la jeune fille et deux autres gangs du même acabit. Mais les deux derniers ont été très vite rattrapés, à en croire nos sources. Cobra, le grand vendeur de drogue et bandit de grand chemin se trouve encore en cabale.

Stupéfait, le chef BR ne sait plus à quel saint se vouer. Il passe ses journées à mordre ses doigts, alors que le commissaire, son supérieur hiérarchique, aurait tenté de le protéger. L’affaire qui était jusque là noyée dans un marigot d’impunité a pu enfin flotter…

 

Aucune sanction n’a été prise, alors, à l’encontre du pauvre inspecteur. Mais il nous revient que le ministère de la Sécurité et de la protection civile est mis au courant de l’affaire. Le chef BR risque gros.  Affaire à suivre donc !                                                                                                      

Alhassane   H.Maïga

 

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