Dr. Togo Marie Madeleine Togo, ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, YELENI d’or de la Santé de l’ONG Jitumu Kunkan

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«Pour son patriotisme ardent, son intégrité d’un degré rare au mali, son engagement au Travail et sa maitrise des dossiers de la Santé» l’ONG Jitumu Kunkan a remis le mardi 7 mars 2017 au ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr. Togo Marie-Madeleine Togo, le trophée de Yeleni d’or de la santé, une distinction honorifique. C’était dans les locaux du ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique. Cette distinction, selon les responsables de l’ONG Jitumu Kunkan, rentre dans le cadre de la promotion féminine et le combat que le récipiendaire mène pour la santé de la population. «Nous remercions Dr. Togo Marie-Madeleine Togo pour le travail qu’elle fait pour la santé communautaire. Nous l’avons vue à l’œuvre sur le terrain et aussi compte tenu des investissements qu’elle a faits dans notre Commune à Ouéléssébougou en dotant le CSRF de la localité de matériels de dernière génération. C’est pour cela que nous, jeunesse, femmes, hommes et chefs traditionnels, avons décidé de lui attribuer cette distinction honorifique», a déclaré le président de l’ONG Jitumu Kunkan, Souleymane Baga Samaké. Très émue, le ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique a remercié les  responsables de l’ONG Jitumu Kunkan pour cette reconnaissance, avant de dédier sa distinction à toutes les femmes du Mali.  Elle laissera entendre que «le constat est que l’Etat malien a beaucoup fait et continuera à œuvrer pour le bien être sanitaire des Maliens».  «Les résultats que vous voyez sont l’œuvre de mes collaborateurs. Nous sommes des simples serviteurs et les bras du Président IBK pour mettre en œuvre son programme » dit-elle.

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Signatures du protocole de coopération et de la Charte du Réseau EDDN 

 

La salle de plénière du Haut Conseil des Collectivités a servi de cadre le lundi 6 mars 2017 à la cérémonie de signatures du protocole de coopération et de la Charte du Réseau Essonne-Diéma-Douentza-Nioro du Sahel, EDDN. Présidée par l’honorable Mamadou Satigui Diakité, président du Haut Conseil des Collectivités, la cérémonie s’est déroulée en présence des responsables des différentes collectivités, dont une délégation du Conseil départemental de l’Essonne en France, conduite par sa Vice-présidente, Mme Aurélie Gros.

Dans son message à cette cérémonie de signature, M. Tyoubado Dicko, chef de file dudit Réseau dira que cette coopération avec le Mali est l’une des plus anciennes du Conseil départemental de l’ESSONNE. Notons qu’engagé depuis 1996, avec le Conseil de cercle de Douentza, le Département a élargi sa zone de coopération au Mali  en 2009 avec les cercles de Diéma et Nioro du Sahel. Aujourd’hui, le réseau compte 242 communes, soit 196 communes du Département de l’Essonne et 46 des trois cercles au Mali, à savoir Douentza, Diéma et Nioro du Sahel avec une population estimée à environ 800 mille habitants. Il importe de retenir que le réseau a pour but de fédérer les énergies des trois cercles entre eux et de faire des échanges culturels entre l’Essonne et ces trois cercles. Parlant des actions menées dans le cadre de cette coopération décentralisée au profit des trois cercles, Mme Aurélie Gros dira qu’il y a eu des formations pour les élus, des actions de travail de fond sur la question de la décentralisation. Beaucoup d’autres activités ont été réalisées au profit des populations comme des puits, des écoles, la construction d’une médiathèque à Douentza, de la formation des intercommunalités. Sans oublier le lien et l’entraide qui se sont créés entre ces trois cercles.

Quant au président du Haut conseil des collectivités territoriales, il estime que le réseau EDDN peut apporter beaucoup à notre décentralisation, comme en témoignent les différentes actions qui sont en train d’être entreprises dans les trois cercles du Mali.

A retenir que depuis la création du réseau EDDN, de nombreuses actions ont été entreprises au Mali et en Essonne via des programmes de coopération pluriannuels, afin de répondre aux enjeux de développement identifiés dans les localités concernées. Les orientations du programme 2016-2018, qui ont fait l’objet de signature, restent dans la logique des actions menées à travers les programmes précédents concernant le renforcement de la gouvernance locale, des capacités de maîtrise d’ouvrage des collectivités ainsi que leur mise en réseau.

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L’ASSOCIATION DES ECOLES PRIVEES AGREES DU MALI DEMANDE A L’ETAT L’HARMONISATION DES COURS DE FORMATION PUBLIC-PRIVES

Pour informer l’opinion nationale et internationale sur les problèmes qui secouent les écoles privées au Mali, l’Association des écoles privées agrées du Mali (AEPAM)  a organisé un point de presse le lundi 06 mars 2017 à son siège social sis à Hamdallaye. La cérémonie présidée par M. Abdoul Kassoum Touré, secrétaire général de l’AEPAM, a eu lieu en présence de plusieurs membres de l’association. Les points inscrits à l’ordre du jour de cette conférence portaient entre autres sur : le point des négociations au sein du cadre de concertation Etat – établissement privés d’enseignement ; les problèmes fiscaux et les problèmes de révision des coûts de formation. Aux dires de M. Abdoul Kassoum Touré, à la demande du Ministère de l’Education, un cadre de concertation Etat-établissement privés a été créé le 06 juillet 2016 et devait discuter : de la négociation de l’imposition des établissements privés ; de l’harmonisation des coûts de formation public-privé et de la régularité des paiements des frais scolaires et demi-bourses des écoles privées. En parlant de l’harmonisation des coûts de formation, le secrétaire général de l’AEPAM dira que les frais de formations payés aux établissements privés sont très faibles par rapport au coût de formation d’un établissement public. Tous les promoteurs sont unanimes sur ce point. Il a été même signifié aux promoteurs qu’ils ne pourront être alignés sur les coûts de formation alloués aux écoles publiques. A l’illustration, le coût de formation d’un élève orienté dans un établissement privé au CAP tertiaire  s’élève à 90 000 f cfa et celui du public est de 420 493 f cfa soit une différence de 330 493 f cfa. Pour ceux du CAP Industrie et  du BT tertiaire au privé sont de 110 000 f cfa et ceux du public sont de l’ordre de 629 108 f cfa pour le CAP industrie et 476 480 pour le BT tertiaire   soit une différence de plus de 519 mille et de 366 milles f cfa. Quant au BT industrie et Bac Technique, au privé le frais de formation est 135 000 f cfa et celui du public s’élève à 694 415 f cfa soit une différence de 559 415 f cfa. Pour harmoniser les coûts de formation, la Banque mondiale a fait en septembre 2009, une proposition mais qui n’a jamais vu le jour. Ainsi, il ressort de cette proposition harmonisée que les frais de formation des élèves au CAP tertiaire soit de 180 000 f cfa, au CAP industrie et BT tertiaire de 220 000 f cfa et au BT industrie et Bac technique de 270 000 f cfa.

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CELEBRATION DE LA JOURNEE MONDIALE DES ZONES HUMIDES : « Le Mali est la deuxième plus vaste zone humide de l’Afrique après celle du Botswana » dixit Dr. Karounga Keita, coordinateur national du bureau de Wetlands international

 

Dans le cadre de la protection de l’environnement, Wetlands international en collaboration  avec la Direction nationale des Eaux et Forêt a organisé le mardi 07 mars 2017 au  parc zoologique, une conférence de presse. C’était à l’occasion de la célébration de la journée mondiale des zones humides. La cérémonie présidée par Dr. Karounga Keita, coordinateur national du bureau de Wetlands international a eu lieu en présence des personnels de la direction nationale des Eaux et Forêts ainsi que des invités de marque. Aux dires du coordinateur, la célébration de cette journée des zones humides au Mali à travers une conférence de presse consiste  à informer le grand public dans le cadre de la protection de l’environnement. Il a poursuivi en expliquant que le Mali est la deuxième plus vaste zone humide de l’Afrique après celle du Botswana.  Pour un pays sahélien comme le Mali, c’est une aubaine, a-t-il pensé. Mais, dit-il, ces zones se trouvent menacer dans son existence.  Les zones humides sont menacées de beaucoup de point de vue, d’abord par le braconnage, ensuite par des activités nuisibles dans l’existence même du fleuve depuis sa source, à titre d’illustration, on peut citer l’exploitation des mines dans le lit du fleuve avec les produits chimiques qui sont toxiques pour les hommes ainsi que pour les animaux et qui détruisent tout l’environnement. L’objectif de Wetlands n’est pas de priver les hommes de l’utilisation de ses végétations  mais c’est de prôner une utilisation durable pour que la future génération  puisse trouver cette beauté de la nature préservée. La vision de Wetlands est de trouver un delta vivant, préservé  et gardant sa beauté naturelle. En parlant de la préservation, le coordinateur a fait savoir que Wetlands seul ne peut y arriver sans le partenariat de l’Etat. Pour préserver les écosystèmes, le Wetlands a quatre stratégies, à savoir : moderniser le débit du fleuve pour que  les écosystèmes puissent vivre et s’épanouir ; développer les outils aidant à la décision pour que les politiques et tous les investisseurs puissent prendre connaissance de ses éléments avant de prendre une décision,  responsabiliser la communauté à la base et renforcer leur capacité et plaidoyer pour que les acteurs soient sensibilisés et qu’ils changent de comportement.

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CELEBRATION DU 8 MARS DE L’ASSOCIATION SOLIDARITE DES FEMMES DE LA CANAM

 

A l’instar de la communauté internationale, les femmes de l’Association Solidarité des Femmes de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie ont célébré la journée internationale de la Femme, le mercredi 8 mars 2017 sur la voie de « l’Avenir du Mali » à côté du monument de la bougie. La cérémonie placée sous la présidence de M. Luc Togo, Directeur général de la CANAM a eu lieu en présence de Mme Maïga Agaichatou Dicko, présidente de l’association solidarité des femmes de la CANAM ainsi que plusieurs membres de l’association. La journée internationale des femmes est une journée symbolique où le combat des femmes dans le développement est connu sur le plan mondial. A l’entame de ses propos, la présidente de l’association a remercié la direction générale de la CANAM d’avoir soutenu l’association  à réaliser chaque année à l’occasion de la journée internationale des femmes des œuvres sanitaires, sociales et humanitaires. Il s’agit notamment de l’aide faite aux femmes victimes de fistules du CHU du point G, les enfants prématurés et malade du CHU Gabriel Touré et les femmes de Bollé privées de liberté. Pour célébrer le 8 mars, l’association solidarité des femmes de la CANAM a organisé une activité et une festivité à l’honneur des femmes de la structure. Cette année, dit-elle,  les femmes de la CANAM ont décidé de faire de la salubrité une activité phare de cette journée.  La président de l’association a expliqué que la lutte contre l’insalubrité dans les rues concerne, en premier lieu, les femmes qui doivent être sensibilisées parce qu’elles sont le socle de la salubrité. Cette  action de salubrité consistera à nettoyer la voie de « l’avenir du Mali » de l’ACI 2000, lieu qui abrite le siège social de la CANAM. Pour terminer la présidente a souhaité bonne fête de 8 mars à toutes les femmes du Mali en général et à celle de la CANAM en particulier.

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