De part le nombre de militants et sympathisants qui, toutes les semaines et tous les mois, se bousculent tous les jours au portillon pour adhérer à cette jeune formation politique, on peut dire, sans risque de se tromper, que l’avertissement est lancé par le PDES du Président Ahmed Diane Séméga aux soit disants grandes formations politiques.
Ce qui étonne plus d’un acteur de l’échiquier politique national, c’est que contrairement à beaucoup d’autres partis politiques, le PDES a été créé grâce aussi à la conviction des militants et militantes à la base et d’autres sympathisants. Au PDES, la vie du parti est l’affaire de tous ceux et toutes celles qui l’ont formé. Le constat fait ressortir qu’au PDES, le premier souci est de mettre l’intérêt de la nation au-dessus de toute autre considération.
C’est d’ailleurs une des raisons qui amène à se pencher sur cette conviction pleine de sens, basée sur l’accompagnement, par le parti et par tous les moyens, des actions de développement du grand bâtisseur, unificateur, unioniste et humanitaire, Amadou Toumani Touré, dans ses œuvres et actions entamées aux lendemains du 8 juin 2002, pour développer notre grand Mali.
L’homme ne vaut que ce par ce que vaut le taux de son utilité sociale
En prenant le ferme engagement de donner des coups de piston aux œuvres dont le premier esprit est de se soucier du bien-être de son peuple, le PDES ne fait que démontrer l’utilité sociale d’un homme qui aura marqué l’histoire de notre pays par les grandes réalisations de développement, dira un sage de la ville de Sikasso.
Avant le lancement du site Internet, les leaders du PDES, sous la conduite du président du parti, avaient rendu des visites de courtoisie aux notabilités de la ville, notamment aux grandes familles du Kénédougou et au président de l’Imama, Bakary Madina Sanogo. Des cadeaux symboliques ont été remis aux sages de la ville par les membres du parti.
Mamadou Tangara, l’homme de tous les grands rendez-vous
Après la CAN 2002, le maire de la commune urbaine de Sikasso, Mamadou Tangara dit « Le Cobra Noir », qui avait perdu son fauteuil en 2004 lors des élections communales de la même année, est revenu à la charge en 2009 et a repris la tête de la commune urbaine de Sikasso.
Ce fin stratège est également doublé d’un grand chanceux. En effet, après les succès de la CAN 2002, et aujourd’hui à la tête de ladite commune urbaine, il vient d’avoir l’honneur de célébrer les 50 ans de notre indépendance. Pour « Le Cobra Noir », cette grande fête a été suivie de la finale de la huitième édition de la Coupe du Président ATT qui vient de se tenir dans la ville de Sikasso.
Par ailleurs, Mamadou Tangara s’apprête à organiser la biennale artistique et culturelle dans la capitale du Kénédougou. Comme pour dire combien l’homme est celui des grands rendez-vous. Que Le Tout Puissant nous donne la chance de vibrer aux rythmes cette future belle fête de retrouvailles entre les jeunes de notre pays.
Par Zhao Ahmed A. Bamba