Le Président de la République Ibrahim Boubacar Keita a initié une réunion de crise, dans l’après-midi du 14 novembre, pour réfléchir aux voies et moyens les plus appropriés en vue de contrer la propagation de la maladie à virus Ebola au Mali après un nouveau décès et de nouvelles contaminations.
La réunion s’est déroulée au Secrétariat Général de la Présidence de la République, en présence du Premier Ministre Moussa Mara, du Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique Ousmane Koné et du Ministre de l’Economie numérique, de l’Information et de la Communication Mahamadou Camara. On y notait aussi la participation du Représentant-Résident de l’OMS au Mali, Dr Ibrahim Socé Fall, du Secrétaire Général de la Présidence, du Directeur de Cabinet du Président de la République, des Conseillers Spéciaux à la Présidence de la République et plusieurs autres experts des questions de santé. Le Président de la République a demandé au Premier ministre de revoir sans complaisance l’ensemble du système mis en place dans le cadre de la prévention et de la lutte contre la maladie à virus Ebola, et de renforcer les contrôles et le cordon sanitaire aux différents postes frontaliers.
Le Mali renforce ses contrôles aux frontières
Le Mali a renforcé les contrôles sanitaires à ses frontières mais n’a pas l’intention de fermer celles-ci après l’arrivée de Guinée d’un homme atteint de la fièvre Ebola qui a infecté plusieurs personnes, parmi lesquelles un infirmier décédé de la maladie.
Le président Ibrahim Boubacar Keïta a par ailleurs demandé à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), aux services de santé maliens et aux pays voisins de mettre en place un mécanisme permanent d’échange d’informations sur la santé publique et l’hygiène.
Informations sur l’épidémie d’Ebola
Les médias à l’école de l’Unicef et de l’OMS
Une formation à l’endroit des médias maliens a été organisée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’entité onusienne travaillant pour le bien-être des enfants (Unicef), vendredi dernier à la direction nationale de la santé.
Plus d’une trentaine de journalistes ont pris part à cette formation qui avait pour principal but d’informer la presse sur la gestion de la communication durant l’épidémie à virus Ebola. Trois présentations ont été faites. Selon le chargé de la communication de l’OMS, la gestion des cacophonies en cette période est une nécessité afin d’éviter toute panique et des informations erronées à la population. « Les journalistes ne doivent pas relayer la rumeur parce que ces rumeurs ont sérieusement rendu difficile la gestion d’Ébola dans les pays affectés comme la Guinée Conakry, la Sierra Leone, le Liberia », a-t-il souligné.
Pour le représentant du ministre de la santé et de l’hygiène publique, les journalistes doivent informer le public que la maladie Ebola est une réalité au Mali. Quant au chargé de la communication de l’Unicef, il a invité les hommes de média à « s’impliquer dans la gestion de cette maladie pour la circonscrire le plus vite possible ». Rappelons que la maladie à virus Ebola est très contagieuse et se manifeste 2 à 21 jours après la contamination par les signes suivants : la forte fièvre, la fatigue, la nausée et vomissements, les diarrhées, les maux de tête, le manque d’appétit, les douleurs musculaires, le saignement du nez, entres autres.
So sorry to hear that. But it true Becky style, it has to be documented. There is simhteong to say about us older people who like to break our bones ..Don’t push yourself.
c est incroyable que nous ayons pense9 e0 la meame chose. cemnomt peut-on nous proposer une paix au Mali, des e9lections si on n e9claircit pas avant les raisons de la guerre? Quant e0 la population, j ai des reserves, je ne la condanme pas trop vite. Nos pays ne sont pas de9mocratique, et le peuple n a pas le priville8ge des armes comme aux Etats Unis Tu comprends pourquoi les ame9ricains tiennent e0 leur second ammendement? C est que nos dirigeants peuvent tre8s vite eatre nos tyrans,meame dans les meilleurs de9mocraties bel analyse!
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