Ce qui d’ailleurs semble normal pour la sécurité des citoyens étant donné que « la sauvegarde de sa vie n’a pas de prix ». Mais, avant tout, le mieux n’est-il pas qu’il concerte d’abord ses homologues (celui des transports et du commerce) par rapport à la réduction du prix des casques, surtout en ce temps-ci où les gens ont du mal à s’offrir des simples denrées alimentaires.
Rappelons que juste au lendemain de la 1ère décision portant son port obligatoire, des casques qui se vendaient à 6.000F même négociable, ont grimpé de 10.000F à 15000F CFA et sont à cette hauteur jusqu’à présent. Ou du moins, que le gouvernement fixe un prix abordable valable pour tous les commerçants.
Des policiers chasseurs de primes !
Et oui, la plupart de nos policiers, il s’agit bien évidemment de ceux ayant en charge la gestion de la circulation routière, ne sont que des chasseurs de primes.
Intéressés par tout sauf la règlementation de la circulation qui, aux heures de pointe, est quasi impossible, loin de nos vaillants qui sont pour la plupart du temps, occupés par les Sotrama ou à leur poursuite pour d’éventuel pourboire.
Chose qui est interdite par la loi, mais tombée dans la désuétude ou encore cachée dernière un panneau en quête des hors-la-loi, c’est-à-dire les ‘’violeurs’’ des feux tricolores.
A savoir que le rôle d’un policier dans la circulation routière est plus que vitale, puisque son implication peut éviter certains accidents et même éviter que les conducteurs s’entrent-mêlent à tort et à travers.
Le mauvais stationnement sur les artères principales !
Longtemps réputé pour la pratique des transporteurs en commun (Sotrama et Taxi) qui s’arrêtent immédiatement dès la vue d’un client et cela à n’importe quel endroit des artères au point que l’on se pose la question de savoir où ils ont décroché leur permis. Mais si pour eux, le stationnement est temporaire, tel n’est pas le pour certains conducteurs particuliers de même que certains conducteurs de bus, camions bennes et autres poids lourds qui s’adonnent à cette pratique tout en prenant tout le temps qu’ils veulent. Cela même près des panneaux d’interdiction de stationnement et autres qui n’ont même plus d’utilité aux yeux des citoyens. Signalons par ailleurs que certains panneaux sont dans un déplorable. Ils sont rouillés ou penchés ou servent d’affiches publicitaires. L’ONT ne doit-il pas revoir ces panneaux pour les renouveler ?
Le désordre dans les facultés…
Au Mali, le système universitaire n’a jamais été concordant malgré des belles tentatives qui n’ont pas fait long feu. Les différentes facultés demeurent confrontées à d’innombrables difficultés qui n’en finissent jamais. Tantôt des programmes inachevés, ou bâclés ; tandis que certains étudiants sont à 2 sessions, d’autres en sont à une seule. Les nouveaux bacheliers en quête de l’endroit où s’inscrire faute de place ou ayant simplement débordé. Les résultats de la seconde session ne sont pas sortis après la rentrée officielle, des omissions par ci et par là ! Est-ce que nos étudiants doivent se retrouver dans les stades, cinémas ou dans de petites salles à suivre des vidéos conférences. Enfin, comme si tout cela n’était pas suffisant, à peine rentrés, les membres de l’AEEM s’adonnent à l’application de la loi de la jungle notamment à travers l’élection du secrétaire général de l’AEEM, créant du coup des sorties inutiles.
Réseau APEM: le procès reporté au 10 février
Le procès qui oppose le magistrat Dramane Diarra au président du réseau d’Appui au Processus Electoral au Mali (APEM) Ibrahim Sangho a été renvoyé au 10 février 2014.
Il faut rappeler que Dramane Diarra un membre du bureau sortant du réseau, mécontent après avoir été mis en minorité par la majorité des délégués lors des assises le samedi 4 janvier dernier, a assigné en justice le nouveau bureau du réseau APEM. Et cela, selon les sources proches du réseau, après avoir quitté la salle au renouvellement du bureau dont Ibrahim Sangho a été reconduit président.
Signalons que le Dramane Diarra s’était permis de mettre en place un bureau parallèle avec sa minorité.
Alimatou Djénépo
Porte des casque est une bonne chose mai au Mali Jakarta sans rétroviseur vraima ses dangereux La police malienne ne respect pas la population l’année passe j’étais au Mali vraima les gens vivre dans la misère le gouvernement doit cherche une solution pour diminuer la pauvreté
actuellement le port du casque(masque) peut provoquer une insécurité surtout avec la crise du nord.
a vos analyses !
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