Moins d’un mois après le terrible accident de l’avion d’Air Algérie à quelques kilomètres de Gossi, le bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) en France révèle que l’avion ne s’est pas désintégré en vol. Selon les enquêteurs, il a été disloqué au sol après avoir perdu de la vitesse et viré à gauche pour une raison encore indéterminée.
D’autres informations suivront dès que les données de la 2ème boite noire (pour le moment inexploitable) seront connues.
L’attente ne sera certainement pas aussi longue comme c’est le cas concernant le crash de l’AN-24 en 1986 à Tombouctou, du Twin à destination de Nioro un an avant et du gros porteur Ougandais il y a quelques années à l’aéroport de Bamako-Sénou.
Laboratoire Nationale de la santé
Quand la technologie dépasse la technologie !
Sur le marché, on retrouve des médicaments dont les importateurs ne détiennent aucun visa. Ces produits peuvent être toxiques, mais, ils circulent librement. Si d’un côté on pointe du doigt l’inspection de la Santé, d’un autre côté, on accuse le Laboratoire qui, dit-on, n’a pas les moyens technologiques d’examiner certains produits pourtant très efficaces, issus de dernières technologies pharmaceutiques.
Dépravation des mœurs
Un proxénétisme d’un genre nouveau !
Une nouvelle forme de proxénétisme fait actuellement des vagues à Bamako. Des hôtels concèdent de véritables rentes viagères (presque des contrats à vie) à des jeunes filles auxquelles ils remettent une moto Jakarta contre des prestations de professionnelle du sexe dont les rémunérations sont encaissées par lesdits hôtels. Et, quand il y a grabuge (vole, perte ou de la moto), bonjour les dégâts…
Assainissement des voies publiques
De la poudre aux yeux !
Il y a quelque temps, le Gouvernorat du district a instruit aux autorités des 6 communes de procéder à l’assainissement des voies et à la libération des domaines publics, illégalement occupés par les particuliers.
Cette initiative, bien que salutaire, a toujours été sporadique et a eu de tout temps du mal à se pérenniser. Car aucune de ces opérations n’a fait l’objet d’un simple suivi effectif.
N’est-ce pas qu’on nous met de la poudre aux yeux ?
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