Pour la première fois IBK a fermé sa porte aux membres du RPM. Il les a renvoyés au Premier ministre qui était est en train de préparer des propositions en vue du réajustement ministériel. C’est dans cette foulée que tous les membres du gouvernement, membres du Rassemblement pour le Mali, ont commencé à avoir peur. Même les plus proches du président n’ont pas eu accès à sa résidence, sur sa consigne ferme donnée aux gardes. Certains proches ont été surpris de se voir refuser l’accès à sa résidence, eux qui venaient et entraient facilement. D’autres en colère ont tenté de joindre le président lui-même. Sans succès. Ceux qui ont pu l’avoir au téléphone, se sont rendu compte que la décision venait de lui-même. C’est en ce moment qu’ils ont compris que les choses ont changé. Après la publication de la liste du gouvernement, le RPM, dans un communiqué laconique, a déclaré : «Le Bureau Politique National du Rassemblement Pour le Mali (BPN/RPM) prend acte de la reconduction de Monsieur Modibo KEITA comme Premier ministre, Chef du Gouvernement et de la mise en place du nouveau Gouvernement suivant Décret N°2016-0022/P-RM du 15 janvier 2016 portant nomination des membres du Gouvernement. Le Bureau Politique National du Rassemblement Pour le Mali (BPN/RPM) remercie le Ministre du Développement Rural sortant, Dr Bokary TRETA pour avoir été à la hauteur de la mission à lui confiée par le Président de la République». S’ils sont fâchés, ils perdent leur temps parce qu’IBK est le président du Mali et non du RPM.
5 chefs de parti politique
Avec le réaménagement ou remaniement du gouvernement, le nombre de présidents de parti politique dans le gouvernement passe de 4 à 5. Il s’agit de Konimba Sidibé, président du parti Modec, nommé ministre de la Promotion des investissements et du Secteur privé ; nos Garangué Mamou 1 et 2 : Me Mountaga Tall, président éternel du CNID, dont les prérogatives ont été amputées avec la création du ministère de la Recherche scientifique ; le Garangué Mamou N°1, Choguel Kokalla Maïga de l’Economie numérique…. Les autres chefs de parti politique du gouvernement actuel sont : Tiéman Hubert Coulibaly, président de l’UDD, ministre de la Défense et des Anciens combattants ; Housseiny Amion Guindo, président (CODEM), ministre des Sports. Alors que celui qui jouait le rôle de président du RPM, et en combat farouche contre le clan du ministre de l’Administration territoriale Abdoulaye Idrissa Maïga, a été évincé. Parmi tous ces présidents de parti politique dans le gouvernement actuel, un seul est bien apprécié par les Maliens, Konimba Sidibé, expert-comptable intègre, cadre exceptionnel et grand travailleur.
4 candidats de moins
L’attelage gouvernemental comprend 4 anciens candidats à la présidentielle de 2013, à mi-parcours du mandat d’IBK. Certains ont même supplié IBK pour conserver leur poste. Ils vont rester dans le gouvernement, pour soutenir IBK dans sa nouvelle conquête du pouvoir. Parce que lors de sa présentation de vœux à la classe politique, IBK a demandé aux autres d’attendre la campagne électorale pour juger son bilan. Pour ainsi dire, ils n’ont pas le choix, surtout que la plupart d’entre eux sont aujourd’hui dans des affaires douteuses au niveau de leur cabinet. Mountaga Tall, Choguel Kokalla Maïga ont goûté au beurre des différents régimes, après avoir passé 5 ans dans l’opposition. Ils vont rester avec IBK. Poulô lui aussi n’a plus le choix, il va soutenir IBK en 20118. Même s’il lui faut un département plus grand. Konimba Sidibé n’est pas un homme facile à manipuler, il tient à ses convictions, et ce n’est pas l’argent qui peut l’acheter.
«Où est mon CV ?»
Un ministrable a certainement perdu le nord après le réajustement ministériel intervenu, quand il n’a pas retrouvé son nom parmi les ministres. Il a voulu chercher à comprendre, et la question qu’il posait à ceux qui lui avaient promis un poste ministériel, était celle-ci : «Où est mon CV ? » Avant de se mettre à appeler les derniers numéros qui étaient dans l’historique de ses appels reçus. Un confrère, qui était avec nous à une cérémonie dans l’après-midi du vendredi 15 janvier 2016, était dans le lot. Sans chercher à comprendre, tel un fou, le ministrable lui pose plusieurs questions à la fois : «Vous avez remis mon CV à qui de droit à la primature ? Où est mon CV, dis-moi, où est mon CV ?». Notre confrère, très dépassé par ses questions, a voulu chercher en savoir davantage. Il se rendra compte plus tard que c’était le numéro d’un jeune candidat, membre de leur prétendue association des jeunes candidats qui soutiennent IBK. Malheureusement, ça fait la énième fois que son CV est recalé. Il devra encore attendre.
À la Ségovienne
C’est le lundi 11 janvier 2016 que le nouveau PDG de la Compagnie malienne de développement des textiles (CDMT), le géant de l’économie malienne, a pris fonction. Il s’agit de Modibo Koné. Pour cette prise de fonction, un conseil d’administration spécial a été organisé. Modibo Koné est un vieux routier du monde agricole, pour avoir passé 10 ans à l’Office du Niger. Il est de l’île de Damonzon, son ami d’enfance n’est autre que Samba Play, avec lequel il a passé une bonne partie de sa carrière à l’Office du Niger. Si entre Samba Play et Modibo Koné, il s’agissait de retrouvailles, nous autres, avec Alou Badara Diarra dit ABD, natif de Ségou, nous n’avions pas reconnu Samba le grand-frère. Disons, nous ne nous attendions pas à le rencontrer en pareil lieu, car lui, c’est le monde du showbiz et de l’ambiance. Mais c’est son ami d’enfance qui lui avait donné rendez-vous pour sa prise de fonction. Ils se sont vus et Samba Play était content. De grandes retrouvailles «à la Ségovienne», comme le disaient les autres confrères présents.
Plus personne
Le pouvoir a changé de main à la CMDT et Kalfa Sanogo, le PDG sortant, est le premier à le savoir. Il a vite été abandonné le jour de la passation par son personnel d’appui ; tous couraient derrière le nouveau patron, y compris certains fournisseurs présents à la cérémonie et le chef d’une boîte de communication. Tous étaient venus faire connaissance avec le nouveau PDG. Kalfa Sanogo n’avait personne pour lui ouvrir la porte, le guider. Il est venu seul, dans la salle de conseil, et certains agents ne le voulaient même pas qu’il prononce leur nom. Celui qui fait d’habitude les rapports du conseil d’administration affichait une mine pas croyable, le PDG sortant l’a appelé plus de trois fois, il n’a pas répondu. Avant cela, le matin, Kalfa Sanogo est monté seul dans son bureau. La cellule de communication de la CMDT qui faisait sa cérémonie d’adieux, a mis les petits plats dans les grands en invitant certains directeurs de publication qui devraient empocher chacun 200 000 FCFA. Alors que les reporters percevaient 25 000 FCFA par personne. Aussi, Bakary Togola s’est-il adonné à son jeu favori : distribuer de l’argent aux journalistes. Comme pour dire «au revoir» à Kalfa Sanogo !
Double attaque
Vendredi 15/01/2016, aux environs de 10h du matin, les Fama (Forces armées maliennes) tombent dans une embuscade tendue par des bandits armés non identifiés alors qu’ils escortaient des nourritures destinées aux réfugiés de Léré, sur la route de Goundam à Zinzin, à quelques kilomètres de Goundam. Bilan provisoire côté armée malienne : 3 morts, 2 blessés ; côté assaillants : 1 véhicule capturé et trois morts. Le même vendredi, dans la soirée, il y a eu une attaque à Doura, non loin de Markala, dans la région de Ségou. Les assaillants ont tué un agent des Eaux et Forêts avant de prendre la clé des champs. Ils ont dit aux populations, après leur forfait, qu’ils ne visent que les militaires et autres forces de sécurité. Ils n’ont rien à voir avec les civils. Les populations de Markala avaient commencé à avoir peur, parce qu’elles sont sans sécurité véritable malgré la présence d’un camp militaire. Avant cette attaque, une folle rumeur avait circulé à Markala, faisant croire que la ville était entourée de bandits armés prêts à attaquer le camp et les ateliers militaires.
Une première au Faso
Dans l’assaut mené par les forces spéciales burkinabè contre les jihadistes qui ont pris des otages dans l’Hôtel Splendid et au restaurant Cappuccino, trois assaillants ont été tués. Parmi eux, révèle le ministre de la Sécurité Simon Compaoré, deux femmes, notamment «deux négro-africaines». Il a indiqué que ces assaillants étaient «hors d’état de nuire». C’est la première fois qu’une telle attaque se produit au Burkina Faso. Le président du Faso s’est rendu sur les lieux de l’attaque avec son Premier ministre et certains membres de son gouvernement. Dans la foulée, un conseil de ministre extraordinaire a été organisé. «Désormais, la lutte anti-terroriste fait partie de notre quotidien. Uni et déterminé contre le terrorisme et contre toutes les forces du mal dirigés contre notre pays, le peuple burkinabè restera toujours victorieux», a indiqué Roch Marc Christian Kaboré, président du Faso. Au total, c’est plus d’une vingtaine de personnes qui ont perdu la vie dont 4 terroristes. Le président du Faso a décrété un deuil national de 72h, en hommage aux victimes de l’attaque terroriste. Suite à cette attaque, le président de la République du Mali s’est rendu à l’ambassade du Burkina Faso au Mali pour signer le livre de condoléances. IBK a décidé d’envoyer le Premier ministre malien au Faso pour présenter les condoléances du peuple malien.
«Un pays faible»
Ce sont 18 nationalités qui ont perdu la vie dans l’attaque terroriste à Ouagadougou. La France a mis en place une cellule de veille pour les 3500 Français qui vivent au Burkina Faso. Pendant toute la journée, les experts ou soi-disant experts français du terrorisme sont passés sur les chaînes de TV françaises, faisant croire aux gens que le Burkina Faso est devenu un «pays faible», depuis le départ de Blaise Compaoré du pouvoir. Selon eux, c’est un «pays faible» parce que Blaise est très fort dans la lutte contre le terrorisme. En réalité, ces experts ne portent que la voix de leurs maîtres, les Occidentaux. Ils ont toujours les moyens de défendre leurs intérêts. Après le vent de la démocratie, ce sont les forces spéciales contre le terrorisme. Le Burkina, sur la voie du peuple, n’est pas un bon partenaire pour eux. Est-ce là le début des turbulences pour le nouveau président Burkinabè ? Tout le monde sait que le nouveau président du Burkina Faso n’est pas comme Blaise.
Un seul vigile
L’hôtel Splendid et le restaurant Cappuccino ont été attaqués. Au moment de l’attaque devant cet hôtel 4 étoiles, qui accueille tant de monde, il n’y avait qu’un seul vigile à la porte. Les forces de sécurité des alentours étaient très loin de leurs armes. Les assaillants, qui ont commencé par le restaurant Cappuccino, ont tué 10 personnes avant de s’attaquer à l’hôtel. En dehors des hôtes de marque et des 18 nationalités, il y avait Clément Sawadogo, ministre de la Fonction publique du Burkina Faso. Il l’a confirmé lui-même qu’il était bel et bien à Splendid Hôtel, au moment de l’attaque. «Ils sont venus tuer dans notre salle trois personnes, laissant certains. Mais ils ne sont pas revenus. Comme nous étions au 4ème étage, c’est ce qui nous a sauvés parce qu’après ce passage, ils ne sont pas revenus. C’est jusqu’à 2 heures du matin que la sécurité avec les soldats du Faso, les Français et les Américains sont venus pour nous exfiltrer de l’hôtel. Ils étaient deux, ceux qui ont tué dans notre salle : un Touareg et un Noir. Le Touareg était enturbanné mais le Noir était à visage découvert. Quand ils ont tué, ils ont fait des rafales avant de sortir de notre salle, ils ont tué 3 personnes».
Les nouvelles mesures
Le gouvernement burkinabè a pris une série de mesures pour faire face à la nouvelle situation sécuritaire créée par les attentats terroristes essuyés ce 15 janvier 2016 par le pays. Ces mesures sont le fruit du Conseil des ministres extraordinaire convoqué ce 16 janvier 2016, auquel ont participé les différents chefs de l’armée, de même que le Président de l’Assemblée nationale, Salif Diallo. Elles visent à renforcer la sécurité du Faso. Ainsi, le gouvernement a décidé de la création d’un comité international qui fera des propositions transversales en matière de sécurité au plan stratégique à moyen terme. L’exécutif a aussi jugé urgente l’opérationnalisation de l’Agence nationale de renseignement créée sous la transition par le Président Michel Kafando. Le renforcement des contrôles pour assurer la sécurisation des frontières et des villes, le renforcement des mesures de sécurité dans les hôtels, la décision d’amener le couvre-feu de 23h à 6h du matin et la réactivation de la police de proximité sont les autres décisions prises par le gouvernement. Les attentats du 16 janvier à Ouagadougou ont causé une cinquantaine de blessés. Le gouvernement a décidé de leur prise en charge gratuite. Dans son adresse à la nation, samedi passé, le Président du Faso Roch Marc Christian Kaboré a appelé les Burkinabè à se soumettre à ces mesures, car, dit-il, «désormais la lutte anti-terroriste fait partie de notre quotidien».
Kalori Sory n’a plus de calories
Ibrahima Sory Koïta dit Kalori Sory fait partie des précurseurs du mouvement reggae au Mali, avec les Aziz Wonder, Koko Dembélé, ou encore Oumar Kouyaté, Askia Modibo. Dans les années 1990, avec l’ouverture démocratique, Kalori Sory était dans les Hits sur les radios privées de la capitale malienne, avec son morceau «Dourouni», tiré de son premier album. Avant «Dourouni», il y avait «Tafesiri». C’est en 1989 qui trouve enfin un producteur pour son premier album, intitulé «Pètchèkè» ou l’argent dans le jargon populaire. Le genre reggae n’étant pas bien aimé du public malien, car il n’avait pas beaucoup de fans. Kalori Sory a travaillé à l’INA comme surveillant, il faisait partie du corps professoral. Par la même occasion, il a intégré l’INA Star l’orchestre de l’Institut national des arts du Mali. Un boulevard qui lui a permis de travailler avec beaucoup d’artistes musiciens, comédiens, plasticiens, animateurs ; en un mot, tous ceux qui sont passés par l’INA. Tout le monde l’a connu avec son franc-parler, il ne tournait pas autour de la chose. Il est tombé malade pendant longtemps, avant de mourir le 13 janvier 2016 à Bamako à l’âge de 65 ans. Son inhumation a eu lieu à Lafiabougou, le jeudi 14 janvier 2016. Il repose désormais au cimetière du même quartier.
Comme le Dr Boulkassoum l’a mentionné dans le communiqué; les partisans du RPM doivent être prudent, solidaire et ne mettre en avant que les intérêts et la vision du parti.
Des personnes vont essayer d’utiliser ce départ de Tréta et d’Igor pour vouloir semer le désordre au sein du parti mais ils doivent savoir raison garder.
Vive le RPM, VIVE LE PRÉSIDENT IBK.
Moi je ne sais pas pourquoi nous Maliens aimons la polémique inutile. Le RPM est un parti responsable et le fait que Tréta soit parti ne veut forcement pas dire qu’il y a des problèmes entre lui et le président de la république ou le premier ministre. On peut être secrétaire général d’un parti et ne pas forcement faire parti du gouvernement. Le plus important c’est de pouvoir participer à la vie du parti et du pays.
Le président IBK n’a pas limogé Tréta et Igor pour faire plaisir à qui que ce soit. Comment comprendre que des personnes veulent prendre en otages une institution aussi importante qu’est la primature pour une question de parti politique. Bien que le premier ministre Modibo n’est pas membre du rpm; il travaille pour ce pays et il est donc inadmissible que des personnes comme lui mettent les bâtons dans les roues fut-ils secrétaire général du parti au pouvoir. Toute personne qui a des compétences reconnus doit pouvoir les mettre au profil du pays sans distinction aucune.
Le Mali n’appartient pas au rpm encore moins à tréta, de la même manière IBK n’est pas le président de rpm mais de tous les Maliens.
Le départ des deux hommes forts du RPM du gouvernement peut s’expliquer par le fait ceux-ci n’entretenaient pas de bons rapports avec les autres membres du gouvernement. Pourtant u gouvernement suppose l’union, la solidarité et la synergie dans les actions. Ainsi si cette atmosphère ne peut pas exister au sein de notre exécutif; les responsables doivent partir.
Ne trouvez-vous pas paradoxale que c’est ceux qui sont supposés être les plus grands travailleurs soient ceux qui est été congédiés?
Si le président IBK a pris cette décision c’est surement parce que ces personnes ont un problème.
Loin de vouloir satisfaire tel ou tel je crois que nous devons mettre en avant les intérêts de notre pays d’abord avant celui des personnes. C’est ce que le président IBK a compris et je salue cette décision. On ne peut pas gérer un pays avec les humeurs des uns et des autres.
Plus que jamais le RPM doit rester soudé derrière le président IBK afin qu’il puisse atteindre les objectifs qu’il s’est fixé pour notre pays. Les membres du RPM doivent “rester vigilants, soudés et mobilisés autour du projet de société et du programme du Parti” afin que le Mali puisse sortir de la crise et aller vers le développement.
Le vice-président et porte parole du rpm, le Docteur Haïdara a bien fait de demander l’union autour du RPM car le départ d’Igor et de Tréta ne veut pas forcement dire qu’ils sont incompétents ou qu’il y a des palabres au sein du rpm. On voit dans plusieurs pays où les premiers responsables du parti au pouvoir n’occupent pas de postes au sein des institutions afin que ceux-ci puissent gérer efficacement les affaires du parti. Il ne faut donc pas tomber dans les interprétations sans fondement.
Depuis un certain temps; le président IBK a marqué sa déception face au comportement de certains de ses proches qui étaient contre le fait que des personnes d’autres partis puissent faire leur entrée au sein du RPM ce qui n’est pas du tout normal. Notre pays a besoin des compétences de n’importe qui dans ce pays fut-il membre du RPM ou pas. Et je crois que c’est ce qui explique le départ de Tréta du gouvernement.
Le communiqué du rpm montre que c’est vraiment un grand parti et loin de se lancer dans des débats stériles, les responsables appellent à l’union autour du parti car c’est ensemble qu’on peut développer le pays et le parti. Tout le monde doit se mettre en tête qu’on soit un membre du gouvernement ou pas; on doit participer à travers nos actions à la la construction du pays. Donc que tréta et igor ne soient plus au gouvernement ne veut pas dire qu’ils ne vont plus travailler pour le pays. Vive un rpm uni et solidaire pour l’émergence du pays.
Le président de la république sait pourquoi il a demis Igor et Tréta de leurs postes respectifs malgré les avancées connus dans leurs domaines mais avant de nous lancer dans des polémiques sans aucune réelle information; attendons de voir les ambitions que le président de la république prévoit pour eux dans la conduite des affaires du pays et du parti.
Moi je pense que tous ceux qui sont à la majorité présidentielle pour profiter des faveurs du pouvoir en place doivent comprendre qu’avec IBK ça ne marche pas comme cela.En ce moment,c’est la qualité qui doit prévaloir au Mali d’aujourd’hui.Donc ne vous mettez pas à compter sur vos partis pour accéder à des postes dont vous n’avez pas le mérite.
Appartenir au RPM seulement ne suffit pas pour prétendre au poste de premier ministre du mali en ce moment.
On peut bien sûr être de la majorité présidentielle mais la qualité indispensable pour occuper ce poste est la capacité.
Je pense que Tréta a mal compris cela et en a fait les frais.
Le Mali n’est pas un gâteau dont chacun viendra se servir et partir.Si le RPM pense que c’était forcement son tour,moi je viens lui dire ce n’est le tour de personne.C’est plutôt le tour de celui qui peut être capable mettre notre pays sur les rails par son expérience et son dévouement.
Que cessent alors les discours divisionnistes pour le bien être du pays.
Le limogeage de Tréta doit être compris sous plusieurs angles.
D’abord,il faut dire que ce monsieur a été coupable de plusieurs scandales financiers qui ont mis à mal la crédibilité du président et de son parti.
Ensuite,il est à la base d’une division de membres au sein du parti présidentiel pour juste faire de tort à IBK.
Enfin,pour cette histoire de primature il a montré aux yeux de tout le monde que ce qui le préoccupe c’est sa petite personne et non le Mali.
Son départ est donc salutaire car mon n’a que faire des égoïstes…
C’est pour juste une bonne raison que IBK limoge ces ministre et sachez qu’avec le développement du Mali on ne joue pas avec ceux qui font des bêtises.Quand tu déconnes , on te change
Le Mali a en ce moment besoin d’un premier ministre d’expérience et travailleur car après le coup d’état il faut noter le Mali est revenu de loin avec le président IBK et tout le monde sait que Modibo Kéïta est la personne appropriée..
On ne fera donc jamais plaisir aux caprices de Tréta en lui confiant un dossier qu’il ne maitrise pas du tout.
Il aurait dû se contenter de son poste de ministre car c’est ce qui lui convenait.
Mais hélas!!!
Heureusement, , IBK aime pas les gens qui travaillent, qui disent la vérité alors que cela soit et reste un avertissement pour ces nouveau ministre .
Arrête de dire des choses inutiles car vos articles n’ont aucune importance en ce moment pareille, monsieur le journaliste, sachez que le remaniement est déjà fait et le peuple écoute simplement le choix de IBK
Pauvre journaliste, vos idées ne sont pas le bienvenu en ce moment pareille, mais au lieu de critiquer le régime en place, il ferait mieux d’aller faire des recherches claire et nette concernant le mode de gestion du pouvoir.Sachez que si ces ministre ne travaille pas bien ceux ci doivent être démis de leurs fonctions.
Les journalistes arrêtez de nous emmerdez avec vos discours à la con sur le limogeage des ministre .IBK ne va pas toujours vous dire les différentes raisons.Il n’a aucun compte à vous rendre
Nous on avance.
C’est grâce à l’arrivé d’IBK au pouvoir les conditions de vie des travailleurs sont devenus meilleur, car actuellement le Mali est en train grimper vers le sommet de la pyramide, c’est grâce à lui que la vie des populations sont devenus facile.
Alors si’il limoge ces ministres ,c’est qu’il veut des résultats et les meilleurs alors que ces nouveaux ministres donnent le meilleurs d’eux même.
C’est pas parce qu’on est Secrétaire Général du RPM qu’on doit être forcement nommé premier ministre.
Si le président juge bon que d’autres personnes en dehors de sa famille politiques sont plus aptes à occuper ce poste,je vois pas du tout le problème.
Il faut dire que c’est gourmandise qui a fait perdre Tréta.
Je ne sais pas du tout sur quoi compte Tréta dans ce pays mais je pense qu’il serait mieux qu’il ressaisisse car un individu ne peut absolument rien devant un État.
C’est mieux pour lui de faire profil bas car il est d’avance perdant de tout bras de fer avec le président.
J’aimerais éclaircir certaines opinions surtout ces journaleux qui veulent tout faire pour mettre le feu au sein du RPM. Il faut que vous ( Journaleux) compreniez une chose que la Nation Malienne ne repose pas sur la seule tête de Tréta. Si, son employeur a jugé mieux de le congédier, qu’on ne fasse de cela un scandale ?
D’ailleurs, des compétents comme Tréta, il y en a autant. De grâce foutez nous la paix !
Si les journalistes peuvent se doter d’un minimum d’objectivité et de responsabilité en arrêtant de nous pomper l’air avec les histoires de limogeage de Tréta et Igor. Ce sont de vaillants et loyaux fils de la nation qui sont venus servir celle-ci et qu’aujourd’hui la force des choses ont fait qu’ils ne sont plus dans la nouvelle équipe. C’est un poste nominatif, chacun vient apporter sa part dans l’édification de la nation et s’en va.
Donc qu’on arrête de nous faire croire le contraire.
Monsieur le journaliste, épargnez nous de vos sentiments personnels. Il s’agit de l’avenir du pays et non d’une famille. Le ministre Tréta a fait ce qui devrait faire et nous lui en savons gré. Cependant, il faut aller de l’avant au lieu d’alimenter des polémiques.
Je pense qu’on a pas à crier au scandale parce que tel ou tel ministre est parti au détriment de l’autre. Pourquoi c’est pas tel ? Si ces deux ministres sont partis c’est qu’il y a de bonnes raisons. Evitez mes chers journalistes d’alimenter les polémiques pour des histoires d’hommes alors que de nombreux défis nous attendent.
Je pense que les résultats de ce ministre à la tête de son département sont sans reproche. Mais cela ne fait pas de lui une personne indispensable. Donc, arrêtez mon cher journaliste de dramatiser les choses. Il y a des personnes aussi compétentes que lui.
Franchement, nous finirons jamais d’être servis par ces journaleux. Il y a quelques jours que ceux-ci publiaient par ci et par là le remaniement. Aujourd’hui, le nouveau gouvernement a été formé. Voici qu’on cris pourquoi d’autres sont partis au détriment d’autres ? Que voulez-vous mon cher journaliste ? Est-ce des personnes indispensables pour la cause du pays ? Je dis Non. Des personnes compétentes comme ces deux, notre en possède autant. Il s’agit de leur donner leur chance. Et c’est ce que le président a fait.
Il faut que les journalistes comprennent que pour servir une nation, ce n’est pas une question de préférence de personne. J’appelle le RPM à plus de solidarité autour du président pour que ce dernier puisse mener à bien sa mission. L’heure n’est pas à la division, mais au travail pour la bonne marche du pays.
A mon humble avis, le RPM a intérêt à défendre bec et ongle non seulement les actions du président mais aussi les idéaux du parti pour la prospérité du pays et le bien-être du peuple. Que les intérêts mesquins des uns et des autres ne leur font pas perdre de vue ces idéaux.
Comment est cynique et sadique à la fois. Ces journalistes trouvent toujours de quoi à accuser les pauvres autorités. Il faut savoir que la grande France a été frappée sans oublier les USA. Ne sont elles pas équipées. Alors arrêtez vos articles chiffonniers
Le PDG Kalfa Sanogo sortant doit s’apprendre à son complice de Tréta. Désormais plus rien ne sera toléré sous ce régime. Nous sommes là pour développer ce pays et non se remplir les poches.
Nous souhaitons bon vent au nouveau PDG de la CMDT
Le président a été soutenu par la coalition présidentielle qui travaille efficacement au coté du président IBK.
Il faut se poser la question pourquoi ceux ci sont -ils restés. Alors il faut donc se poser la question que l’on est jugé par sa compétence et non pour son appartenance politique.
Que Tréta aille se faire voir ailleurs
Le RPM doit comprendre que le président sait ce qu’il veut. Ce parti doit savoir qu’il n’a pas porté le président IBK pour venir se remplir les poches mais pour travailler.
Si Tréta est parti c’est qu’il ya une belle raison et il peut être appelé pour d’autre mission. Ce n’est pas seulement étant ministre qu’on peut servir son pays
IBK a une belle raison de les écarter donc arrêter de nous faire croire autre chose. Nous savons tous ce qu’on vous a donné. Je porte à ta connaissance que c’est l’argent volé à l’état malien.
Vous êtes tous des journalistes pourris
Le RPM est rempli d’opportunistes et d’incompétents. IBK veut le développement du pays et donc il ne saurait travaillé avec de telles personnes de peur de mettre notre pays en retard. Il est temps que les maliens, le pays a besoin des hommes forts pour le reconstruire au lieu de le détruire à travers les scandales et malversations
Le président a bien prévenu que tout ceux qui seront cité dans un quelconque scandale partira du gouvernement. Alors que Tréta nous prouve le contraire qu’il ne sait rien des scandales dont il est accusé Monsieur le journaliste
Le président IBK doit son élection à l’ensemble du peuple malien. C’est vrai qu’il est issu du RPM mais cela ne doit l’obliger à forcément prendre des gens qui ne pensent qu’à leur intérêt personnel. Mr Tréta se prenait pour le président de la président au point d’en vouloir aux personnes par IBK.
Le RPM doit comprendre que le président sait ce qu’il veut. Ce parti doit savoir qu’il n’a pas porté le président IBK pour venir se remplir les poches mais pour travailler.
Si Tréta est parti c’est qu’il ya une belle raison et il peut être appelé pour d’autre mission. Ce n’est pas seulement ministre qu’on peut servir son pays. Il est indigne d’un porte feuille ministériel encore sous le régime IBK
RPMistes rappelez vous cette déclaration de KENNEDY, chaque citoyen doit se demander qu’est ce que je peux faire pour la patrie et non qu’est ce que la patrie peux faire moi!!
vraiment vous demandez trop à la patrie, Questure, Primature, Assemblée, postes stratégiques etc… présidence des différentes commissions à l’assemblée trop c’est trop, certains ont intérêt a profiter de leur poste ( situation actuelle) pour étudier afin de se rendre digne de quelque chose en dehors de la politique au lieu de vouloir imposer un premier ministre par la voix de la rue du jamais vu;
IBK vous avez le soutien du Peuple, n’aménager aucune tendance, soyez impartial, personne n’a mis en doute les qualités d’ 1 KONIMBA c’est la preuve que le peuple connait tous ces ministres qui vous entourent et sait qui mérite quoi.
Les membres du RPM doivent savoir qu’il n’est point obligatoire que le gouvernement d’IBK soit remplit des membres du RPM, cela porte atteinte à la démocratie du pays. Les membres du RPM doivent faire preuve de bonne foi et patriotisme.
Je pense qu’une chose doit être claire pour les partisans de Treta Bocari, Treta Bocari ne sera jamais premier ministre de ce pays. il l’a déjà démontré étant dans le gouvernement qu’il n’est pas capable de le faire. Si Treta devenais premier ministre de ce gouvernement la population allait immédiatement perde toute sa confiance au régime d’IBK.
Avec Treta Bocari ou sans lui, avec le RPM ou sans RPM, le gouvernement d’IBK sera toujours fonctionnel. Treta n’a pas pu faire preuve de responsabilité de confiance. De nombreux scandale ont été remarqués dans son secteur. L’irresponsabilité a marqué le secteur de Treta Bocari de son emprunte.
Je pense que nous ne devrions pas créer de polémique autour du limogeage pure et simple de Bocari Treta, vue ses résultats en tant que ministre, il le méritait se limogeage. Le plus important doit rester l’intérêt général du pays.
Le parti politique présidentielle est le parti politique qui cause le plus de tort au régime de leur leaders au pouvoir, le rpm doit tout d’abord sous tenir le régime au pouvoir avant d’aspirer pour quoi que ce soit. La course pour le fauteuil du premier ministre Modibo Keïta est une course qui prime la mauvaise foi du RPM, vis-à-vis d’IBK et de la population malienne.
Le RPM aura quoi de droit, mais ce n’est point en mettant la pression sur le président IBK qu’ils auront gains de cause. RPM est le parti au pouvoir donc il dispose d’une marge de faveur plus ou moins vis-à-vis de leur semblable mais le problème est qu’il n’arrive point à faire bon usage de cet avantage.
Je pense que le limogeage de Treta est tout à fait normal, la rentabilité de son travail était de plus en plus minime. Treta ne peut pas diriger le gouvernement malien, il ne dispose pas de la responsabilité pour la faire. Les membres du RPM pensent que le gouvernement sera un gâteau ou chacun pourra se servir.
💡 💡 💡 💡 Pour le bien du gouvernement Bocari Treta ne pouvait pas rester dans le nouveau gouvernement. Treta lorsqu’il était ministre n’a pas pu faire preuve de satisfaction. De scandale en scandale, ainsi se résume son séjour dans le fauteuil de ministre.
Les membres du parti RPM ne doivent pas prendre le limogeage de Bocari Treta comme une déclaration de guerre entre eux et le président de la république, non loin de là. C'est Bocari Treta en personne qui n'a pu fait de bon résultat. Le RPM doit essayer de comme prendre l'action du gouvernement et le soutenir car elle dans l’intérêt générale.
Les membres du parti RPM ne doivent pas prendre le limogeage de Bocari Treta comme une déclaration de guerre entre eux et le président de la république, non loin de là. C’est Bocari Treta en personne qui n’a pu fait de bon résultat. Le RPM doit essayer de comme prendre l’action du gouvernement et le soutenir car elle dans l’intérêt générale.
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