Conflit malien: le ministre burkinabè des Affaires étrangères rencontre le président du Mali

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Après une visite en Algérie, le ministre burkinabè des Affaires étrangères, Djibril Bassolé, était ce lundi 5 mars 2012 au Mali. Il a été reçu par le président Amadou Toumani Touré. Au centre des discussions, le conflit dans le nord du pays, qui inquiète tous les États de la région. Djibril Bassolé juge impératif d’obtenir un cessez-le-feu et propose un agenda de sortie de crise qui devrait permettre la tenue de l’élection présidentielle malienne, le 29 avril prochain, et éviter les risques d’un vide constitutionnel.

Djibril Bassolé, ministre des Affaires étrangères du Burkina Faso

L’agenda du MNLA, (l’indépendance régionale), est hors de portée. La communauté internationale n’est pas prête à soutenir un tel agenda. Je pense qu’il faut sauvegarder la stabilité, l’unicité, la cohésion nationale mais nous pouvons envisager d’aider les Maliens à discuter de ces questions pour pouvoir trouver des compromis.

Beaucoup d’acteurs régionaux ou internationaux interviennent dans le conflit entre les rebelles du Mouvement de libération nationale de l’Azawad et les autorités de Bamako. Le ministre des Affaires étrangères burkinabè estime que l’enjeu de la paix et la stabilité en vaut la peine : « Il n’y a pas d’initiative parallèle. Toutes les initiatives doivent converger (…) d’où la nécessité de se concerter très régulièrement ».

Tous les pays de la bande sahélo-saharienne n’ont qu’une seule envie c’est que la guerre s’arrête, ne serait-ce que pour des besoins humanitaires.

Par RFI

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14 COMMENTAIRES

  1. Vous avez la solution livrez nous d’abord Djimi le rebelle qui est ouagadougou retourne a paris pour dire a sarko qu’aucun français n’a negocier quoi que ce soit avec les indépendantistes corse!! foutez nous la paix. dit a la Mauritanie de nous livrer le pseudo président de l’azawad et son état major et les négociations sont terminés.Notre ATT fait honneur a la démocratie naissante en afrique et Blaise compaoré n’est qu’une honte pour toute la génération montante Vue qu’il n’a fait que servir les intérêts français pour ce maintenir au pouvoir.

  2. Dites au ministre burkinabé que les armes se sont tues… que la guerre est finie… a bana… Regardez sur la carte du Mali, on ne voit plus de points rouge… il n’y a plus d’attaque de bandits dans les petites villes sans défense… La guerre est finie… 😀 😀 😀 😀

    Mais seulement, notre armée ratisse sur le territoire national… comme c’est sa mission… Que l’on fiche la paix à notre armée… pour qu’elle fasse son job, à huis clos… Chuuuuuutttttt ! 😀 😀 😀

  3. Le Burkina est le porte-parole de la France en Afrique francophone,la Côte d’Ivoire sa “terre d’investissement” et la Mauritanie son valet.

  4. Non on ne négocie pas avec des criminels!

    En 51 ans d’indépendance, la nation malienne vit la question Touareg à travers les guerres de rébellion à répétition  comme un drame qui meurtrit son cœur.
    Au Sud, aussi très pauvre rappelons le, on n’a du mal à comprendre la persistance d’une attitude belliqueuse et d’une haine viscérale qui sévit au nord contre la nation malienne, malgré le pacte national, l’agence du développement du nord, ADN, la flamme de la paix, les vastes programmes d’intégration à l’armée, et de recrutement dans la fonction publique et des services déconcentrés de l’état (souvent sans diplômes et sans compétence) des ressortissants du nord, le Pspsdn (programme spécial pour la paix la sécurité et le développement au nord),…

    C’est vrai que les impacts et les retombées de ces programmes et actions sur les conditions de vie des populations du nord se font attendre. 

    Mais c’est tous nos compatriotes au nord qui vivent les mêmes conditions de mal vivres de la même manière qu’ils soient Touareg, peuls, Behlla, arabe, sonrhai, ou autres.

    Il y a longtemps qu’on devrait faire l’audit des actions entreprises au nord pour le développement pour savoir pourquoi les programmes mis en oeuvre sont aussi inefficaces à  changer le quotidien de nos compatriotes du nord.

    Mais la responsabilité dans ce manque de vigilance incombe d’abord aux ressortissants du nord car après le départ d’Alpha sur les dix ans du régime ATT, ils ont fait au moins  quatre ans au pouvoir.

    Tour à Tour, Ag Amani, Ousmane Issoufi Maiga, Mariam Kaidama Sidibé, trois chef de gouvernement sur quatre du régime ATT viennent du Nord.

    Mieux, toutes les circonscriptions du nord sont représentées à l’assemblée nationale (où elles peuvent à tout moment interpeller les ministres et le gouvernement sur toutes les  questions touchant leurs circonscriptions) avec en prime un vice président de l’assemblée national et un président du haut conseil des collectivités territoriales sans compter les ministres et autres cadres ressortissants du nord.

    Il ya eu une démission collective des leaders à répondre efficacement aux aspirations du peuple malien, mais la responsabilité des problèmes du développement du nord incombe plus aux ressortissants du nord que quiconque. 

    Je n’ose même pas imaginer le boom du développement que Banamba et les autres villages Sarakolés de la région de Kayes auraient fait s’ils avaient bénéficié du même  armada de dirigeants et de programmes  pendant la même période.

    Alors le développement n’est pas arrivé au nord mais il n’est pas non plus clinquant au sud. Le gâchis nous a avons tous plein la figure.

    Le traumatisme des guerres précédentes, les rivalités entre les communautés du nord, ont marqué des générations entières de nos compatriotes au nord à telle enseigne que ce n’est plus le nord mais les nords qu’il faut voir.

    Puisque ces populations sont loin d’avoir la même vision, les mêmes attitudes et les mêmes préoccupations quoi qu’elles vivent sur le même territoire. 

    Nous avons de très bons citoyens au nord (touareg, arabe, sonrhai, peul, behla,  et autres) très attachés à la république malgré leurs conditions de vie difficiles.

    Mais nous avons aussi des bandits de grands chemins qui ne respecteront rien même si notre niveau de développement atteint celui du Canada. 

    Mais franchement pendant tout le temps que certains d’entre eux côtoient Khadafi et ses montagnes pétrodollars qu’est-ce qu’ils ont fait pour changer les vies à Kidal, Menaka, Abeibara, Andaramboukane, Aguelhoc, Tessalit… “Reponsez moi”?

    Ce sont ces personnages qui ont aujourd’hui pris les armes contre nous.

    Pour qui connait la bande à Najim, Ag Ghali, et autres Bamoussa, il n’y a aucune autre alternative viable que la solution militaire, et l’armée malienne va s’affirmer.

    C’est cette fermeté qu’a   manqué le régime ATT face à des énergumènes écervelés de la trame d’Ag Bahanga.

    Ceux qui s’activent à trouver autres solutions que la solution militaire ne le font pas pour le bien et la quiétude du peuple malien.

    Car aujourd’hui si on négocie sur Kidal il faudrait pas s’étonner demain que ce sera sur Mopti et Ségou. 

    Cela est tout simplement inacceptable. 

    Car si le problème du nord est une maladie de la nation malienne, le laxisme d’état, les compromis et compromissions aux détriment de la majorité de ceux qui vivent au nord, en sont de dangereux calmants et non des vaccins.

    Malheur et drame à celui qui essaie de négocier avec ces malfrats de grands chemins au nom du peuple malien!

    Aux pseudos chercheurs de  négociation et de cessez-le-feu, je dis NO, NO, NO.

    Pour reprendre les termes de Margaret Thatcher  qui est l’incarnation même de la fermeté et de la rigueur en politique.

    Toute chose qui a manqué au Mali depuis longtemps et dans tous les domaines.

    1 franc voté pour le nord doit être 1 franc effectivement investi au profit de toutes les populations du nord.
    Sur 1 millimètre du territoire malien où qu’il soit, force doit revenir à la loi. 

    Telle est la seule politique qui vaille pour que le nord du Mali soit un havre de paix et que le Mali puisse se tourner vers son développement harmonieux.

  5. Le burkina n’est qu’un bra de la france dans la sous la regions, mettant le feux et jouant au pompier. By the way, Blaise degage!

  6. Juste une continuation des actions francaises. Si le Burkina ou la France veulent la fin de la crise, qu’ils extradent les criminels d’AQMI=MNLA qui vivent chez eux sous protection et promotion d’Etat. Qu’ils aident le Mali avec des armes et des renseignements militaires utiles. Le Mali n’a plus droit a l’erreur. Il faut reconnaitre et defendre ses interets, il faut avancer vers la solution militaire: AIDE TOI LE CIEL T’AIDERA.

  7. Ce n’est rien d’autre qu’un envoyé spécial de la France !!! Médiateur par ci par là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Les guerres ne finiront jamais dans la sous région à cette allure !!!!!!!!!!!!

  8. Nous ne sommes pas sur la meme longueur d’onde avec ce ministre burkinabe.Il s’exprime malheureusement comme un francais Il n’y a rien de plus important que l’integrite territoriale de la Republique du Mali .Le Mali n’est pas une creation de la France .Cet Etat millenaire avec Timbuctu a ete le centre de la culture du monde.Quand les Pharaons etaient noirs ,toute cette region de l’Egypte jusqu’a la Mauritanie etait aussi peuplee de Noirs.D’autres peulpes ont envahi l’Afrique du Nord Aujourd’hui ces regions sont peuples de Noirs, d’Arabes, et de Berheres qui ont appris a vivre ensemble dans l’harmonie .L’Islam y a joue le role unificateur.Ces rebelles Touregs ignorants, fanatiques et cruels ,petite minorite parmi d’autres groupes ethniques ,pensent que c’est leur patrie.Que l’Armee au sein de laquelle beaucoup de nos freres Touaregs se battent fassent la sale besogne d’abord .Ensuite le Gouvernement Malien verra comment renforcer la securite dans cette region plus defavorisee ,comment y ameliorer le standard de vie des populations et comment y renforcer la cohesion physique , politique ,economique ,sociale et culturelle.

  9. Rfi, France 24 et Afp ne sont en Afrique que pour assurer le service après vente de la politique africaine de la France.

    Les faits:

    La diplomatie Alliot Marie se trompe vertement en Tunisie début 2011 sur la révolution du Jasman. 
    “La France est prête à apporter son expertise (en matière de maintien d’ordre) à la Tunisie” disait elle.
    Pour rectifier le tir, il a fallut beaucoup d’acrobaties et finalement Alain Juppé l’a remplacée.

    Après l’Egypte, les révolutions arabes de 2011 arrivent en Libye, une occasion de rachat pour le Quai d’Orsay et surtout de rendre à Khadafi la monnaie de sa pièce puis que reçu en grande pompe, en 2007, à l’Elysée avec convois impressionnants et tentes dans l’hôtel Mariny, il n’a pas daigné honorer les juteux contrats d’armement des Mirages (technologie militaire réputée non vendue à cause de ses mésaventures commerciales à répétitions) qu’il avait pourtant promus et jurés.

    Il s’agissait de faire d’une Pierre deux coups: se racheter après la bourde Alliot Marie auprès du monde arabe mais aussi de se venger de Khadafi pour son “arrogance” à réduire Sarko en ridicule en signant chez le voisin espagnol ce qu’il vient de refuser en France.
    Surtout qu’il y a la possibilité d’une “prime pétrole” si jamais le CNT prenait le pouvoir en Libye. Ça sera le pain béni pour Total et le Medef (patronat français).

    Alors l’Elysée déploie les grands moyens et embauche les services du “philosophe à la chemise ouverte” Bernard Henry Lévy pour jouer le super VRP et convaincre les opposants libyens au régime de la Jamariya à faire front commun dans le CNT (conseil national de la transition) et à maintenir la pression en leur garantissant l’aide de France. 

    Kadhafi, furieux, lance l’offensive contre les “rats” et arrive aux portes de Bengazy (l’épicentre de la contestation libyenne contre le régime  Kadhafi).

    Le lobbying français s’active  et parvient à faire signer (in extremis) à l’Onu l’une des résolutions les plus controversées de son histoire, la 1973.

    La suite est connue. 

    La résistance de l’armée de Khadafi conduit la France a envisagé un plan B, le “deal Touareg”. 

    Il s’agissait de trahir Khadafi contre une promesse d’état touareg dans le Sahel comme le président ATT (à la différence de ses voisins) ne soutient pas l’action de l’Otan contre Khadafi, ce sera l’occasion pour lui de se rappeler que le France a colonisé le Mali.

    Secrètement et bizarrement des convois  d’anciens combattants touaregs en Libye parviennent à échapper tour à tour aux surveillances satellitaires de l’OTAN (alors que Khadafi ne pouvait pas) et aux gardes frontières algériens et nigériens pour venir jusque dans l’adrar des iforas au Mali.

    Rfi et France 24 évoquaient avant tout monde l’imminence  d’une rébellion touareg  déjà en 2011. Encore bizarre!

    Les représentants du Mnla aussitôt crée sont reçus à plusieurs reprises par les fonctionnaires du quai d’orsay.
     Je ne dirais plus bizarre, mais originale comme démarche!

     La guerre éclata enfin, après l’euphorie des premières journées largement relayées par les médias français et les politiques français ( les fameux “succès militaires”), l’agacement et l’attente du quai d’Orsay ne fait plus de doute parce que tout simplement les capacités de résistance et surtout de riposte de l’armée malienne ont été largement sous estimées par les apprentis sorciers du “Deal Touareg”.

    Il faut envisager une porte de sortie honorable pour la France et ses protégés, négocier à défaut de victoires militaires pouvant rendre le “Deal Touareg” effectif.

    Pour cela Alain juppé  (“le plus intelligent” parait-il) prend les choses en main, surtout qu’après Aguelhoc le spectre de crime contre l’humanité plane sur ses “protégés”. 
    Rien de plus dangereux pour la diplomatie française, qu’un Touareg devant la CPI, frusté de ne pas voir son “Azawad” libéré du giron Malien, alors qu’il a quitté Bani Walid, Misirata, Syrte… Pour cela.

    Donc tous les moyens sont bon, “Il n’y aura pas de solution militaire” lâcha Alain Juppé à Bamako, “La France et l’algérie ont une convergence de vue” (Ah le miracle de la diplomatie! Pour une fois que cela arrive!).
    Les prêtes-mains Béninois, Burkinabés et mauritaniens sont lancés tout azimut dans la recherche de négociations et de cessez-le-feu pour arrêter l’hémorragie puis que ça risque de produire l’effet contraire de ce qui était souhaité.

    Et Rfi, France 24 et Afp se chargeront du reste.

    Mais leur tache est titanesque voir vouée d’avance à l’échec Grace à la maturité du peuple malien.

    Bon courage mes frères car ces médias français sont en mission commando depuis belle lurette.

      • Sur quelle base mon frère ? Et puis on ne peut être ailleurs et proposer des négociations, il faut connaître les tenants et les aboutissants. Ces traitres (si tu ne fais pas parti d’eux, dans le cas contraire je m’excuse), disent ne négocier que sur la base de la partition du pays. Alors maintenant tu es édifié, donnen moi ta rason de négociation maintenant que tu sais de quoi ils veulent négocier.

      • Non on ne négocie pas avec des criminels!

        En 51 ans d’indépendance, la nation malienne vit la question Touareg à travers les guerres de rébellion à répétition  comme un drame qui meurtrit son cœur.
        Au Sud, aussi très pauvre rappelons le, on n’a du mal à comprendre la persistance d’une attitude belliqueuse et d’une haine viscérale qui sévit au nord contre la nation malienne, malgré le pacte national, l’agence du développement du nord, ADN, la flamme de la paix, les vastes programmes d’intégration à l’armée, et de recrutement dans la fonction publique et des services déconcentrés de l’état (souvent sans diplômes et sans compétence) des ressortissants du nord, le Pspsdn (programme spécial pour la paix la sécurité et le développement au nord),…

        C’est vrai que les impacts et les retombées de ces programmes et actions sur les conditions de vie des populations du nord se font attendre. 

        Mais c’est tous nos compatriotes au nord qui vivent les mêmes conditions de mal vivres de la même manière qu’ils soient Touareg, peuls, Behlla, arabe, sonrhai, ou autres.

        Il y a longtemps qu’on devrait faire l’audit des actions entreprises au nord pour le développement pour savoir pourquoi les programmes mis en oeuvre sont aussi inefficaces à  changer le quotidien de nos compatriotes du nord.

        Mais la responsabilité dans ce manque de vigilance incombe d’abord aux ressortissants du nord car après le départ d’Alpha sur les dix ans du régime ATT, ils ont fait au moins  quatre ans au pouvoir.

        Tour à Tour, Ag Amani, Ousmane Issoufi Maiga, Mariam Kaidama Sidibé, trois chef de gouvernement sur quatre du régime ATT viennent du Nord.

        Mieux, toutes les circonscriptions du nord sont représentées à l’assemblée nationale (où elles peuvent à tout moment interpeller les ministres et le gouvernement sur toutes les  questions touchant leurs circonscriptions) avec en prime un vice président de l’assemblée national et un président du haut conseil des collectivités territoriales sans compter les ministres et autres cadres ressortissants du nord.

        Il ya eu une démission collective des leaders à répondre efficacement aux aspirations du peuple malien, mais la responsabilité des problèmes du développement du nord incombe plus aux ressortissants du nord que quiconque. 

        Je n’ose même pas imaginer le boom du développement que Banamba et les autres villages Sarakolés de la région de Kayes auraient fait s’ils avaient bénéficié du même  armada de dirigeants et de programmes  pendant la même période.

        Alors le développement n’est pas arrivé au nord mais il n’est pas non plus clinquant au sud. 

        Le gâchis nous en avons tous plein la figure.

        Le traumatisme des guerres précédentes, les rivalités entre les communautés du nord, ont marqué des générations entières de nos compatriotes au nord à telle enseigne que ce n’est plus le nord mais les nords qu’il faut voir.

        Puisque ces populations sont loin d’avoir la même vision, les mêmes attitudes et les mêmes préoccupations quoi qu’elles vivent sur le même territoire. 

        Nous avons de très bons citoyens au nord (touareg, arabe, sonrhai, peul, behla,  et autres) très attachés à la république malgré leurs conditions de vie difficiles.

        Mais nous avons aussi des bandits de grands chemins qui ne respecteront rien même si notre niveau de développement atteint celui du Canada. 

        Mais franchement pendant tout le temps que certains d’entre eux ont côtoyé  Khadafi et ses montagnes pétrodollars qu’est-ce qu’ils ont fait pour changer les vies à Kidal, Menaka, Abeibara, Andaramboukane, Aguelhoc, Tessalit… “Reponsez moi”?

        Ce sont ces personnages qui ont aujourd’hui pris les armes contre nous.

        Pour qui connait la bande à Najim, Ag Ghali, et autres Bamoussa, il n’y a aucune autre alternative viable que la solution militaire, et l’armée malienne va s’affirmer.

        C’est cette fermeté qu’a   manqué le régime ATT face à des énergumènes écervelés de la trame d’Ag Bahanga.

        Ceux qui s’activent à trouver autres solutions que la solution militaire ne le font pas pour le bien et la quiétude du peuple malien.

        Car aujourd’hui si on négocie sur Kidal il ne faudrait pas s’étonner demain que ce sera sur Mopti et Ségou. 

        Cela est tout simplement inacceptable. 

        Car si le problème du nord est une maladie de la nation malienne, le laxisme d’état, les compromis et compromissions aux détriment de la majorité de ceux qui vivent au nord, en sont de dangereux calmants et non des vaccins.

        Malheur et drame à celui qui essaie de négocier avec ces malfrats de grands chemins au nom du peuple malien!

        Aux pseudos chercheurs de  négociation et de cessez-le-feu, je dis NO, NO, NO.

        Pour reprendre les termes de Margaret Thatcher  qui est l’incarnation même de la fermeté et de la rigueur en politique.

        Toute chose qui a manqué au Mali depuis longtemps et dans tous les domaines.

        1 franc voté pour le nord doit être 1 franc effectivement investi au profit de toutes les populations du nord.
        Sur 1 millimètre du territoire malien où qu’il soit, force doit revenir à la loi. 

        Telle est la seule politique viable qui vaille pour que le nord du Mali soit un havre de paix et que le Mali puisse se tourner enfin vers son développement harmonieux.

  10. J’informe, j’avertis, je préviens, je mets en garde, quiconque signera un soit disant cesser le feu avec ces bandits et bouchers de Aguel Hoc viendra me trouver ici.

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