Disparition de cartons de médicaments, épuisement de stocks, endettements, non respect des engagements vis-à-vis de ses clients, vente de médicaments périmés, ce sont là, les maux qui ont fini par mettre
Cette structure, autrefois, sollicitée par toutes les officines (privées ou publiques) du pays, les centres de santé et autres pour la qualité de ses services, aujourd’hui,
Depuis quelques mois, cette structure est gérée de la pire des manières. Ses produits sont sauvagement détournés, et ses livraisons de médicaments aux clients sont irrégulières.
A cela s’ajoute le vol des médicaments.
Conséquence de cette situation, les clients les plus efficaces de
Pire, même ses médicaments périmés se volatiliseraient au quotidien, pour "alimenter" les pharmacies par terre.
Le supplice des populations
Selon des sources concordantes, dans la région de Koulikoro, rien ne va en matière de santé. Et pour cause.
Des autorités locales exigent que le personnel sanitaire (médecins, infirmiers, aides soignants) soient de la fonction publique. C’est pourquoi, l’on constate dans la région une insuffisance notoire de médecins.
Des géomètres préparent une vente massive de parcelles
Selon l’Union des Associations pour
A en croire cette association, ces parcelles seraient toutes issues d’une magouille sans précédent.
La catastrophe
Les résultats du DEF sont tombés le 21 juillet dernier.
Cependant le comble est que, le taux d’admission est très faible. Il est de 32,89% contre 69,34%.
Ces résultats sont ils le fruit de la "transparence" exigée par le ministre ?
Ou serait-ce la mauvaise qualité de l’enseignement qui expliquerait ces médiocres résultats ?