IBK a décliné l’offre et bouleversé le programme à quelques heures près de l’événement. Car, le torchon brûle entre lui et les hôtes du Mali. Les raisons d’un tel faux bond, il faut sans doute les chercher dans le mur de glace qui le sépare des partenaires extérieurs du pays. Les conclusions de la conférence des donateurs en disent d’ailleurs long parce qu’ils confirment à suffisance le dialogue de sourds entre le locataire de Koulouba et les Ptf. Tandis que ces derniers tiennent encore aux clarifications sur l’achat des équipements de l’armée et de l’aéronef présidentiel. Le président de la République croît mordicus que leur acquisition n’a été entachée d’aucune régularité.
Mara, le retour à la source
L’ancien Premier ministre et non moins ancien maire de la Commune IV, Moussa Mara, n’a pas eu le temps de s’ennuyer. Limogé et remplacé par Modibo Keïta, le président du parti Yelema a aussitôt reprise du service dans son métier de prédilection. Ceux qui auraient la nostalgie de son regard placide peuvent le retrouver au cabinet d’expertise comptable Diarra où, il est en plein resourcement. C’est là-bas qu’il fit ses armes en tant qu’employé. Il partagera sans doute son utile expérience de chef du gouvernement, mais pas seulement. Il se susurre également que Moussa Mara est en possession de nombreux dossiers brûlants auxquels il a accédé grâce à son flair d’auditeur. Quel usage en fera-t-il ?
Le président Isaak Sidibé dit niet
Les députés se sont séparés, vendredi soir, sans mettre un terme à la session extraordinaire qui s’est officiellement achevé après le vote de deux textes essentiels, en occurrence les lois portant le statut de l’opposition et de programmation militaire. Le hic, c’est que la session s’est aussi achevée sans une formalité non moins essentielle : la lecture solennelle du décret de clôture. En fait, selon les dispositions constitutionnelle en vigueur au Mali, le président de l’Assemblée nationale est tenu de rendre publique ledit décret à la fin de chaque session extraordinaire convoquée par le gouvernement. Mais, Isaak Sidibé, dont les couacs sont pourtant de moins en moins fréquents, s’est pratiquement refusé à procéder à la clôture officielle de la session et s’est contenté d’un simple discours d’adieu à ses collègues. Pour les légalistes purs et durs, cette violation des textes en vigueur est d’une portée d’autant significative qu’on peut considérer que la session a encore cours tant que la formalité n’est accomplie.
Aussi muette que l’armée, l’opposition se plaint d’ostracisme
Les observateurs des débats auront été surpris par la placidité des compagnons de Soumaïla Cissé lors des débats sur la Loi d’orientation et de programmation militaire. En l’absence de son animateur principal, Mamadou Awa Gassama Diaby, l’opposition s’est imposé l’omerta comme la grande muette et n’a rompu le silence que pour expliquer un vote favorable au texte. Les camarades de Mody N’Diaye ont toutefois tenu à expliquer leur silence inhabituel en s’en prenant implicitement à un certain ostracisme, dont ils auraient été victime dans la procédure législative de la Lopm. «Nous n’avons reçu le document que quelques heures avant le vote», a dénoncé le président du groupe Vrd sans être publiquement démenti. Interrogé sur la question après le vote, le président de la commission défense s’est contenté de faire remarquer que l’opposition est pourtant représentée à la commission qu’il dirige.
Le trésor public aux bons soins des Kagnassy
Quoique viré de Koulouba comme conseiller spécial du chef de l’Etat, M. Kagassy reste un créancier de l’Etat malien dans le cadre du contrat d’acquisition des équipements militaires, dont il est intermédiaire. Et, conformément aux engagements de lui régler la facture sur cinq années, le Trésor public est en train de s’exécuter au pied de la lettre. Ainsi, les paiements de certains montants importants sont gelés jusqu’au règlement total du montant dû à Kagnassy sur l’année 2015. Une contrainte qui pénalise naturellement les fournisseurs ordinaires de l’administration et, par ricochet, l’économie nationale dans son ensemble. Mais le hic, c’est que les créances de Kagnassy sont prioritaires d’autant plus qu’elles sont garanties par l’Etat lui-même en terme d’intérêts et de frais bancaires, selon la garantie autonome passée avec la Banque atlantique. A ce titre, un retard dans leur paiement risque de faire monter le mercure des agios. Impitoyable
Toujours les mêmes choses !
Les amis du journal l’AUBE, ayez s’il vous plait un peu de dignité. Soyez des patriotes convaincus, et renoncez à la médisance et à la méchanceté. Notre pays n’a pas besoin de cela. Tous les jours il faut qu’on nous rabâche les oreilles par des propos insultants et dénigrants pour notre pays et ses institutions. « Les partenaires exigent ceci, les partenaires exigent cela ». Attendez nous ne sommes pas un pays sous tutelle de ces soit disant partenaires. Nous sommes souverains et indépendants. Vous parlez de société ECRAN crées à tour de bras, un vrai journaliste apporte la preuve de ce qu’il dit. Vous êtes là à nous fatiguer par les mêmes redites. Ecoutez qu’est ce qui ne se faisait pas sous le règne apocalyptique de votre mentor d’ATT. CES enfants faisaient nommer et relever jusqu’au niveau de la haute sphère de l’Etat. Maboh l’une des premières filles de Président milliardaire à 25 ans. Elle l’a ni hérité de son père encore moins de sa mère. Où est qu’elle a eu cet argent? Pensez vous que c’est ainsi qu’on aide un pays à sortir d’une crise ou la demande sociale est trop grande ?????.Cheickna Hamalla Sylla réfléchis mille et une fois avant de nous sortir tes inepties. Je sais que vous et vos semblables sont nostalgiques des « enveloppes présidentielles » d’alors, c’est pour cette raison que écrivez des histoires faméliques. On ne va jamais vous donner de l’argent pour ne pas dire ce que vous pensez. Vous pouvez continuer à écrire ce que vous voudrez, cela ne nous dérange guère parce que vous êtes en mal d’inspiration. Le Chien aboie, la caravane passe………………….
“Moussa Mara est en possession de nombreux dossiers brûlants auxquels il a accédé grâce à son flair d’auditeur.”” ❓ ❓ ❓ ❓ Flair d’auditeur ❓ ❓ ❓ ❓ 😀 😀 😀 😀 Il devait avoir le “le nez bouché” lors de sa déclaration de politique générale ou il a qualifie de “faite dans les regles de l’art” les dossiers de l’achat de l’avion AIBK1 et de l’achat de materiels militaires.
Quand a detenir de “dossiers brulants”, comme toujours, les journalistes maliens montrent trop d’amateurisme. Il peut etre informer sur des dossiers, mais ne peut les detenir qu’a “sa liberté dependante”, car ce serait un acte poursuivable par la loi.
IBK N AIME PAS RECEVOIR DES AIDES !
ET IL A RAISON !
QUI VEUT QUOI ENCORE DANS CETTE AFFAIRE DE D’AVION?
TOUT A ÉTÉ CLAIR ET PRÉCIS DANS LES DEUX RAPPORTS PRÉSENTÉS PAR LA COUR SUPRÊME ET LE BUREAU DU VEGAL ET PUBLIER PAR LA PRIMATURE.
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