Flash : Les brèves de l''AUBE

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Mali-Libye : Bachir à Bamako

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Le Directeur de cabinet du guide de la révolution libyenne, Bachir Salah Bachir, a effectué, dans la nuit du mercredi 17 au jeudi dernier, une brève escale d’une heure à Bamako. En route pour Conakry et Niamey, le patron de la Libya Africa porto folio for investioments (LAB), a rencontré le président Amadou Toumani Touré.

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Lors de cet entretien au Palais de Koulouba, les deux personnalités ont évoqué divers sujets relatifs aux multiples projets exécutés par la LAB au Mali. En plus des investissements dans l’hôtellerie, la société libyenne a entamé l’aménagement de 100 000 hectares dans la zone Office du Niger.

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Au cours de ce périple, le Mali et certains pays de la sous-région, Bachir Salah Bachir est accompagné par certains proches collaborateurs dont notre compatriote Mamadou Bany Kanté, directeur général de la LAB pour l’Afrique de l’ouest.

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Tombouctou (1) : Le jeu trouble des Algériens

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Sous le couvert de la recherche pétrolière dans la zone de Taoudenit (région de Tombouctou), les Algériens via leur société pétrolière Sonatrac se livreraient à une campagne de manipulation de la communauté arabe de cette zone. Selon certains observateurs, l’objectif de cette manipulation serait d’organiser la jonction entre Touaregs et Arabes des régions de Kidal et de Tombouctou. En clair, les Algériens auraient l’intention de mettre sous leur coupe, les Arabes qui jusqu’ici étaient farouchement opposé à une présence algérienne dans la zone.

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Aux autorités maliennes, d’être vigilantes sur les activités de la société Sonatrac qui a réussi à obtenir un permis de recherche pétrolière à Taoudenit et qui agit pratiquement seule dans une grande partie du nord du pays.

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Tombouctou (2) : Curieux village

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Les Algériens, toujours sous le couvert de la recherche pétrolière, aurait entrepris la création d’un village près de Taoudenit. Des tonnes de matériels, en provenance de Bordj El Mocktar (Algérie), y sont quotidiennement débarqué, selon nos sources.

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Pour certains, des agents de renseignement algériens auraient investi cet endroit et d’autres parties du nord. Ils seraient en contact permanent avec les bandits armés dirigés par Bahanga. Histoire sans doute d’établir une main mise algérienne sur le nord-Mali.

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Nord-Mali (1) : Les Algériens en toute tranquillité !

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En ce temps d’insécurité dans certaines parties du nord-Mali, les Algériens,toujours eux, ne se font aucun souci. En effet, leur société pétrolière, la Sonatrac s’est déjà installée dans la zone de Taoudenit. Des véhicules de cette société avec une légère escorte, traverse constamment la frontière sans aucun incident et souvent sous l’œil de bandits armés. Preuve, sans doute, de la « bonne collaboration » entre Bahanga et ses protecteurs algériens.

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Nord-Mali (2) : Le GSPC veille sur les intérêts  algériens

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Le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) avait en 2006, menacé de s’attaquer aux intérêts des Occidentaux dans le nord-Mali. En clair, les salafistes affichaient leur détermination à empêcher toute recherche pétrolière au nord du Mali de la part de sociétés pétrolières occidentales.

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Aujourd’hui, une société algérienne a entamé des travaux de recherche dans le fin fond de Taoudenit, au nez et à la barbe des salafistes qui assurent sa protection. Qui dit que le GSPC n’est pas un instrument des autorités d’Alger ?

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Conférence sur la Bande sahélo-saharienne : Ouane réaffirme…

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Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération Internationale, Moctar Ouane, lors de la dernière session de la grande commission mixte Mali-Algérie, a réaffirmé la position du Mali quant au règlement de la crise au nord du Mali et du Niger, à savoir l’organisation d’une conférence impliquant outre les deux pays, tous ceux concernés par cette zone et les partenaires internationaux. L’idée d’une telle rencontre avait été lancée par le président Amadou Toumani Touré, lors de son discours du 22 septembre 2007.

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Hostilité algérienne

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Apparemment, l’idée de la tenue d’une conférence sur la bande sahelo-saharienne n’enchante pas nos voisins algériens. Ceux-ci, jusqu’ici, s’étaient placés dans une position d’incontournable médiateur dans les crises successives qui ont secoué le Mali et le Niger. Ainsi, pour les observateurs, les Algériens n’affichent guère d’enthousiasme pour une approche internationale qui pourrait bien dévoiler à la communauté internationale leur jeu favori : jouer au sapeur pompier, pyromane.

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