Déstabilisation du régime IBK : Le ver est déjà dans le fruit

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Dr Tereta
Dr Bocari Téréta

Dans notre livraison N°398, nous avons parlé de « guerre mouchetée» entre caciques emmenés par le Dr Bocari Téréta, non moins Secrétaire Général du parti RPM et le clan dit « des rénovateurs » drivé par semble-t-il, la première vice présidente, Mme Kéïta Rokiatou N’Diaye, épaulé par Abdoulaye Idrissa Maïga, non moins Directeur de campagne du candidat IBK lors de la présidentielle de 2013, secrétaire général adjoint du parti, Toumani Djimé Diallo, tout puissant secrétaire général de la présidence, Boubacar Touré dit Bouh tout comme Sambi Touré. De la mise en place du Président de l’AN, aux membres du bureau de cette institution, nous avons assisté à une passe d’arme de haute voltige menée part « les réformateurs ». En réalité, au moment où nous bouclons cette édition, les choses sont sur le point de rentrer dans l’ordre si l’on en croit nos informations. En clair, le Président IBK, semble avoir bien compris les manœuvres qui ont failli le pousser à commettre des erreurs impardonnables (signature prématurée d’accords de défense avec la France, la composition du gouvernement Tamtam Ly, les arrestations intempestives de militaires ceux-là même qui ont permis au RPM d’accéder à Koulouba, « une méthode totalement différente de celle d‘ADO en RCI », remarquent des citoyens avisés. Bref, IBK est victime de sa bonne foi. Lisez l’analyse de Bokari Dicko.

 

 

Plébiscité par le peuple malien avec près de 80% des suffrages face à un adversaire qui avait le soutien et la Baraka de l’extérieur, le candidat du RPM, El Hadj Ibrahim Boubacar Kéïta, élu Président de la République, découvre de jour en jour,  les réalités du pouvoir au Mali. Et pour cause, plus le temps passe, plus l’équation de la gestion d’Etat se corse.

 

 

La question de Kidal est loin d’être réglée

Primo, la question de la région de Kidal est loin d’être réglée puisque la communauté internationale appuyée par la France, affirment sans ambigüité leur attachement à la préservation de l’intégrité territoriale du Mali, mais paradoxalement, elle reste dubitative sur l’impératif de préservation du caractère unitaire de l’Etat du Mali. Ce qui d’ailleurs constitue l’enjeu majeur de l’implication de la communauté internationale dans le règlement du conflit du nord.

 

 

Interposition des forces SERVAL/MINUSMA à Kidal…

Selon nos informations, les forces SERVAL, par délégation avec la MINUSMA, s’interposent entre le MNLA et l’armée malienne à Kidal. Toute chose qui impose à l’Etat du Mali, l’ouverture sans délai et sans conditions, des négociations avec les forces rebelles sur le caractère unitaire de notre Etat. D’ailleurs, actuellement, les mêmes sources indiquent que les éléments du MNLA empêchent des unités de l’armée malienne d’entrer dans Kidal au nez et à la barbe de SERVAL et de la MINUSMA.

C’est dans un contexte aussi périlleux, que le peuple malien a confié au candidat IBK, la direction de ce grand pays afin qu’il restaure son honneur et sa dignité dans la résolution de cette crise.

 

 

L’homme : Atouts et faiblesses

Durant le règne de nos grands « démocrates » de 1991 à 2012 (AOK et ATT), les maliens ont découvert un Ibrahim Boubacar Kéïta, combatif, patriote. Avec sa prise de pouvoir, remarque un cadre politique de la majorité présidentielle : « IBK a refusé récemment, le 20 janvier dernier de signer des accords de défense avec la France ; tout comme, il a récusé les accords de Ouagadougou qui voulaient que les négociations avec les bandits armés se fassent dans la capitale Burkinabé et sous l’égide du Capitaine Blaise Compaoré. Là aussi, le Président IBK a martelé partout que le dialogue inter malien se fera au Mali, à Bamako plus précisément. Il faut rappeler que la France a pesé de tout son poids pour obtenir de l’ONU l’envoi de troupes d’interposition au nord Mali ».

 

 

Contraindre les autorités de Bamako à négocier avec les bandits armés

Cet acte en réalité ne visait qu’à contraindre les autorités maliennes à ouvrir des négociations sans conditions avec la rébellion sur une question qui est pourtant à l’origine de la crise à savoir : – la préservation du caractère unitaire de l’Etat. Le vote de cette résolution enlevait à l’Etat du Mali toute possibilité de reprise de la région de Kidal au moyen de la force. L’affirmation solennelle de la communauté internationale de son attachement à la préservation de l’intégrité du territoire du Mali, n’est qu’une répétition de la disposition de la Charte de l’UA qui stipule l’intangibilité des frontières héritées de la colonisation.

 

 

La concrétisation du projet colonial en marche !!!

De toute évidence, l’attaque de Konna, SERVAL, les accords d’Alger, ceux de Ouagadougou, s’inscrivent en droite ligne de la logique du vieux projet colonial de l’OERS. Toutes ces séries d’actions en relation avec la guerre de Libye font de la question de Kidal, un enjeu international dont la solution en réalité est entrain d’échapper à l’Etat du Mali. C’est en cela que les maliens doivent comprendre qu’ils doivent tout leur soutien à IBK et non à vouloir l’affaiblir sur des questions secondaires comme le souhaitent les partisans du fédéralisme.

 

 

Les régimes de 1960 au CNRDRE ont refusés le vieux projet français

Ce qui a de tout le temps été refusé par tous les régimes successifs de 1960 à 2012 , y compris les putschistes de mars 2012 et le Premier Ministre Dr Cheick Modibo Diarra, afin de contraindre l’Etat du Mali à négocier avec les forces indépendantistes.

Durant ce temps, à Bamako, des forces vives sous la Transition, se sont opposées à cette entreprise machiavélique et rejetaient un tel projet en prônant pour le dialogue interne inclusif.

 

 

Ballet diplomatique autour du Mali

A peine quelques mois d’exercice du pouvoir, le Président IBK a compris l’ampleur de la situation, lui, le patriote en qui les maliens ont fait confiance au détriment d’un Soumaila Cissé, candidat malheureux de l’URD. Ainsi, il prendra son bâton de pèlerin pour trouver l’appui des pays voisins : Mauritanie, Algérie et le Maroc en dernier ressort. Selon nos informations, si les deux premiers pays, n’ont pas donné leur quitus à son projet de dialogue interne, le Maroc a répondu illico presto à sa demande.

 

 

La visite du roi Mohammed Vi a dérangé

La visite du roi Mohammed VI ces derniers jours a dérangé plus d’un puisqu’elle rentrait dans ce cadre même si l’économie a dominé le séjour malien. Dans ce jeu de ping-pong de la communauté internationale et de la France, c’est de donner une autonomie ou un Etat Fédéral et non unitaire avec Kidal, remarque-t-on ça et là dans les milieux avisés de notre capitale.

« L’internationalisation du conflit du nord Mali, a été bien saisie par le nouveau locataire de Koulouba qui voit une volonté affichée de diviser le Mali. Ce qui ne cadre pas avec sa vison », explique un fin connaisseur qui a requit l’anonymat.

 

 

Asphyxie financière de la communauté internationale

Des observateurs avisés au politicien soucieux de l’avenir du grand Mali, tous conviennent qu’il y a une volonté inébranlable de la communauté internationale à asphyxier le régime IBK pour pousser les maliens à le chasser du pourvoir comme le Président Egyptien Mohamed Morsi. Et pour cause, toutes les promesses de fonds destinés au Mali, ne sont pas tenues à ce jour. L’objectif visé par cette communauté internationale est de pousser le régime IBK à négocier avec ces bandits armés. La visite d’une forte délégation du Conseil de Sécurité de l’ONU ne rentrait-elle pas dans ce cadre ?  Où sont les milliards de l’Union européenne promis à Bruxelles? Autant de questions qui demeurent sans réponse.

 

 

Le dialogue inter malien

Le dialogue inter malien étant devenu le credo de l’homme fort de Koulouba, le Président IBK est sur le point de pécher par faute de techniciens, de connaisseurs avérés. Selon nos sources, le locataire de Koulouba est mal entouré suite à une absence criarde de spécialistes de dossiers. « Seul son instinct patriotique lui a évité de commettre l’irréparable suite aux fortes pressions de la communauté internationale et de la France », a confié Diakaridia, cadre politique. Il reste à savoir avec le changement de politique, le choix du Maroc comme facilitateur, si IBK a les moyens de sa politique ?

Certains compatriotes pensent qu’il doit être aidé à corriger certains errements.

 

 

Au RPM, le ver est dans le fruit

Pour tous ceux qui suivent la gestion du régime IBK, son parti qui avec des forces vives (partis politiques, associations et mouvements) l’ont aidé à monter à Koulouba, le RPM est aujourd’hui dans la tourmente. Et pour cause !

Un « bras de fer », veut être crée entre le SG du parti, celui-là même et ses camarades ( Nacouma Kéïta et autres) qui ont tout donné au parti, subir la traversée du désert avec IBK, aujourd’hui, Dr Bocari Téréta est dans la ligne de mire « des rénovateurs ». « Le jeu s’éclaircit de jour en jour à telle enseigne qu’ils osent vouloir opposer la SG du RPM à un néophyte en politique. Le comble de l’imposture et de la trahison est passé par là », martèle un  cadre des Tisserands avisé qui a requit l’anonymat.

 

 

Créer la zizanie

En tout cas, certains veulent créer la zizanie au sein du parti qui en réalité, ne profitera qu’aux ennemis qui sont à l’affût. A en croire nos informations, le Président IBK semble tirer les leçons de ces quelques mois de gestion du pouvoir. Il n’est pas surprenant que des têtes et non les moindres,  tomberont dans les jours à venir.

 

 

L’honorable Karim Kéïta a choisi le chemin de la raison

Les développements du climat au sommet de l’Etat, viennent de prouver l’intelligence et surtout le flair du fils du Président de la République, député élu de la Commune II, qui a compris qu’il devait suivre la raison de la real politique : le parti RPM qui a su contenir tous les coups bas des mêmes qui jasent aujourd’hui, et crient « haro » sur la gestion d‘IBK.

 

 

Au moment où nous bouclons cette édition, les rénovateurs » sont en passe d’être isolés pour leur travail fractionnel qui est entrain d’affaiblir le Président IBK. « Ainsi, le camp du Dr Téréta, non moins SG du parti, se renforce. Et l’appui conséquent de l’honorable Karim Kéïta, n’est que normal et juste car, il a agi en homme politique avéré. C’est un bon choix qu’il a fait. Donc le flair politique est passé par là. Et puisqu’il n’aime pas l’ingratitude, l’honorable Karim Kéïta, a préféré suivre la Direction de son parti dont il reste scrupuleusement les textes», a susurré un proche du parti.

 

 

Et dire que les gars du FDR ne croisent pas les bras.

En tout cas, les prédilections de spécialistes préviennent que l’échec d’IBK qui constitue le dernier ressort pour sortir le Mali de cette situation, conduira le pays vers un chao indescriptible.

Voilà qui est dit. Et le climat de nos jours, n’augure pas le chemin d’un vrai changement à l’horizon puisque tout est entrain d’être mis pour empêcher cela car cela gâterait bien d‘intérêts.

Bokari Dicko

Commentaires via Facebook :

17 COMMENTAIRES

  1. Bokary Dicko veut plaire, mais ne sait apparemment pas comment! Voilà un bien beau challenge pour un journaliste qui veut se loger coûte que coûte dans le train du prince du jour. On aura tout vu 🙄 🙄 !

  2. Quand on est incompétent, on se prête qu’ à des sales besognes. Arrêter de nous prendre pour des cons. IBK a sa majorité, en un mot il a tous les atouts pour réussir.S’il échoue ce que les Maliens se sont trompés sur son compte.

  3. Le milliard promis n’est qu’un instrument politique.Le Mali doit neutraliser cette arme.Il faut employer les moyens qu’il faut.Il faut
    faire un pret qui sort du cadre traditionnel pour construire les infrastructures detruites ou manquantes et lancer l’economie interne.D’abord l’agriculture et la valorisation des ressources naturelles.Le seul pays qui peut nous aider est la Chine.Elle doit etre l’acteur principal.Le deuxieme point,c’est l’unite politique
    autour du President.L’initiative doit provenir des deux cotes:du cote
    de l’Opposition qui doit prendre conscience qu’il faut defendre l’integrite teritoriale et la Souverainete nationale contre les soit-disant partenaires.Le pays doit parler d’une seule voix.Celui qui sort
    en dehors de la politique nationale,sera considere comme un adversaire
    des interets superieurs de l’Etat et traite comme tel.Du cote de l’Executif,le President de la Republique doit faire appel a n’importe quel Malien qui est la personne la mieux placee pour resoudre un probleme donne.Mettons a l’ecart la politique politicienne et axons-nous sur les vrais problemes.A cette heure,nous avons besoin des hommes de caracteres inflexibles,inebranlables et incorruptibles sous
    le leadership d’un Chef patriote.Nous devons des a present tout prendre en main avant qu’on vienne tout chambouler.Restons sur un terrain ou tous les problemes peuvent trouver une solution.Ne nous laissons pas immobiliser par les manipulations exterieures ou par nos querelles internes,meme les plus haineuses,Pour le future de ce pays et de ses populations.

  4. Quand on a rien a dire ou a proposer, on se rabat sur le FDR pour en faire le bouc emissaire sinon je ne vois pas comment on peut mettre ces histoires sur le dos du seul FDR. Et puis je crois qu’il est temps que les gens ouvrent un peu les yeux, les elections presidentielles sont terminees depuis 6mois; plus de la moitie du FDR est dans le camp presidentiel. Parler de l’opposition serait mieux approprie que de FDR, mais comme l’usage de ce mot vaut son pesant d’or et que sans meme chercher a comprendre, nos ID-IOTS ROBOTISES ET PROGRAMMES sont prets a mettre le tout sur le FDR pour ne pas regarder le vrai probleme en face. ON EST DANS LE MER-DE.
    Quelle honte!!!

  5. Bonjour,
    Comme vous le savez, le PM actuel, Oumar Tatam Ly, est membre du RPM, donc de la majorité au pouvoir et de la majorité à l’assemblée nationale.

    Donc, sachant qu’il est travailleur, compétent, méthodique, pragmatique et sérieux, pourquoi ne sera-t-il pas reconduit comme PM ?

    Certains parlent de gros calibres, respectables de partis politiques alliés au RPM, qui devront être intégrés dans le gouvernement ou que le Premier Ministre devra être choisi parmi eux ou parmi les cadres du RPM.

    Les gros calibres sont bien à la tête des partis politiques MAIS ne doivent pas forcement figurer dans le gouvernement.

    Le Président IBK connaissait les cadres du RPM bien avant, pourquoi, n’avait-il pas choisi un Premier Ministre parmi eux ?

    Pourquoi, était-il parti chercher Oumar Tatam Ly ?

    Aujourd’hui, que la confiance s’est établie entre eux, il le reconduira, sûrement. Et d’ailleurs, il l’avait annoncé à l’occasion des voeux du nouvel an.

    IL SERAIT JUDICIEUX QUE LES MEMBRES DU RPM OPTENT POUR LA COHESION AU SEIN DE LEUR PARTI AFIN DE REGARDER DANS LE MEME SENS ET DE MIEUX SOUTENIR LE PRESIDENT IBK.

    En fonction des compétences, Le poste du Premier Ministre et les postes ministeriels devront être alloués mais pas forcement parce qu’on est gros calibre.

    Ce qui ne veut pas dire que les gros calibres ne sont pas compétents.

    Pour la promotion de l’excellence, soyons exigeants sur le choix de notre Premier Ministre et de nos ministres, l’avenir du pays en dépend.

    Des cadres compétents des partis politiques seront plus adaptés que les gros calibres.

    Ce qu’il faut, c’est la compétence, être travailleur et le dynamisme pour sortir le pays de la crise actuelle et le hisser au rang des grandes nations qui se sont prises en charge.

    Certains ministres du gouvernement actuel incarnent ces valeurs tels que: Le Premier Ministre (Oumar Tatam Ly), Zahabi Ould Sidi Mohamed, Ousmane Ag Rhissa, Cheick Oumar DIarrah, Soumaïla Boubeye Maïga.

    Ils doivent être reconduits.

    J’appelle le Premier Ministre et le Président IBK à rechercher les compétences dans la société civile et parmi les cadres Maliens sans étiquette sans oublier la diaspora Malienne.

    Ne nous trompons pas, c’est eux qui permettront au Mali de s’en sortir durablement en mettant en avant l’intérêt général et le bien-être des Maliens.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
    E-mail: [email protected]
    TEL au Mali : 78 73 14 61

      • Il a décodé MARCIA BAILA des RITA MITSOUKO !
        😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

        • C’est parce que je me suis renseigne que je vous demande d’ou vous sortez cette histoire. Je vous repose la meme question: D’ou est ce que vous sortez cette information que Oumar Tamtam Ly est du RPM?

          • Bonjour,
            Il serait intéressant de vous renseigner plus, pourquoi pas au niveau du RPM.

            D’après vous, avec quelle étiquette, le PM, Oumar Tatam Ly, avait présidé les journées parlementaires du RPM, les 15 et 16 JANVIER 2014, à l’Hôtel Raduson ?

            Avec la rentrée parlementaire, le PM a crée une majorité parlementaire. Au préalable, il avait crée un contrat de législature avec dix partis politiques.

            Pourquoi, le PM, n’avait-il pas présidé les journées parlementaires de l’URD ?

            Je vous invite à relire cet article (déstabilisation du régime IBK : le ver est déjà dans le fruit) et à lire aussi les articles suivants, vous aurez quelques idées:

            – “Gouvernance politique: le Premier Ministre troque le manteau de technocrate contre celui du RPM”, édité sur Bamada, le 17 janvier 2014.

            – “Bataille de leadership pour le contrôle du parti présidentiel : Qui de Bocari Téréta et de Oumar Tamtam Ly va hériter du RPM ?, paru sur malweb le 24 février 2014.

            Bonne lecture.

            Bien cordialement
            Dr ANASSER AG RHISSA
            EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
            E-MAIL: [email protected]

          • Dr Rhissa, Oumar Tatam Ly n’a JAMAIS fait partie du RPM avant qu’il ne soit nomme premier ministre, je dis bien JAMAIS. Il a aide a la redaction de certains documents economiques du parti mais en tant que consultant. C’est sur la base d’articles ecrits par des laudateurs qui n’ont de maitre que l’argent que vous supporter cette histoire?
            Dr Rhissa, OTM etait a la BCEAO quand le coup d’etat est arrive. En 2013, il a commence a se rapprocher du RPM, mais encore une fois il n’a pas milite. En tant que premier ministre de IBK (RPM), si vous me dites qu’on le considere comme RPM, je ne trouverais pas grand-chose a dire, mais il n’a jamais MILITE dans ce parti avant les elections.

          • Bonjour,
            Merci de votre réponse.

            S’il vous plait, je ne vous ai pas parlé d’adhésion au RPM avant d’être Premier Ministre.

            Avant, tout le monde sait qu’il travaillait à la BCEAO et était apolitique.

            Les articles que je vous ai proposés à lire datent de 2014.

            Bien sûr, en tant que PM de IBK, les gens le considèrent comme membre du RPM mais pas seulement.

            En autres, les journées parlementaires du RPM qu’il a présidées sont révélatrices.

            Elles se sont réellement passées, ce n’est pas une invention de ce que vous appelez des laudateurs.

            Si, pour vous, ce n’est pas encore clair, ça le sera bientôt ou tout simplement renseignez-vous au près du RPM.

            Bien cordialement
            Dr ANASSER AG RHISSA
            EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
            E-mail: [email protected]

          • Dr Rhissa, si vous me parlez de l’arrivee de OTL en 2014 dans le RPM(meme fin 2013), je n’ai aucun probleme avec cela. Mais admettez aussi que ce n’est pas cela etre membre d’un parti politique. On peut tout dire de TERETA, mais s’il ya quelqu’un qui merite d’etre appele MEMBRE du RPM c’est lui puisqu’ayant fait la traversee du desert avec IBK. OTL n’a traverse aucun desert avec IBK et c’est au moment du partage de gateau qu’il s’est rapproche du RPM. CE SONT DES FAITS, et personne ne peut changer cela.

          • Bonjour,
            Merci Bougobalini d’être d’accord avec moi sur l’arrivée du PM, Oumar Tatam Ly, au sein du RPM.

            Peu importe quand, il est membre du RPM.

            Ne croyez pas que je ne suis pas conscient de la traversée du désert faite par les membres du RPM avec IBK et de leur contribution au plébiscite d’IBK à l’élection présidentiel même si le sursaut national est venu conforté le succès total.

            Comme compagnons de cette traversée du désert,entre autres, Dr Téréta, Ousmane Ag Rhissa et Abdoulaye Idrissa Aliou (son directeur de campagne) en font partie.

            Qu’ils en soient remerciés.

            Aujourd’hui, le RPM a besoin de plus de cohésion pour mieux aider le président IBK.

            Il est souhaitable que tous ses membres pensent à cela.

            Concernant le choix du Premier Ministre, le Président IBK a déjà fait son choix en reconfirmant Oumar Tatam Ly.

            Bien cordialement
            Dr ANASSER AG RHISSA
            EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
            E-mail: [email protected]

  6. L’article torchon de Ce torchon de journal écrit par ce journaliste opportuniste n’apporte rien de bon pour ce qui concerne la gestion hasardeuse faite par IBK et le RPM: le pilotage à vue est normal pour un PR venu sans véritable programme de société. Epargnez-nous ce genre d’article qui nous décrit la situation comme une confrontation entre bons et mauvais ne correspond pas à la réalité: l’opportunisme va tuer ce parti et nous avec, si nous ne réagissons pas à temps!

    • Le pilotage à vue est la résultante du parachutage d IBK que personne ne donnait gagnant, lui même en était tellement conscient qu ill n à rien préparé. Mais le Destin à voulu que ce soit lui parce que le lâche Dioncounda n à pas pu maîtriser les putschistes, du coup eux ont exigé IBK ou n autre coup d état , les religieux s en sont mêlés et finalement LÀ communauté internationale à estimé que la sécurité du Mali passe par IBK président

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