Et de la manière qu’ils savent pratiquer le plus. Depuis, dans leur escarcelle, est tombé un otage de plus. L’enlèvement du franco-portugais, le sieur Rodriguez à Diéma, prouve que les jihadistes n’ont cure des fanfaronnades des ” facilitateurs professionnels” en charge de la résolution de la crise de notre pays.
” Les otages ou la mort ! les jihadistes vaincront “. !
Nouvel otage aux mains des jihadistes
Les complicités mauritaniennes
Pendant que le président Ould Abdel Aziz fait de la résistance pour donner un coup de main aux forces devant aider notre pays à libérer sa partie septentrionale, les jihadistes continuent à avoir pignon sur dunes de sables entres les oueds de la Mauritanie. Ceux-là qui ont enlevé le franco-portugais à Diéma la semaine dernière sont certainement venus de la Mauritanie d’où ils seraient repartis une fois leur forfait accompli. Il semble qu’ils ont pisté leur victime depuis le territoire mauritanien.
Mais puisqu’il faut que ce soit notre pays qui doit bien garder son statut de maillon faible de la lutte contre le jihadisme sauvage, l’opération devait avoir lieu au Mali. Pour le repli des criminels, les frontières mauritaniennes étaient largement ouvertes, avec l’appui des complices locaux.
Cheick Modibo Diarra le presque candidat
Bientôt un nouveau PM ?
Il ne fait plus de doute que Cheick Modibo Diarra ci-devant Premier Sinistre PP, imposé aux maliens par ceux que l’on sait, a pris goût aux délices du pouvoir. Ce faisant, depuis un long moment, il fait des pieds et des mains pour contourner l’accord invitant les chefs de la transition à ne point avoir la toge de candidat pour les prochaines élections. Cet accord contrarie, invraisemblablement, les velléités présidentielles de notre martien. Puisqu’apparemment, il bénéficie de peu de soutiens pour ses ambitions présidentielles, il se murmure qu’il pourrait quitter dans les prochaines semaines ses habits de Pm pour endosser ceux d’un candidat aux plus hautes fonctions de l’Etat. Les conseils de son beau-père GMT, que la presse a qualifié de boucher de Bamako pendant les événements de mars 1991, ne seront pas de trop.
Pour la succession de notre astrophysicien, les milieux bien informés citent le nom et le prénom d’un très vieux caïman du premier cercle d’affidés du beau père national. Après le beau fils, place à un fidèle parmi les fidèles pour une gestion saine de l’héritage sorti des décombres du 22 mars.Pauvre de nous – Maliens!.
Cheick Modibo Diarra au Tchad
Le pourquoi d’une visite
Le Premier Sinistre de la transition l’extraterrestre national était en début de semaine à Ndjamena capitale de « la très démocratique République du Tchad». Même si le communiqué officiel annonçant son voyage ne pipe mot des vraies motivations de ce déplacement, on sait que le pays d’Idris Deby Itno très expérimenté dans les expéditions militaires contre des insurgés. L’expérience de sa soldatesque dans le désert du Darfour peut aider notre pays à se débarrasser de ses encombrants invités qui ont fini par prendre possession des régions du Nord.
Présidence de Dioncounda la gaffe
L’indolence au pouvoir
Les Maliens ont trouvé d’un très mauvais goût les tergiversations du pouvoir sur les dates retenues pour les concertations nationales. Comme piqué par on ne sait quel mauvais diable, la Présidence de la République pond un communiqué pour annoncer la date du 10 décembre pour le top départ. Puis comme pris de panique les services de Dioncounda re ” pondent ” un autre communiqué qui, tout en mettant l’accent sur la forte symbolique du 10 décembre au Mali, propose une autre date.
En réalité ces tergiversations ont pour dénominateurs communs, la légèreté et l’indolence de la pratique présidentielle de Dioncounda La Gaffe. Un président, sans pouvoir, manquant totalement d’initiatives dans l’exercice de ses fonctions. Cui-là est juste bon pour inaugurer les chrysanthèmes. Et même là attention aux gaffes.
Concertations nationales
Les exclus de la démocratie au sein du parti
Les Concertations dites Nationales sont prévues, sauf coup de théâtre, au cours de la deuxième semaine du mois de décembre. Sur la qualité, le nombre et la représentativité des ” élus “, les débats sont très animés. On sait par exemple que des associations bidon créées au lendemain du 22 mars 2012, auront des missions importantes au cours des assises.
Par contre des organisations, reconnues pour leur part dans la démocratisation et le débat d’idées dans notre pays, sont juste acceptées pour ” faire semblant “. Pire, lors des réunions préparatoires, les associations qui ont pu contester les organisateurs sur l’opportunité et le choix des sujets à débattre, ont été purement et simplement rayées de la liste des convives. Les thuriféraires de la démocratie au sein du parti n’ont pas encore sorti toutes leurs armes d’exclusion massive.
Grève à Bamako
La Chambre de Commerce sous haute surveillance
L’arrêt de travail lundi et mardi à Bamako observé dans la capitale par certaines corporations du monde des affaires a poussé beaucoup de bamakois à découvrir les vertus de la marche à pieds. Les piétons étaient si nombreux qu’ils disputaient les voies de circulation aux automobiles.
La Chambre de Commerce dont les chefs se sont désolidarisés du mouvement était lundi et mardi sous très haute surveillance policière. Tous les accès de la forteresse des cols blancs étaient gardés par des flics prêts à en découdre avec le premier perturbateur. D’ailleurs les va et vient des visiteurs se faisaient sous l’œil vigilant des gardiens de circonstance. On ne sait jamais dans notre Mali d’aujourd’hui.
Des initiatives pour la paix au nord du Mali
Une nouvelle étape vient de s’ouvrir, le lundi 3 décembre, dans le dossier malien avec la présence à Ouagadougou d’une délégation officielle conduite par le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale, Tiéman Coulibaly. A l’invitation du médiateur de la CEDEAO, Blaise Compaoré, cette délégation devrait entamer mardi des pourparlers avec deux groupes armés présents dans le nord du pays, les indépendantistes du MNLA- défaits, récemment, par les terroristes du MUJAO- et les islamistes d’Ansar Dine.
Le médiateur burkinabè cherche à apaiser les premières dissonances. Le Mali accepte, ainsi, de rencontrer les mouvements Ansar Dine et le ”MNLA”. Il ne s’agit pas encore de négociations, mais, d’un dialogue préliminaire, assurent des sources proches de la médiation. La délégation nationale de trois personnes a été reçue déjà par le président Compaoré. Mardi, le médiateur burkinabè explique à ses hôtes son objectif: proposer une cessation complète des hostilités entre parties belligérantes, en contrepartie de l’acceptation de la réunification du territoire et le renoncement à la charia. Un agenda politique de négociations s’ouvre alors ce mercredi. La partie gofernementale campe sur ses positions: disponibilité au dialogue, cependant, avec des groupes maliens, qui auront renoncé préalablement à l’indépendance et à la charia.
Pour sa part, le mouvement islamiste Ansar Dine réaffirme avoir pris ses distances avec Aqmi. Toutefois, dans une lettre adressée au médiateur de la CEDEAO, le MNLA a déjà fait connaître ses conditions de discussion: rejet total de se réunir autour d’une même table de négociation avec Ansar Dine et les terroristes. L’entourage du médiateur s’active pour que la confiance puisse être instaurée entre tous les protagonistes.
Dioncounda Traoré Chez Mahamadou Issoufou
Le président par intérim, Dioncounda Traoré a rencontré, dimanche 2 décembre, le Président du Niger Mahamadou Issoufou à Niamey. Les deux hommes d’Etat ont affirmé avec regret le recul de l’ONU, concernant l’intervention armée africaine dans le nord du Mali occupé par des islamistes armés.même le Mali est prêt à négocier à Ouagadougou avec les mouvements armés dans le Nord Mais non sans condition.
Une information confirmée par Dioncounda lors de la confépresse conjointe avec le président nigérien Mahamadou Issoufou. C’était à la veille du départ de la délégation malienne à Ouaga pour entamer les préalables d’un dialogue entre le Mali et certains groupes opérant au Nord, qui ont manifesté leur désir d’entrer en négociation avec nos autorités maliennes.
Face aux 500 soldats du Colonel malien Alhaji Ag Gamou, cantonnés dans la capitale nigérienne, le président Dioncounda Traoré a expliqué l’importance stratégique de ce contingent en cas d’opération de reconquête du nord du Mali. Le Mali fait de ce contingent, basé au Niger un rempart important dans les futures opérations qui seront menées prochainement sur le terrain.
La Rédaction
À les vous faire foute MNLA et d’Ansar Dine
Hypocrites d’Ansar Dine mahonnete mnla
وجعلها لك لا mnla و انصار تناول الطعام
المنافقين غير شريفة انصار تناول الطعام mnla
To make them for you does MNLA and of Ansar Dine
Hypocrites of Ansar Dine malhonnete mnla
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