Des coupures d’électricité intempestives à prévoir de jours comme de nuits à partir du mois de mars. Les responsables de l’Énergie du Mali, EDM SA, donnent l’alerte. Selon les responsables de la société Energie du Mali, cette situation s’explique par une mauvaise pluviométrie enregistrée cette année. La quantité d’eau peut difficilement couvrir les besoins d’approvisionnement en électricité, ajoute la direction d’EDM S.A. La société de fourniture d’électricité demande à tous d’adopter des comportements allant dans le sens d’économiser la consommation de l’énergie disponible.
Dans les rues de Bamako, les populations crient leur colère contre les nombreuses coupures d’électricité. Si certains disent comprendre «la situation difficile que traverse EDM», d’autres en revanche pensent que «la bonne gouvernance devrait permettre aux autorités d’anticiper à travers des mesures d’urgence».
Terrorisme :
Des djihadistes appréhendés…
La force française Barkhane a arrêté, jeudi dernier, quatre jihadistes présumés dans le cadre d’une opération visant à “neutraliser” le groupe d’un important chef jihadiste actif dans le nord-est du Mali, à proximité de la frontière avec le Niger.
C’est dans cette zone que deux soldats français ont été tués et un blessé, mercredi dernier, dans l’explosion d’une mine artisanale au passage de leur véhicule.
Selon la ministre françaises des Armées, Florence Parly, l’incident s’était produit dans le cadre d’une “vaste opération de contrôle de zone” dans cette région du Mali réputée servir de refuge à des groupes jihadistes que la force conjointe du G5 Sahel s’est donnée pour mission de chasser.
“Barkhane a arrêté jeudi quatre présumés jihadistes dans la région de Gao, près de la frontière Nigérienne, non loin d’une zone où le chef jihadiste Adnan Abou Walid Sahraoui est recherché”, a déclaré jeudi une source militaire malienne s’exprimant sous le couvert de l’anonymat.
Deux groupes armés signataires des accords de paix de 2015 au Mali, le Groupe d’autodéfense touareg Imghad et alliés (Gatia, pro-gouvernemental) et le Mouvement pour le salut de l’Azawad (MSA, ex-rébellion), “travaillent aux côtés des Français pour neutraliser ce chef jihadiste et ses hommes”.
Ansongo :
Des compagnies de transports attaquées
Braquage de trois compagnies de transports en partance sur Gao. Les faits se sont déroulés à 7 heures du matin le vendredi 26 février 2018 sur la route d’Ansongo à 75 km de la ville. Selon les passagers, les assaillants arrivés à bord d’un véhicule 4×4 ont dépouillé les occupants de tous leurs biens. Ils seraient partis avec un montant s’élevant à plus de six millions de F CFA. Les forces de sécurité alertées, ont survolé la zone sans succès.
Tombouctou :
Heurt entre groupes armés
De graves heurts entre deux mouvements armés ont eu lieu dans la nuit du 21 février à Bourem-Inaly. Le poste armé du MAA Plateforme de la commune rurale de Bourem-Inaly a été la cible d’une attaque aux environs de 20 heures par des hommes en arme non encore identifiés.
Des coups de feu nourris ont soudainement illuminé le ciel de la localité. Selon des témoins, les assaillants avaient quitté la zone du Gourma pour traverser le fleuve et attaquer le poste.
Bilan ? Les éléments du MAA assurent avoir tué 7 des assaillants. La commune de Bourem-Inaly est située à 25km de Tombouctou. Le poste qui vient d’être attaqué a été créé en 2015 par des éléments de la CMFPR devenue aujourd’hui MAA-Plateforme.
Tin Hama :
Pénurie d’eau
Les populations du village de Tahagla, dans le cercle d’Ansongo souffrent d’une récurrente pénurie d’eau. Cette localité ne dispose d’aucun point d’eau. Les habitants sont contraints de se rendre tous les jours à Tin Hama, commune située à 15 km por s’approvisionner en eau potable à dos d’âne. Ils lancent un SOS aux autorités pour la construction d’un point d’eau moderne dans la localité.
Almoustrat :
Cas suspect de rougeole
Six cas suspects de rougeole ont été signalés dans le village d’Agregawe à 35 kilomètres d’Almoustarat dans la région de Gao. Une mission a été dépêchée sur le lieu par le CSRF de Bourem en collaboration avec l’ONG ADESAH afin de mener des prélèvements sur les personnes suspectes. Des soins préliminaires les ont été fournis et elles sont prises en charge par l’Ong Adesah.
Monnaie unique :
Création d’une institution monétaire commune
Les Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO ont pris ce part ce mercredi 21 février à Accra aux travaux de la 5ème Réunion de la « Task Force présidentielle » sur le programme de la monnaie unique dans l’espace communautaire.
Ils ont adopté une nouvelle feuille de route qui donne un coup d’accélérateur au projet commun de création d’une monnaie unique. Objectif annoncé : atteindre au plus vite la « CEDEAO des peuples » avec un espace économique plus viable.
L’une des grandes décisions contenues dans la nouvelle feuille de route, est la création dès cette année 2018 d’une institution monétaire de la CEDEAO. Elle sera chargée de « fédérer et rationnaliser les multiples institutions existantes et de réduire les critères de convergence de onze (11) points à six ».
Faure Gnassingbé, président en exercice de la CEDEAO, s’est félicité « des importantes décisions prises à Accra, qui traduisent les idéaux des pères fondateurs de l’organisation communautaire ». Il a, comme ses pairs, réaffirmé son engagement à œuvrer à l’avènement d’une monnaie unique en 2020.
La Rédaction
Après avoir leurré tout le monde avec leur Sifaoui, TF1/Lci tente une fois de plus de nous manipuler en annonçant leurs nouvelles manipulations, scenario qu’ils ont planifié, pour cette fois si ils ont “imaginé” d’impliquer les Sérès (comme c’est de coutume de leur taper dessus car ils savent que c’est leur souffre douleur préféré qui leur sert de punching-ball idéal qui ne proteste jamais et ça arrange tout le monde)
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