Aucun signe
Avec la menace terroriste, le retour du Mnla dans la République, avec des narco-dragueurs en passant par les jihadistes du sud. Le Mali ne montre aucun visage de pays en danger. On accuse les autres, on attribue tout à Dieu et nous ne voulons pas prendre notre responsabilité de citoyen. Contrairement aux villes comme Abidjan, Niamey, N’Djamena, à Bamako, aucun signe dissuasif. Alors que de nos jours les jihadistes ont envahi nos villes villages, quartiers, maisons et chambres. L’attentat à la Terrasse n’a pas servi de leçon. Et les Maliens ne se rendent pas compte. On est dans le spectacle à l’Assemblée nationale ; on fait du théâtre dans le gouvernement, et le peuple n’est pas en sécurité. Les policiers continuent de harceler les gens, alors qu’ils seront les premières victimes en cas d’attaque. Tout le monde s’en fiche parce que c’est l’argent qui intéresse tout le monde ! Les Maliens doivent faire gaffe.
Alerte sécurité
«Possible menace d’attaque à Bamako Stop. Tout le staff de Bamako travaille à la maison demain sauf ceux qui vont être contactés par téléphone. Ecoute radio pour tous», voici le message que la Minusma a envoyé à ses travailleurs et collaborateurs dans la nuit du jeudi 09 au vendredi 10 juillet 2015. Une alerte sécuritaire à Bamako. Voici un autre message qu’un haut gradé de la Minusma a envoyé à sa copine dans la même nuit : «Menace d’attaque sur la ville jusqu’à lundi ! Chère amie, soyez très vigilants à partir de ce soir et évitez les endroits de masse. De ce fait, un dispositif sécuritaire d’envergure sera déployé à travers la ville. Faites passer l’info. Notre rendez-vous reporté». Ce sont ces messages qui ont fait le tour de la ville entre les personnes qui travaillent à la Minusma, leurs collaborateurs. De bouche à oreille l’information a envahi Bamako. La psychose s’est installée mais le Bamakois lambda le savait et vaquait tranquillement à ses occupations.
Un dispositif impressionnant
Le jeudi 09 juillet dans la nuit aux environs de 01 heure du matin, il y avait à Bamako un vrai dispositif sécuritaire et d’envergure. Les motos chinoises de la police, les véhicules de patrouille de la Garde nationale, l’unité cynophile de la gendarmerie nationale. De la cité du Niger à la place de la liberté. De Koulouba à la sortie de Kati, de Kalabancoro à Niamanan, les forces de l’ordre étaient partout et de façon professionnelle. Fouillant minutieusement tous les véhicules, motos, passagers. Ils étaient bien équipés avec des moyens modernes. Pas de rackets des populations. En plus, ils avaient aussi ciblé certaines mosquées de la capitale pour la circonstance, les lieux de regroupement en masse et les lieux de prières publique surtout en ce mois de Ramadan. Ce dispositif sera maintenu selon nos informations jusqu’à la fête de Ramadan, avec la sécurisation des prières de la fête. Les forces de sécurité comptent sur la coopération et la bonne compréhension de la population.
Un envoyé d’Iyad arrêté
La DGSE malienne a arrêté, dans la nuit du vendredi 10 au samedi 11 juillet 2015, un envoyé d’Iyad Ag Ghali en provenance du nord. Il est de teint noir. Il avait en sa possession des documents sur le jihad, des vidéos et des supports pour la propagande du jihadisme à Bamako. Il a été arrêté par la force spéciale de la DGSE malienne, son arrestation faite à l’alerte sécurité à Bamako. Avec son arrestation des investigations et enquêtes sont en cours afin de savoir qui était le destinataire des documentes retrouvés sur lui. Et les multiples coups de fils qu’il recevait. En tout cas, il a les forces de sécurité maliennes sont en action, pour démanteler le réseau jihadiste en gestation à Bamako. Rappelons que bien avant l’opération Serval au Mali, plusieurs responsables musulmans et des leaders étaient en contact avec les jihadistes. C’est peut-être l’intervention Serval qui les a dissuadés à continuer ce commerce…
L’abandon
Ils se font rares dans les places publiques et autres espaces qui étaient bourrés de monde. Oui, il s’agit des fidèles musulmans. Ils ont pour la plupart abandonné les mosquées pour faire la queue devant les ateliers de tailleurs. Les femmes, les jeunes filles et garçons et les enfants qui constituent le gros lot sont actuellement dans les marchés, les boutiques ou chez les tresseuses. Chacun prépare la fête à sa manière. Rares sont les lieux de prière publiques qui assurent le plein comme au début du mois de Ramadan. Selon un imam cela se comprend parce que les jeunes sont les plus nombreux dans les mosquées tout comme les femmes, donc s’ils s’absentent c’est visible. «Vous voyez les rangées vides, les gens priaient même devant moi-même parce qu’il n’y avait de places. Mais maintenant il n’y a que deux rangées, celle des hommes et une rangée des femmes seulement». La fête se prépare partout même dans l’administration. Et même dans autres lieux de travail, l’absentéisme est visible.
Radio sans directeur
Selon bon nombre de travailleurs, il y a une injustice à corriger à l’Ortm. Depuis la mort d’Oumar Sangaré, directeur de la radio nationale, il y a deux ans, personne n’a été désigné à sa place. Le DG a proposé Boubacar Touré à sa place, mais le dossier est resté dans les tiroirs du ministre de la Communication Mamadou Camara. C’est le ministre de la Communication qui nomme les directeurs radio, télé et radio rurale, sur proposition du directeur général de l’Ortm. Bally a fait des propositions pour la radio nationale et la radio rurale qui sont dirigées par des intérimaires depuis deux ans. Les propositions sont soumises à Choguel aussi qui, depuis son arrivée, n’a pas encore réagi. Aujourd’hui, ces deux services sont paralysés parce que les intérimaires n’ont pas le plein pouvoir pour prendre certaines décisions ou initier des innovations. Il urge pour le ministre Choguel de combler cette lacune qui entrave le bon fonctionnement de certains services de l’Ortm.
Manque de confiance
Les complices des rebelles sont nombreux à Bamako. Ces gens-là ne valent rien et sont encore pires. Ils ont tous des relations avec les narco. Malgré leurs liens avec des bandits, ils essayent de faire endormir les autorités maliennes. Des gens qui bloquent aujourd’hui le retour volontaire des réfugiés qui voulaient retourner à Goundam. D’autres sont dans les sphères du pouvoir, alors que leurs frères et sœurs sont contre la paix au Mali. C’est honteux ! L’Etat est au courant de tout ; l’Etat ne peut pas ignorer. À qui faire confiance ? Nous-mêmes, le problème, c’est que les Maliens n’ont confiance en aucun leader politique actuel ! Aucun d’eux n’est au-dessus des soupçons ! Et la société civile n’est qu’une farce ! Elle mange sa part du gâteau de société servile. C’est ça même ! Et la presse est corrompue et pourrie. La jeunesse est alcoolisée et opportuniste entre les cuisses des vieilles riches et les bouteilles d’alcool. Alors qui va faire le Mali de demain ? Préparons nos enfants. Éduquons-les à la maison. Mais les maris ne sont jamais à la maison ; les mamans passent tout leur temps chez les marabouts pour des postes, neutraliser des rivales ou maîtriser leurs époux ! C’est la télévision, les réseaux sociaux, la rue et les jeux vidéo qui éduquent nos enfants ! Que faire ?
N’importe quoi
, vilain ramassée. Du coq à l’âne
IBK vivant ou bien IBK mort, le GRAND MALI continuera d’exister et d’avancer progressivement.
Je n’arrive toujours pas à comprendre que cette « nouvelle » ait pu susciter autant de turbulences et déchaîner autant de passions! 😯 😯 😯 😯
En effet, Ibk est tellement NUL et INEXISTANT face aux problèmes cruciaux qui secouent notre pays, que mort ou vivant, je ne vois pas la DIFFERENCE que ça pourrait faire en terme de sécurité, de développement, de développement agricole (frelaté ), ou d’intégrité du territoire!
Houbien? 😛
Justement mon prère!
Le président fantôme est parti et île est revenu il y’a pas de quoi fouetté un chat!
Attention, l’année n’est pas terminée et IBK le mortel a intérêt à se soigner davantage!
Ibk n’a qu’à s’en prendre à sa cellule de communication ses pas la première ni la deuxième fois qu’ils font des erreurs de comm
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