Femafoot: 11 postulants pour un fauteuil

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Femafoot: 11 postulants pour un fauteuil

La Commission de validation des candidatures devait procéder au rejet pur et simple des dossiers des candidats non conformes au règlement de la Fédération malienne de football (FEMAFOOT). C’est-à-dire, invalider les candidats non membres d’une ligue de football. Ce qui n’a pas été fait. Dès lors, on s’attend à une triche émanant de la Commission d’investiture.

Pour prétendre briguer la présidence de la FEMAFOOT, il faut être membre d’une ligue. A notre connaissance, sont membres d’une ligue, les candidats: Banouh Makadji (Koulikoro) ; Mamoutou Touré (District de Bamako), Salaha Baby (Tombouctou). Les dossiers des huit (08) autres candidats devraient être rejetés par le président de la Commission de validation.

FEMAFOOT, Boubacar Baba Diarra,  mandat terminé: Est-il possible de le plébisciter ?

Sans risque de nous tromper, nous rétorquons que oui parce que le bilan de l’inspecteur général, Boubacar Baba Diarra, a été l’un des meilleurs pour notre pays malgré ses accointances avec certains caciques du monde du football malien. Au cours de son mandat mouvementé, il a apporté deux (02) coupes au Mali (coupe d’Afrique des cadets au Niger 2016 et celle des juniors au Gabon en 2017). Comme dit le prophète: «Nul n’est prophète en son pays», sinon les ligues de Kayes, Sikasso, Ségou, Mopti qui ne présentent pas de candidats à la présidence de la FEMAFOOT peuvent plébisciter la candidature du général en octobre 2017, parce qu’il a un charisme et une aura au plan international. Plusieurs fois contesté par le ministère des Sports, le général Baba Diarra a arrêté tous les tirs des contestataires et du ministre politique, Housseini Amion Guindo, qui voulait  faire le monde du ballon rond la vache laitière de son parti, la CODEM.

 

Présidence de la FEMAFOOT: Salaha Baby, président ?

Le nom du futur président de la Fédération malienne de football (FEMAFOOT) est connu avant même le derby final. Le pouvoir IBK a quelque chose qui sort de l’ordinaire, c’est sa propension rapide de rendre public les décisions prises au sommet de l’Etat. Les gens de «Ma famille d’abord» n’ont pas leur langue dans leur poche.

Pendant que l’heure est à la préparation du terrain pour les équipes finalistes de la FEMAFOOT d’octobre prochain, un nom circule sous les manteaux, pressenti pour briguer la présidence de la Fédération malienne de football. Selon plusieurs indiscrétions proches du Palais de Koulouba, le président de la ligue de Tombouctou, M. Salaha Baby, serait pressenti comme le prochain président de la FEMAFOOT.

Le RPM et son référendum ou révision constitutionnelle: forclos

A onze (11) petits mois de la tenue de la présidentielle, 1er tour de 2018, il n’est plus possible de procéder à un référendum ou de procéder à une révision constitutionnelle. Le régime IBK aura le dos mur. Incapable de juguler les menaces terroristes qui secouent tout le territoire avec son corollaire d’assassinats, il faut un nouveau remède pour le Rassemblement Pour le Mali (RPM).

Maître Kassoum Tapo qui serait un des fervents initiateurs de cette révision constitutionnelle sait pourquoi la date du 9 juillet 2017 a été retenue. Passé le mois de juillet, ce n’est plus possible de procéder à un référendum ou à une révision constitutionnelle.

Musique: Djénèba Seck privée de visa d’entrée en France

La chanteuse malienne, Mme Kouyaté Djénèba Seck, cherche désespérément un visa d’entrée en France. Qui l’aurait cru ? Un des portes-flambeaux des couleurs nationales de notre pays ne mérite pas  un tel traitement  de la part de l’ambassade de France au Mali. Grâce à sa chanson «Kankélétigui», le militaire ATT fut porté au pouvoir pendant la transition et après la transition, en 2002. Cette chanson «Kankélétigui» est considérée comme celle des patriotes, des hommes qui incarnent l’espoir, le changement. Djénèba Seck est une icône de la musique malienne, elle est sur les traces de Bazoumana Sissoko qui a chanté pour le Mali.

 

Un mini-réaménagement ministériel serait en cours

Le pouvoir IBK serait l’objet de plusieurs attaques par ceux-là mêmes qui l’ont plébiscité. Un gouvernement pléthorique avec des ministres incompétents. Du coup, à quelques encablures de la présidentielle de 2018, les mouvements de contestations qui fusent de partout, le président IBK ne dort plus. On apprend, selon certaines indiscrétions, qu’un mini-réaménagement ministériel serait en cours. Certains ministères scindés en deux (02) seront rassemblés en un seul.

Rassemblés par la Rédaction

 

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