Décidément le président détenu de l’Apcam ne dispose plus d’issue plausible pour prendre convenablement part à la compétition électorale dont la première la manche s’est déroulée hier dimanche. Mardi dernier, en effet, la Chambre d’accusation de la Cour d’Appel de Bamako a opposé une fin de non-recevoir à la seconde requête de ses avocats en rapport avec une libération conditionnelle. Après un premier refus des juges du Pole économique et financier, son conseil de défense s’estimait en droit de remettre le couvert avec le changement de statut de candidat aux législatives. Les droits civiques n’étant compromis en législation malienne qu’en cas de condamnation définitive, le statut actuel de Bakary Togola, tel que l’atteste la validation de sa candidature par la Cour constitutionnelle, consacre normalement son droit à l’éligibilité ainsi que son droit de vote. Nonobstant, le plus célèbres des porte-étendard du RPM à Bougouni est ainsi sevré de son droit inalienable à l’expression du suffrage et jouit d’un droit d’éligibilité d’autant plus tronqué que son exercice se heurte à l’impossibilité d’aller à la conquête des électeurs au même titre que ses concurrents. Manifestement, il y a là un grand paradoxe qui mérite d’être mieux clarifié dans l’encadrement juridique des élections au Mali.
La Rédaction
Des voleurs qui veulent devenir députés ! Comme les fils de chiens sont tous pareils, même pipe même tabac, on devait le laisser se présenter au moins. Et on appelle ça pays ! Décidément les expatriés d’une société minière avant raison de dire que les cadres maliens sont comme des chiens ,une fois que tu leur un os ils courent pour venir le ramasser.
VOL€UROPÉ€N comme dit le Dr Grimaldi, les OCCID€NTAUX comme Macron parlent beaucoup…
Ils diffusent du COVID !
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