Centre national d’appareillage Orthopédique : L’espoir « handicapé » ?

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Selon certaines sources, la gestion du Centre National d’Appareillage Orthopédique, serait entachée d’irrégularités financières comme l’existence de dépenses non justifiées, d’achats fictifs et de pratiques frauduleuses. Toute chose qui aurait engendré un trou financier de centaines de millions de nos francs CFA.

Toujours, selon nos sources, cette situation aurait pu être atténuée, voire évitée si le Conseil d’Orientation avait joué efficacement son rôle de contrôleur de la gestion de la direction.

Pharmacies ‘’par terre’’

Les marchands de la mort

Aujourd’hui plus que jamais, les produits pharmaceutiques sont vendus dans les rues, au marché, à la maison, dans les bureaux et même devant les cimetières.  Les pharmaciens spécialistes par opposition aux ‘’pharmaciens par-terre’’ ayant mené depuis ‘’belle lurette’’ et jusque-là une lutte infructueuse demeurent, selon eux, les premières victimes du négoce illicite et ‘’pernicieux’’ des pharmacies par terre.

Abus des biens de l’Etat

L’ardoise “carburant et téléphone”

Ce sont plusieurs centaines de millions que l’Etat Malien payerait annuellement pour ses factures “téléphoniques”.

Et, le hic est que, ce sont des “djandjigui” (grandes dames) qui passent leur temps dans nombre de ministères et “d’autres lieux” à causer et à “régler des affaires” avec des amis à Paris, New York, Londres et ailleurs.

Aussi, il y aurait trop de lignes téléphoniques dans certains départements ministériels dont celui-ci où, il y aurait 29, avec chacune, une facture mensuelle d’un 1 million de Fcfa.

Concernant le carburant, on parle d’un autre service rattaché à un département ministériel qui brûlerait à lui seul, 1000 litres d’essence par jour.

Bamako

Faute de viande, on mange des peaux

Depuis quelques temps, dans certains marchés de Bamako, des peaux fraîches de vaches, de moutons, chèvres et autres sont vendues. Non pas à des cordonniers, mais à des ménagères pour consommation.  Le produit est traité au feu comme le poisson (fumé) ou la viande boucanée. On le gratte pour enlever les poils, puis on le met à sécher.  L’opération durerait une petite demi-heure. Ensuite, la peau est découpée en petits morceaux destinés à l’enfer de la marmite.

A défaut de ce qu’on veut manger, il faut se contenter de ce qu’on peut…manger !

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