Question du Nord : Le FDR honoré par une délégation parlementaire du Niger…
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Lors de l’atelier organisé le week-end dernier par le Front pour la Démocratie et la République au Mali (FDR) sur «La sécurité, la stabilité et le développement dans l’espace sahélo saharien», une forte délégation parlementaire du Niger était conduite par Brigi Raffini, 4è Vice président de l’Assemblée nationale du Niger. Cet homme politique est le député maire de Ifélouane (zone de l’AIR).
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Dans cette délégation figurait également le député Abdoulaye Diori, fils aîné de l’ancien président du Niger. La délégation wielerkleding outlet composée de 8 députés était venue s’informer sur cette question : elle ne pouvait mieux tomber.
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Une participation active de la classe politique malienne
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En plus des partis du FDR, la classe politique malienne a fait une participation remarquable à travers l’Adema, le Cnid, le Mpr, le Rds et l’Urd.
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Ahmada Ag Bibi était là…
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Le porte-parole de l’Alliance du 23 mai pour le Changement et bras droit de Iyad Ag Ghaly, député Adéma d’Abeïbara a sans doute été l’invité surprise qui a marqué la rencontre du FDR sur «La sécurité, la stabilité et le développement dans l’espace sahélo saharien». Il a déclaré entre autres : «nous voulons être Maliens, c’est le Mali qui ne veut pas de nous». Ahmada Ag Bibi a recommandé la tenue d’une conférence nationale sur la question du Nord pour qu’on puisse dire de la crise malienne « a baana » (c’est fini, en bamanan, langue majoritairement parlée au Mali).
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Les vétérans du l’US-RDA
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Seydou Badian Kouyaté, ancien ministre et Sididié Oumar Traoré, ancien député de Goundam, tous de l’US-RDA sous la première République ont participé à la voetbalschoenen sale rencontre du FDR. De Seydou Badian Kouyaté (1ère République) à Ahmada Ag Bibi, c’est toute l’histoire du Mali qui se trouve résumée.
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Les diplomates de plusieurs pays et les associations de ressortissants du nord
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L’Algérie, le Burkina-Faso, la France, les Etats-Unis, le Maroc, la Mauritanie et le Sénégal étaient représentés par leurs diplomates à la conférence du FDR qui marque un tournant décisif dans le règlement de la crise du Nord-Mali.
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En plus, toutes les associations de ressortissants du nord ont apporté leurs contributions.
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Le VGAL rencontre la magistrature : Oui au partenariat, non à la complicité !
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Afin d’améliorer leurs relations, l’institution judiciaire et les corps de contrôle ont décidé de se rencontrer. Le premier du genre a commencé hier au Grand Hôtel et doit se poursuivre jusqu’au 4 décembre. Le Vérificateur général Sidy Sosso Diarra prône l’institutionnalisation de cette rencontre qui ne doit éviter de tomber dans la complicité.
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Selon Sidy Sosso Diarra, la présence du ministre de la Justice, Garde des Sceaux, à cette rencontre entre les corps de contrôle et la magistrature porte le témoignage de cette détermination à amener la justice et le contrôle vers la qualité de partenariat sans laquelle la gouvernance efficiente et intègre des ressources publiques restera un vœu pieux.
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Le Vérificateur Général a souligné la fierté de son Bureau « d’avoir impulsé et soutenu cette rencontre pour que les corps de contrôle et les magistrats de notre pays puissent passer leur collaboration au crible de la critique et de l’autocritique »
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Cette réunion de deux jours est la première du genre, « son institutionnalisation est indispensable pour surmonter les difficultés et les malentendus entre nous », a indiqué le VGAL, Sidy Sosso Diarra.
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Selon lui «le secteur judiciaire et celui du contrôle peuvent sans doute affermir leurs liens, dans la confiance et le respect mutuels, sans verser dans la complicité, sinon les citoyens n’auraient pas de garde-fou. Parce qu’en démocratie, il faut que la justice reste le dernier rempart pour la protection du citoyen». Le Vérificateur Général, au nom de son Bureau a souligné sa disponibilité à collaborer avec la justice de notre pays et de nous tous, pris individuellement.
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Au-delà d’une simple revue des forces et des faiblesses de la collaboration actuelle, la rencontre de deux jours se propose d’explorer les nouvelles opportunités qui s’offrent au corps judiciaire et au corps de contrôle pour qu’ensemble, ils puissent promouvoir une culture du contrôle dans notre pays. « C’est cette culture qui nous permettrait de réaliser ce qui nous manque actuellement dans notre pays à savoir, pour chaque responsable, de se soumettre à l’obligation de rendre compte, non pas avec plaisir car il n’est jamais agréable d’être contrôlé, mais sans faux fuyants », a conclu le Vérificateur Général.
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