Centrale solaire de Kita : 77 millions d’euros mobilisés

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La banque ouest-africaine de développement (BOAD) a clôturé la mobilisation d’un financement de 77 millions d’euros (plus de 50 milliards de francs CFA) pour la construction de la centrale photovoltaïque de Kita. Ce financement a été Co-arrangé par la Boad, l’Emerging Africa Infrastructure Fund et la Banque nationale de développement agricole du Mali. L’institution financière régionale a apporté sur fonds propres, 13.1 milliards de francs CFA et lèvera bientôt une première tranche de 11 milliards de francs auprès  d’autres investisseurs. La réalisation de cette opération par la Boad, entre dans la cadre de la stratégie Environnement-Climat 2015-2019 dont l’objectif, est de promouvoir les projets à fort bénéfices environnementaux, sociaux et climatiques. La centrale qui aura une capacité de 50 MW, sera construite par le Français Akuo Energy dans le cadre d’un contrat de conception, de développement, d’exploitation et de transfert (Boot).

BDM-SA: Un appui de 10 milliards de FCFA

La banque de développement du Mali (BDM-SA), dont le marocain BMCE Banque est actionnaire de référence avec 32.38 % de participation, a reçu 10 milliards de FCFA (18.3 millions $)  de la BIDC, la banque d’investissement et de développement de la Cédéao. Cette ligne de crédit est destinée au financement de petites et moyennes entreprises (PME) et Petites et moyennes industries (PMI) du Mali. 69.5% de cette ressource seront affectés aux entreprises du secteur de l’agro-industrie et 30.45% de crédits seront alloués aux entreprises du secteur des transports, plus précisément aux camions citernes qui transportent du pétrole et l’essence.

 

Paiement des contributions fiscales: Les agents déloyaux de l’Etat

Présents à tous les niveaux dans les services de recouvrement de l’Etat, certains fonctionnaires véreux se sont convertis en conseils pour le contribuable. Tantôt, c’est pour apprendre à ce dernier comment contourner les prescriptions du fisc, tantôt, pour lui indiquer les « voies » les moins coûteuses. Dans les deux cas, tout se passe sur le dos de l’Etat, pourvu, bien entendu, que le contribuable donne au « conseil » sa part.

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