La montagne d’ordures solides amoncelée en plein quartier de Lafiabougou, en commune IV, va peut-être cesser de heurter la vue des passants dans un proche avenir. Le moins qu’on puisse dire, e, tout cas, c’est que l’immense espace – qui avait naguère défié la capacité de tant d’équipes municipales – se libère discrètement et avec manifestement moins de bruit que lors des vaines promesses et tentatives ‘évacuation. L’irrésistible montagne ne s’est certes pas réduite en souri pour l’heure, mais les grandes hauteurs d’immondices laissent peu à peu de la place à un désert. C’est le résultat du labeur abattu de jour comme de nuit par d’infatigables éboueurs auxquels on ne peut reprocher que d’avoir substitué aux irrespirables fumées déversées sur le voisinage les odeurs fétides nuitamment remuées. Question : quelle est la décharge finale qui supporte cette prouesse ? Une chose est évidente : il a suffi que la Mairie du Mandé change de main pour que soit trouvée, du moins pour l’heure, la solution à la décharge épique de Lafiabougou. Il se pourrait aussi que la solution a été trouvée dans le retour de l’espace à ses propriétaires privés. Certaines indiscrétions croient même savoir qu’il appartient à la Mme Dame.
Un conseiller du chef du village Dogon de Koba froidement abattu par des hommes armés
À défaut de continuer à régner confortablement sur le centre du Mali, le phénomène Amadou Kouffa l’a tout de même transformé en Far West avec les liquidations physiques de notables devenues la règle. Après le cercle Douentza où le même modus operandi a successivement eu raison des maires de Boni et de Moundoro, le mal risque de se propager vers le sud de la 5ème région. Là, c’est un conseiller de chef de village qui est impunément passé la sanction de l’exécution sommaire. L’opération meurtrière s’est déroulée mardi dans la localité de Koba, dans le cercle de Koro. Sans rencontrer la moindre résistance, quatre hommes armés à bord de deux motos ont pris pour cible le premier conseiller du chef coutumier, répondant au nom d’Issa Goro. Après l’avoir abattu sans autre forme de procès, ses bourreaux s’en sont pris à son matériel agricole (un tracteur) qu’ils ont méchamment incendié avant de se retirer sans coup férir du terrain conquis. Décidément, ces Maliens de seconde zone continuent de vivre avec la même terreur que jadis lorsque le territoire était encore complètement abandonné aux envahisseurs.
La Rédaction
Comrades as a teenager one of my uncles owned a commercial rubbish removal business from that I learned by way of part-time work for him garbage removal is a dirty business. In dealing with landfill it is best to undertake dirty procedure of removing all plastic from garbage then later burn it. If we do so in future as little as decade from now we will be pleased we did right thing with of removing plastic from landfill. Very much sincere, Henry Author Price Jr. aka Obediah Buntu Il-Khan aka Kankan.
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