Aucune fanfaronnade politique ne me fera partir à Kidal», dixit le président Ibrahim Boubacar Keïta. Ce propos est clair et annonce l’appartenance de Kidal à l’Azawad. La Constitution de 1992 dit que notre pays est un et indivisible. Malgré la présence du gouverneur à Kidal, c’est le drapeau de l’Azawad qui y flotte. Depuis la nomination du Premier ministre, Abdoulaye Idrissa Maïga, à la primature, il n’a jamais foulé le sol kidalois.
Cependant, il s’est rendu dans certaines localités contrôlées par les bandits armés (Kouakourou, Soumpi) dans la région de Mopti. A l’élection présidentielle de 2013, IBK est le seul candidat qui a pu se rendre à Kidal pour battre campagne. Celle de 2018 serait décisive pour ce qui reste encore du Mali car l’Azawad est à Bamako et menace l’unité nationale.
Entre celle qui a piétiné le drapeau national et celle qui a porté le drapeau de l’Azawad: Qui a fait pire?
Le Mali du président IBK est tombé si bas. Au fil du temps, on assiste à des choses révoltantes. Mme Nina Walett Intallou a piétiné le drapeau du Mali pour ensuite se voir nommée ministre de l’Artisanat et du Tourisme. Il n’y a pas pire manquement que cela. Ensuite, elle a tenu des propos incendiaires contre le Mali avant d’abdiquer. Celle qui a porté le drapeau n’est que la suite logique du ministre de l’Artisanat et du Tourisme. Nina Walett a fait pire et ne mérite pas de siéger dans un gouvernement responsable dans notre pays.
La Rédaction
Kidal n’est et ne sera jamais azawad. L’autorité intérimaire de kidal et le gouverneur de Kidal sont des représentants de l’Etat malien à kidal. Bien vrai que le retour de l’administration se fait lentement mais sûrement. Ce sont les ennemis de ce pays qui veulent que kidal soit l’azawad mais ce n’est qu’une utopie.
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