Lorsqu’on analyse la démarche du Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l’Etat (CNRDRE) à celle du Comité militaire de libération nationale (CMLN) du 19 novembre 1968, elle est identique. Identique par les procédés. S’agissant du père (CMLN), après le coup d’Etat du 19 novembre 1968, c’était la belle vie.
Les jeunes militaires du CMLN ont tous convolé en secondes noces avec des femmes intellectuelles ou des grandes dames bien connues à Bamako. C’est avec le Comité militaire de libération nationale que la société malienne a connu la dépravation des mœurs avec à la clé des femmes célibataires, chefs de famille.
Pis, les retards de salaires ont rendu impossible la cohésion familiale. Du coup, on a vu à Bamako des épouses devenir chefs de famille en lieu et place de leurs maris qui ont été victimes du fameux PAS (Programme d’ajustement structurel).
Identique par la trahison intervenue au sein du CMLN en 1969 (Yoro Diakité) et en 1978 (l’arrestation de la bande des trois), promotion à titre exceptionnel accordée à des proches du président du CMLN.
«Tel père tel fils», sied bien à certains comportements de certains membres du CNRDRE qui nous préoccupe en cette période de rébellion touarègue. Un membre influent du Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l’Etat (CNRDRE) a offert une voiture de marque Corolla à sa dulcinée à Banconi. Ce geste n’est rien pour un jeune bidasse putschiste du 22 mars 2012.
Mais, ce qu’il faut craindre, c’est l’insigne (AMA) de la hiérarchie militaire apposée sur le véhicule. Dès lors, la copine de ce membre du CNRDRE exercerait sa suprématie sur ses voisins du quartier. Comme les sages disent : «les femmes font et défont les pouvoirs. Attendons de voir.»
Promotion dans l’armée. De qui se fout-on encore ?
Le colonel Kolo Diarra dit Papus, nommé Haut fonctionnaire de défense auprès du département du Logement, de l’Urbanisme et des Affaires foncières, aurait mis en pièces détachées les camions et autres engins de notre armée sans coup férir. Le général Amadou Toumani Touré, malgré sa politique de népotisme, n’a pas osé accorder une promotion à cet officier, voleur d’engins de l’Armée.
Le butin aurait été cédé à vil prix aux ferrailleurs des marchés du district de Bamako.
Quant au colonel Satigui Sidibé, il serait accusé d’avoir détourné les fonds du service social de l’Armée. Informé, ATT était en larmes.
Des promotions de cette nature mettent à nu le népotisme des membres du CNRDRE. Aujourd’hui, c’est sombre. Demain ce sera pire.
Blocage des équipements militaires dans les ports des pays voisins : Alassane Dramane Ouattara accuse Dioncounda Traoré et Cheick Modibo Diarra
Selon des sources concordantes, le président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Alassane Dramane Ouattara, aurait affirmé que c’est sur instructions du président par intérim Dioncounda Traoré et le Premier ministre Cheick Modibo Diarra que l’organisation sous régionale a bloqué dans les ports de Dakar et de Conakry les armes commandées par le Mali. Et ADO, nous apprenons par la même source que les deux personnalités maliennes soutiennent que ces armes serviront à les destituer.
Une raison toute trouvée par Dioncounda et Cheick Modibo Diarra de demander leur blocage jusqu’à l’arrivée des troupes CEDEAO.
L’honorable Mahamadou Hawa Gassama accuse Oumar Mariko d’avoir touché ses indemnités du mois d’octobre
Le Docteur Oumar Mariko a dit haut et fort qu’il se retirera à la fin du mandat des députés le 9 août 2012. Il l’a dit, il l’a fait. Maintenant, pour ce qui est des émoluments, l’honorable Mahamadou Hawa Gassama peut s’informer auprès des deux questeurs, car Mariko a fermé son compte bancaire (BDM) dans laquelle la questure virait ses fonds. Il est temps que l’honorable Mahamadou Hawa Gassama sache raison garder surtout quand on est de moralité douteuse.
Durée officieuse de la transition au Mali = 5 ans
Le tandem, Dioncounda Traoré, Cheick Modibo Diarra et Amadou Haya Sanogo, n’augure rien de bon pour les Maliens. Aucune perspective de sortie de crise n’est visible à court terme.
Après le partage des rôles, c’est le népotisme. Dioncounda, Cheick Modibo, Amadou Haya prennent des décisions qui fâchent. Les hommes politiques avertis l’ont compris : la durée de la transition serait de cinq (5) ans.
Les couturiers de Dubaï concurrence ceux du Sénégal
Dubaï vous connaissez ? C’est l’un des Emirats arabes unis sur le Golfe persique. Cet Emirat très riche en pétrole est connu au Mali grâce à ses articles de commerce. Les commerçants du Mali font le trajet Bamako Dubaï à recherche d’articles rares.
Autrefois, les commerçantes maliennes partaient à Dakar pour acheter les robes ou ensembles «Grand Dakar. Quand il y a eu la «crise de train voyageur», c’est la destination Bamako Dubaï que tente actuellement beaucoup de commerçantes maliennes. Elles viennent avec des ensembles prêts à porter made in Dubaï, bien faits par des couturiers du Golfe Persique.
La Rédaction
Maison des Combattants : une gestion opaque
Qui gère la Maison des Combattants du Mali ? Combien rapportent les boutiques louées ? Toutes ces questions sont demeurées sans réponse au passage de notre équipe rédactionnelle. Selon des sources proches de la Maison des Combattants, elle serait une propriété d’un groupe de retraités combattants.
Ce groupe d’officiers retraités seraient très influents au Mali. L’intérieur de la Maison des Combattants pue. La nuit, elle n’a rien a envié d’une maison de passe.
Vivement, la lumière sur cette gestion opaque des vieux soldats.
Au rythme où l’on va, ces vieux peuvent traficoter le titre foncier à un opérateur foncier
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