Haut conseil islamique : la succession de l’imam Mahmoud Dicko ouverte

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Le Haut conseil islamique du Mali renouvèlera son bureau le samedi 20 avril. Après deux mandats, le président sortant l’imam Mahmoud Dicko n’est pas candidat à sa propre succession. Ils sont pour le moment trois hommes et pas des moindres à vouloir lui succéder. Il s’agit de Cheick Chérif Ousmane Madani Haïdara, Cheick Soufi Bilal Diallo et Moussa Bah.

Électricité à Bamako : bonjour le délestage !

La ville de Bamako est régulièrement plongée dans le noir en cette période d’extrême chaleur. Des interruptions permanentes de l’électricité exacerbent la population. La faute à la société Energie du Mali qui peine à satisfaire ses clients. Pis, le problème n’a jamais été pris à bras le corps. Les autorités songent à remplacer les directeurs au lieu de s’attaquer à la racine du mal. Celui du manque d’investissement. De 2013 à nos jours, cinq directeurs se sont succédé sans que le problème ne connaisse le moindre début de solution. La société manque d’investissement. Sans initiative et manquant de leadership, le ministre de tutelle, Sambou Wagué, s’est muré dans un silence de cathédrale. Celui-là même qui a oublié de payer la quote-part du Mali aux Nations unies à l’époque où il était directeur général du Budget. En attendant que celui-ci se réveille, le calvaire continue.

Massigui : le village Kénikela s’adjuge le trophée de la Coupe Mamadou Diarrassouba

La finale de la coupe Mamadou Diarrassouba, député élu à Dioïla, s’est jouée le samedi 13 avril à Massigui. Elle a opposé l’équipe du village de Touna à celle du village de Kénikela. Cette dernière remporta le gain de la partie par un score de 2 buts à 0, à l’issue d’une finale âprement discutée. Les trois équipes sur le podium ont chacune reçu des cadeaux des mains du donateur, qui s’est dit satisfait de l’organisation. Cette coupe a vu la participation de vingt-trois équipes de la commune de Massigui.

Samé Plantation : la jeunesse procède à la rénovation des salles de classe de l’école

Les salles de classe sont tombées en ruine depuis des mois. Pour assurer les cours sans encombre, l’administration scolaire a été obligée de délocaliser les salles de classe dans l’enceinte du Centre d’apprentissage agricole (CAA). Face à cette situation, les jeunes du village se sont donné la main, en apportant chacun le minimum qu’il a afin de pouvoir rénover les salles de classe. Ce qui est aujourd’hui une réalité puisque les travaux s’acheminent vers leur fin. Comme quoi, «à cœur vaillant rien n’est d’impossible». La jeunesse confirme ainsi l’adage selon lequel quand on crie dans la forêt, quand on ne voit pas quelqu’un, on se retrouve soi-même. Il faut rappeler que sur les neuf salles de classe que compte l’école, trois au moins ont été construites par les habitants du village.

Rassemblées par Sora Bana Sanu

Source : Le Wagadu

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