Cartes biométriques : les ayant-droits plutôt mal orientés !

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Une réalité, deux  appréciations. C’est le moins que l’on puisse écrire au sujet des cartes biométriques non retirées au niveau des commissariats, mairies et chefs de quartiers. La véritable question est de savoir pourquoi cette situation? En clair,  Pourquoi pourquoi ces cartes sont toujours en ces lieux et non en possession de leurs propriétaires, alors qu’ils en ont besoin?

C’est tout simplement parce que les propriétaires ne savent pas où trouver leur carte, les informations données pour les  orienter n’étant pas toujours fiables. Si au début, le numéro 36223 leur permettait de retrouver aux endroits indiqués leurs cartes sans la moindre difficulté, tel n’est plus le cas. Avec les renseignements donnés par ce numéro, plusieurs personnes ont tenté de mettre la main sur la fameuse pièce d’identité.  En vain. Elles se sont donné le temps et le courage d’aller tenter leur chance en fouillant dans des lots.

Au lieu de menacer de soumettre les retardataires à quelque paiement que ce soit, les autorités seraient plutôt bien inspirées  de mieux organiser Le processus de distribution.

Cortèges de mariage à Bamako : les abus désormais sanctionnés

Balla Traore, chef de la délegation spéciale du District de Bamako

Dans un communiqué diffusé le 29 août dernier, le Président de la délégation spéciale de la Mairie du District de Bamako rappelle à la population que les célébrations de mariage sont des événements privés. «En conséquence, ils ne doivent en aucune façon constituer des entraves à la liberté de circuler et à la tranquillité des autres citoyens. Les cortèges de mariage sont désormais limités à six (06) véhicules. Tout contrevenant s’exposera aux sanctions pénales et/ou financières», précise le communiqué signé par Balla Traoré. Cette initiative de la Délégation spéciale de la Mairie du District fera-t-elle tâche d’huile dans les autres contrées du Mali? La Cour des droits de l’homme de Strasbourg :

“Il n’y a pas de droit au mariage homosexuel”

La Cour mondiale des droits de l’homme a statué à l’unanimité qu’il n’y avait pas de droit au mariage homosexuel. Les 47 juges des 47 pays du Conseil de l’Europe, membres de la Cour plénière de Strasbourg (le plus important tribunal des droits de l’homme au monde), ont publié une déclaration d’une grande pertinence, qui surprend par l’avancée de l’information et leur champ d’influence a été réduit au silence.

En fait, les 47 juges ont approuvé à l’unanimité la décision selon laquelle « il n’y a pas de droit au mariage homosexuel. L’expression était basée sur une variété de considérations philosophiques et anthropologiques fondées sur l’ordre naturel, le bon sens, les rapports scientifiques et, bien sûr, le droit positif. Dans cette dernière affaire, l’arrêt s’appuyait notamment sur l’article 12 de la Convention européenne des Droits de l’Homme. Cela correspond également aux décisions des traités concernant les droits de l’homme, en particulier les articles 17 de la loi P San José et 23 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Dans ces résolutions historiques, la Cour a statué que le concept de famille prend non seulement en compte « le concept traditionnel du mariage, c’est-à-dire l’union d’un homme et d’une femme », mais aussi que les gouvernements n’ont « aucune obligation d’ouvrir le mariage avec Personnes du même sexe”. Concernant le principe de non-discrimination, la Cour a également ajouté qu’il n’y a pas de discrimination puisque “les Etats ne peuvent réserver le mariage qu’aux couples hétérosexuels”.

Rassemblées par la Rédaction

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