Chassez le naturel, il revient au galop. Les trafics illicites et la criminalité ont certes connu un net ralentissement avec la présence de forces internationale dans certaines zones, mais les phénomènes rebondissent avec plus de vigueur dans certaines zones. Il s’agit notamment de la localité de Ber (région de Tombouctou) transformée en centre névralgique de la drogue. La nouvelle cité cocaïne détrône du coup le cercle de Bourem où le premier cargo Air- Cocaïne avait atterri sous le régime d’ATT. La localité d’Almoustrat n’a peut-être pas forcément rompu avec sa réputation car on y trouve des animateurs du narcotrafic différents à Ber. On cite par exemple, pour le nouveau carrefour de la drogue, le nom d’une figure bien connue mais visiblement naissante dans le domaine. Il s’agit de Jimmy Le Rebelle. C’est lui, selon des témoignages concordants, qui tente de régner en maître absolu dans la zone avec la prétention d’y contrôler tous les mouvements, y compris ceux de l’armée régulière. Cette personnalité controversée s’était pourtant reconverti il n’y a pas si longtemps en promettant d’intégrer la République, après sa longue désertion. Il est visiblement rattrapé par retour de nature au galop.
Les petits pas vers un conflit Arabo-Imghad
Ces deux entités se sont jusqu’ici entendues comme larrons en foire. Mais depuis la semaine dernière, leurs relations – ou du moins ce qui en reste après le récent épisode de Kidal – pourraient avoir été fortement affectées par un autre un sanglant assaut qui s’est déroulé dans le cercle de Gao. C’est précisément dans la commune N’chawach, en effet, qu’une demi-dizaine de jeunes combattants touarègues ont trouvé la mort où se sont grièvement blessés sur les terres dites salées à vocation pastorale. Leurs bourreaux ne sont autres que des éléments armés appartenant à la communauté arabe, auteurs d’une expédition meurtrière dans leur campement. La situation est à l’origine d’un grand malaise dans la communauté Imghad à travers le Mali et les réunions et concertations se succèdent en vue de décider de la réponse à donner à leur acte. Notons que les rapports entre communautés arabes et imghads n’ont pas toujours été aussi complexes. Ils se sont probablement détériorés à l’issue du récent épisode des affrontements perdus par le Général Gamou face aux adversaires Ifoghas, faute des coups de main attendus du côté des alliés arabes.
La Rédaction
Si ce pays ne change pas de gouvernance, il risque de devenir une autre Colombie dans le Sahel. Mais dans cela, que font les Français et les homme de la Minusma au Mali? Toutes ces choses se déroulent sous leur nez sans qu’ils réagissent. La situation devient chaque plus préoccupante. On ne sait pas où se trouvent les Famas, on ne connait pas les positions des forces incapables et inutiles de la Minusma, et les Français ne font rien. Les tirs d’obus sur Kidal ce matin devaient faire réagir les forces Françaises, mais elles n’ont pas daigné lever le petit doigt, avec les moyens dont ils disposent, ils pouvaient aller voir ce qui se passe. Ce pays est foutu. Peut-être qu’on ne nous croit pas, mais la pays n’a pas de gouvernement. L’homme à la tête de ce pays y est pour beaucoup dans la déconfiture du pays. Son incapacité à gouverner nuit beaucoup à l’évolution de ce pays. Tout va de travers, on ne sait même plus ce qui se passe dans le reste du pays. C’est à dire que IBK est Président de Bamako, Kayes et Ségou, tout le reste du pays échappe à son autorité. Dans le Sud c’est Amadou Koufa, et au Nord l’enfoiré de Iyad. L’autorité de IBK ne s’étend pas au reste du pays. Et dire que le Mali a un Président. Si c’est celui-là que vous appelez Président, on n’est pas sorti de l’auberge. Que Dieu aide le Mali!!!
“La drogue revient par la région de Tombouctou”
Malien chef de grin: Mais que font donc Barkhane et la Minusma? A quoi servent-elles???
Malien doté d’un cerveau: Euh… Mais ni l’une ni l’autre ne sont là pour ça mon frère…
Malien chef de grin: Et alors? Ce n’est pas une raison!!!
Malien doté d’un cerveau: Là, j’avoue que je ne comprend pas…
Malien chef de grin: Ah mais si!!! C’est pas parce sous le seul prétexte que ça n’est effectivement pas leur rôle, qu’ils doivent ne pas s’occuper aussi du trafic à grande échelle qui sévit depuis des décennies et des décennies dans notre nord! Houbien?
Malien doté d’un cerveau: Euh… Moi, il me semble que ce trafic ou ces trafics qui ont hélas toujours gangréné impunément NOTRE PROPRE nord, ce serait plutôt d’abord à NOS PROPRES autorités de s’en occuper, non?
Malien chef de grin: Pfff!… Toi là, c’est pas la peine! Tu es vraiment inféodé aux toubabs colonialistes!!! Avec des gens soumis au blanc comme vous, pas moyen de discuter!
Enfin quoi? Ce n’est quand même pas parce que c’est NOTRE PROPRE nord qui est le théâtre de tous les trafics, que ce sont NOS PROPRES trafiquants qui rendent la zone infréquentable, et que NOS PROPRES autorités ne font rien (et n’ont jamais fait) pour lutter contre, QUE CA DOIT NOUS EMPECHER D’ACCUSER QUELQU’UN D’AUTRE COMME ON A TOUJOURS FAIT JUSQU’ICI, QUAND MEME!!!!
Houbien?
LOL LOL LOL
Ils doivent aussi neutraliser les éléments du gatia qui braquent les cars à gossi surtout
Djoye ag mohamed et mohamed Abdoul wahid
Tous en poste au Check point de gossi
L’assassinat de l’adjudant Ziad ag Ibrahim le 16 septembre n’est que le début du passage de témoin entre arabes et inghads
Gamou sait parfaitement que ce sont ses éléments qui font les braquages mais il ne dit rien.
Ces braquages ont eu leurs points culminants avec l’attaque du car Maiga transport et le viol d’une fille sonrhaie par 10 braqueurs
La drogue est la vraie cause de la prétendue rébellion. Nous sommes condamnés par les narco-traficants.
Ces Touareg du Nord du Mali sont tous impliqués dans le trafic de la drogue, avec de telle posture comment, ils accepterons la paix, car c’est le seul bizness qu’ils savent faire sans instruction et sans aucune autre forme d’éducation capable de les permettre de mener une vie normale.
Mon cher cousin à blagues Coulibaly ;
Tu as bien vu que les communautés touarègues, à cause de temps qui fait et des vents Harmattan sahariens, ont produit, comme chez les Corses et les Siciliens , des mafias narcotrafics en tous genres; des marginaux qui nourrissent des familles , des clans tribaux mais ces tares ne prostituent pour autant la société touarègue qui reste, dans sa majorité , attachée à ses valeurs d’honnêteté , bravoure , fierté de ne pas faire des actes qui avilissent l’Homo touaregus
saharianus
Sincèrement
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