L’hôpital Gabriel Touré a été rénové au coût de centaines millions de nos francs.
Et le résultat est là : d’imposants bâtiments et une certaine fluidité dans la gestion des patients.
Cependant, l’entretien des locaux laisse à désirer.
L’hôpital Gabriel Touré est sale et nauséabond.
Par exemple, au pavillon où sont pris en charge les enfants, l’air est irrespirable car les toilettes dégagent une odeur si nauséabonde, qu’elle ferait évanouir un âne et plongerait un asthmatique dans un état comateux.
Elections législatives 2013: L’ex candidat pour Koulouba a perdu le… nord
Rassuré par ses camarades et son “électorat” de bénéficier d’un score honorable au cours de l’élection présidentielle de juillet et août, il avait vendu sa voiture 4 X4 toute neuve et emprunté la somme de 25 millions à sa banque pour faire face aux dépenses de sa campagne. Hélas !
Depuis l’élection de IBK qui ne lui a fait ni appel, ni signe, le malheureux aurait complètement perdu la boussole et serait interné chez un guérisseur traditionnel.
Là, dit-on, il continuerait, à l’aide d’une calculatrice, de compter et de recompter le nombre d’électeurs ayant voté pour lui.
Bamako:Un opérateur économique sans scrupule
Il semble sorti des cuisses de Jupiter celui-là.
Il aurait magouillé pour construire un hôtel, un des plus grands peut-être à Bamako et se fiche des règles fiscales. L’homme avait cherché et obtenu des exonérations pour la construction d’infrastructures dans le cadre de la Can 2002.
Depuis, et aujourd’hui encore, il importerait beaucoup du fer, ciment et autres matériels avec les mêmes documents qui lui accordaient des exonérations en 2012.
Pharmacie populaire du Mali (PPM)
Une géante dans le coma
Disparition de cartons de médicaments, épuisement de stocks, endettements, non respect des engagements vis-à-vis de ses clients, vente de médicaments périmés, ce sont là, les maux qui ont fini par mettre la Pharmacie Populaire du Mali à genoux.
Cette structure, autrefois, sollicitée par toutes les officines (privées ou publiques) du pays, les centres de santé et autres pour la qualité de ses services, aujourd’hui, la PPM n’est plus que l’ombre d’elle-même. Et pour cause.
Depuis un certain temps, cette structure est gérée de la pire des manières. Ses produits sont sauvagement détournés, et ses livraisons de médicaments aux clients sont irrégulières.
A cela s’ajoute le vol des médicaments.
Conséquence de cette situation, les clients les plus efficaces de la PPM se sont tournés vers d’autres fournisseurs et, du coup, ses recettes auraient chuté de plus de 50 %.
Pire, même ses médicaments périmés se volatiliseraient au quotidien, pour “alimenter” les pharmacies par terre.
