Chez les ex ministres rnLe couvre-feu décrété

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Chez les ex ministres

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Le couvre-feu décrété

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Les ministres qui avaient donné un autre sens à leur fonction ont trouvé la formule magique de décréter un couvre-feu chez eux. Une manière de ne pas voir les anciens courtisans de circonstance.

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Ministère de l’Education de Base

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Les militants du ministre avaient mis la charrue avant les bœufs

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Les militants et sympathisants politiques du Ministre de l’Education de base, Mme Sidibé  Aminata Diallo avaient envahi les locaux du département et occupés des bureaux avant même leur nomination. Le Conseil des Ministres de la semaine dernière en a décidé autrement pour eux.  Bonjour, au revoir !

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Ministère du Commerce et de l’Industrie

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Une porcherie?

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La nouvelle ministre du commerce refuse l’ancien site de son département qu’elle qualifie de «porcherie». Elle a préféré, pour l’instant, occuper un immeuble au quartier du fleuve en attendant de trouver un lieu à sa convenance. Heureusement que la construction de la cité ministérielle est presque terminée.

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Deux ministres face à la presse

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Ils sont venus, ils ont vu et ils ont vaincu !

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La ministre Porte-parole du Gouvernement et le Ministre Hamed Sow qui faisait l’objet d’accusations graves sur sa gestion au CDE se sont bien défendus lors du point de presse organisé pour les besoins de la cause. Ils furent convaincants!

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Gestion des Conflits sociaux

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Mon royaume, mon Royaume  pour un médiateur !

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Ce sont les composantes de la sociétés civiles, à savoir l’Amupi, les notabilités, les leaders d’opinion qui procèdent généralement aux médiations en cas de conflits sociaux entre les différentes couches de notre société. Il se trouve en ce moment que ce sont les médiateurs eux-mêmes qui ont aujourd’hui un différend avec les pouvoirs publics. Alors qui donc les départagera?

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Projet d’abolition de la peine de mort (1)

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Le premier faux pas du Gouvernement Sidibé

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Qu’importe les arguments que les pouvoirs publics apporteront pour justifier l’abolition de la peine de mort dans notre pays. Ce n’était tout simplement pas le moment. Il existe déjà beaucoup trop de conflits en suspens. Qu’il s’agisse des doléances de la Centrale syndicale, des scolaires et des enseignants, des partants volontaires à la retraitre, de la crise au nord… Le gouvernement avait -il besoin d’en rajouter ?

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Projet d’abolition de la peine de mort (2)

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Le Gouvernement doit réculer !

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Quand, en 2001, la quasi totalité des composantes de la société malienne ont désapprouvé le projet de relecture de la loi fondamentale, le Président Alpha Oumar Konaré n’a pas jugé nécessaire d’insister quand bien même, sa décision (la relecture de la loi fondamentale) se justifiait amplement. Les faits ne lui donnent-ils pas raison aujourd’hui? Voici, en tout cas, une belle référence en matière de gouvernance. 

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