LapidairernPMU- Mali : faites vos œufs !

0

Rien ne va plus entre la direction générale du PMU- Mali et les parieurs. La confiance est loin des stalles. Une pétition, demandant plus de transparence dans les jeux, est en train de circuler, sous les boubous. Les pétitionnaires souhaitent que l’Etat place, désormais, des contrôleurs, à la direction du PMU Mali. Histoire d’avoir un œil sur la masse à partager entre les gagnants, après chaque course ?

 

A en croire les signataires de la pétition, personne, à part les responsables du PMU-Mali, ne connaît le montant exact de la masse à partager à l’issue des courses.

 

La pétition, disent-ils, va être déposée au Bureau du Vérification Général, au Pool Economique, au Ministère des Finances, à la Primature et à la Présidence de la République. Aussi, promettent-ils de mettre en place, les jours à venir, un syndicat dit des parieurs. Histoire d’avoir l’œil sur Mr. Haïdara (PDG du PMU-Mali) et sa clique.

 

Examen partiel à Sandaré et en C IV

Les élections communales partielles, prévues à Sandaré (Région de Kayes) et en Commune IV du District de Bamako, sont perçues comme un examen partiel pour les partis politiques, avant la grande bataille de 2012. A Sandaré, elles sont nombreuses, les formations politiques à entrer en compétition pour le contrôle de la municipalité. Il s’agit de l’Adema, du RPM, du MPR, l’URD, de l’UDD, du PDES, du Parena et du PCR. Les élections, dans cette circonscription, avaient été annulées suite à une requête de l’URD, dénonçant l’âge légal des assesseurs. Mais aussi, à cause du fait que la case réservée au Parena était côchée de rouge.

 

En CIV du District, l’Adema, le RPM, Yéléma, la Codem, le MPR, le FCD, l’URD, le PDM, Barica, le PDES, l’UDD et un groupement de partis politiques (CNID – URP – RDS – UFDP – RJP) ; (Sadi – PIDS) plus un candidat indépendant (Kouaral Renouveau) vont s’affronter pour le contrôle de la mairie.

 

Alassane, Bédié, Gbagbo : le trio maléfique de la Côte-d’Ivoire ?

La crise en Côte-d’Ivoire a sa solution entre les mains du trio maléfique : Alassane, Bédié et Gbagbo. Depuis la disparition du « Vieux », ces trois s’affrontent pour le pouvoir. Il est permis de croire qu’une solution définitive de la crise implique la mise à l’écart de ces trois hommes. On pourrait y ajouter le nom d’un quatrième : Guillaume Soro. L’homme, dont le destin politique est adossé à la rébellion. Pour que la Côte-d’Ivoire puisse retrouver la paix, il faudra qu’on imagine un scénario dans lequel, aucun de ces quatre hommes ne jouera un rôle. Cela est-il possible ?

Par Aimé

 

Commentaires via Facebook :