Flambée du prix de l’or :
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Le Mali n’obtient que la poussière
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L’once d’or a été cotée à la bourse le jeudi 08 novembre dernier à 824 Dollars US. Autrement dit, le jeudi dernier
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Le Mali mauvais élève du FMI
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Il n’y a pas longtemps, un responsable du Fonds Monétaire international en réunion de travail avait proposé au Mali d’effectuer des voyages d’études au Ghana et en Tanzanie afin de s’inspirer de l’expérience de ces deux pays en matière de gestion du secteur de l’or. A cette réunion, aucun des hauts fonctionnaires présents dans la salle n’a osé lever le moindre doigt pour appuyer ou désapprouver cette proposition du médecin Bretton- Woodien qui venait de diagnostiquer la mauvaise santé du Mali dans le contrôle de la production aurifère et dans la gestion des ressources générées par le métal jaune. C’est chez nous que l’état joue deux rôles contradictoires : participation mineure au capital des sociétés minières et puissance publique avec pour mission de recouvrer les taxes et impôts au compte du Trésor Public. Jusque là l’Etat n’a fait que jouer pleinement son rôle de participant au capital en maximisant la rentabilité des entreprises minières au détriment des travailleurs et des populations des différents sites miniers. Il ne contrôle rien dans le secteur au motif qu’il n’a pas de cadres disponibles pour jouer ce rôle.
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L’or absent du langage gofernemental
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Il y a cinq à six ans, les Ministres se fondaient sur la mévente du coton et de l’or pour expliquer les difficultés financières du Mali. Aujourd’hui, l’or se vend quatre fois plus cher qu’en 2001, et pour ne pas s’attirer des revendications sociales, les princes du jour font tout simplement omission de l’or lorsqu’ils expliquent les difficultés du coton qui sont de plus en plus évoquées pour motiver la crise. Il leur est difficile de faire la moindre allusion à l’or qui a quadruplé sa valeur en cinq ans. Désormais le Mali a des problèmes financiers en raison de la crise du coton sur le marché international. L’or, quant à lui est interdit dans le langage du gofernement en raison de sa flambée sur le même marché international. On n’évoque l’or que lorsqu’il sera en crise.
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Accrochage au Nord du Niger
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Le week-end dernier un accrochage a opposé l’armée nigérienne aux rebelles touareg du MNJ. L’Etat Major nigérien a donné un bilan de trois blessés et quatre disparus dans ses rangs. Cet accrochage est un avertissement pour le Mali qui fait face à la même rébellion Touareg dans sa partie nord. Si Bahanga et Fagaga se font oublier ces derniers temps cela ne doit pas amener l’armée à se laisser distraire. Ces rebelles agissent toujours par effet de surprise au moment où ils sont attendus le moins.
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Ascension du prix des denrées alimentaires
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Les prix des denrées alimentaire poursuivent leur ascension. Le panier de la ménagère subit jusqu’à ce jour la loi des spéculateurs qui sont un peu partout et qui profitent de leur rôle d’intermédiaires pour augmenter le prix des produits de consommation. Le lait, l’oignon, l’huile alimentaire, etc viennent de subir un nouveau renchérissement. Le pain suivra bientôt. S’il a échappé a une augmentation du prix ces derniers temps c’est en raison de l’intervention de la nouvelle ministresse de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie qui a demandé aux boulangers de lui accorder un minimum de temps pour qu’elle fasse des ménages dans son département.
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Vacances de postes dans les chancelleries maliennes
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Plusieurs postes sont vacants dans les différentes chancelleries du Mali à l’étranger. Sa Majesté Zounzani 1er qui définit la politique étrangère du Mali n’est pas pressé de combler le vide qui commence à s’installer. Une attitude attentiste que risque de porter un coup à l’élan de notre diplomatique. A la veille de la rencontre internationale de la communauté des démocraties, notre pays doit avoir une diplomatie dynamique avec des ambassadeurs et des conseillers d’ambassade jouissant pleinement d’une lettre d’accréditation en bonne et due forme.
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Un gofernement en sommeil
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Après un mois de fonctionnement, force est de reconnaître que le nouveau gofernement du Mali n’est pas pressé de s’attaquer aux problèmes qui se posent à lui. Jusque là on a assisté à des visites de routine dans les différents services relevant du département et à quelques nominations dans les différents cabinets ministériels. Aucun acte majeur n’a été posé en dehors du projet de loi sur l’abolition de la peine de mort dans notre pays. A vrai dire l’équipe de Jimmy le flic est plongée dans un sommeil profond et personne ne sait quand elle se réveillera. Le nouveau patron de l’appareil exécutif est attendu au palais de Bagadadji pour la présentation de sa déclaration de politique générale. Le Général flic aussi attend pour ce faire la lettre de cadrage de son patron Zounzani 1er. D’ici là, le Malien moyen croupit dans des difficultés de tout genre comme s’il manquait de qui s’occuper de lui face aux spéculateurs dominés par l’esprit mercantile.
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La nouvelle Chancellerie libyenne ouvre ses portes
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La nouvelle chancellerie de la grande Jamahirya Arabe libyenne Populaire et socialiste au Mali sise à l’ACI
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