Autourité Routière : Le DG Baba Moulaye sur le front de la sensibilisation

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Baba Moulaye

L’Autorité Routière qui porte l’investissement des projets d’entretien routiers n’entend plus demeurer en reste, en ce qui concerne la sensibilisation et l’éducation en direction des gros porteurs. Il s’est avéré que la surcharge est pour beaucoup dans la destruction rapide des routes au Mali, même si la qualité des réalisations aussi laisse très souvent à désirer. Ainsi, le Directeur Général de l’Autorité routière Baba Moulaye Haidara est désormais sur le front de la sensibilisation et de l’éducation pour le respect scrupuleux de la charge à l’essieu, objet du règlement 14 de l’UEMOA. L’appel pressant lancé à l’endroit des transporteurs, des usagers du pont de Diboli-Kayes, vise ainsi à éviter la surcharge des camions, qui est la cause de la dégradation constatée au niveau de nos routes. En outre, l’Autorité Routière à travers le ministère des Transports, ainsi que les partenaires sont à pieds d’œuvre pour réparer le corridor sud en passant par Mahina et Kenieba.

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Fonds pour la consolidation de la paix

Le comité de pilotage approuve de nouveaux projets 

Le Ministère des affaires étrangères et de la coopération internationale a abrité ce mercredi 5 juillet 2017, les travaux d’une session du comité de pilotage des Projets pour la consolidation de la paix (Projets PBF) au Mali. Cette session trimestrielle co-organisée par le Direction des Organisations Internationales du Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale et le Système des Nations Unies au Mali a enregistré la participation de l’Ambassadeur du Canada, les représentants de plusieurs départements ministériels dont la Jeunesse et la construction citoyenne, la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille ainsi que les représentants de la Société civile. Dans son intervention Mme Mbaranga GASARABWE s’est félicitée de la qualité du plaidoyer présenté par le Mali pour attirer l’attention des bailleurs en faveur d’une phase 2 des projets PBF avec à l’appui un document vidéo très édifiant. Elle s’est également réjouie de l’accompagnement constant du Canada et de l’avancée des projets de la phase 1 et de leurs  extensions (8 millions de dollars) dont le projet transfrontalier Mali-Burkina qui sera basé à Dori. Cette phase 1 (2014-2017) est dotée d’une enveloppe de 9 milliards de F CFA (17 millions de dollars) et a couvert les régions de Gao et de Tombouctou. Le Secrétaire général du Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale ; M. Oumar DAOU a salué le partenariat fructueux entre le Mali et l’Organisation des Nations Unies dans le cadre du retour de la Paix et du relèvement du pays.

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Immigration

Riyadh ne veut plus d’étranger en situation irrégulière

Par Note Circulaire N° 214333/4/8 du 26 mars 2017, le Gouvernement saoudien a informé les missions diplomatiques et consulaires accréditées auprès du Royaume d’Arabie Saoudite du déclenchement d’un programme national de poursuite des étrangers en situation irrégulière ainsi que ceux qui violent les lois du travail en vigueur et la sécurité des frontières. Cependant à compter de cette date, le Gouvernement saoudien a accordé à ceux qui seraient concernés, une période de grâce de 90 jours, afin qu’ils régularisent leur situation sans subir de conséquences. Aussi, à la faveur des congés de Ramadan, ce délai de grâce a été prolongé d’un mois à savoir au 26 juillet 2017, délai de rigueur. Au-delà de cette période, les autorités saoudiennes se réservent le droit d’interpeler emprisonner, punir et d’expulser tout étranger en situation irrégulière. La communauté malienne est l’un des plus importants contingents d’étrangers africains au sud du Sahara dans le Royaume et une grande partie de nos compatriotes se trouve en situation d’irrégularité et d’extrême précarité. L’Ambassade du Mali à Riyadh et le Consulat Général à Djeddah ont depuis l’annonce des nouvelles mesures, commencé à recevoir les sollicitations de nos compatriotes qui veulent profiter de la période de grâce pour retourner au pays.

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3 COMMENTAIRES

  1. Cette structure, c’est la désolation totale. Elle est à l’image des structures créées par les autorités de ce pays pour se servir des ressources publiques. Au lieu d’entreprendre des travaux garantissant le trafic sur l’axe Diboli -Kayes sur le pont endommagé, c’est des vieux conteneurs en fin de vie qui vont être utilisés comme support au pont servant de déviation. Et cela pour créer les conditions d’une nouvelle catastrophe.

  2. le DG de “l’Autorité routière: “..Il s’est avéré que la surcharge est pour beaucoup dans la destruction rapide des routes au Mali…” ET LA CONSTRUCTION BRICOLÉE ET MÉDIOCRE DE NOS ROUTES Par vos entreprises familiale et d’amis est pour combien dans la destruction immédiate des routes au Mali?
    Cette structure (“AUTORITÉ ROUTIÈRE” ) est l’une de plus opaques et incompétentes au Mali…personne ne sait la où s’en vont les 50 milliards qu’elle collecte chaque année au niveau du BNP plus l’argent des péages/pesages… regardez seulement l’état des routes a Bamako…rie des routes médiocres! Ces deux structures AGEROUTE ET L’AUTORITÉ ROUTIÈRE constituent un gros handicap pour le réinvestissement de l’argent public destiné a la construction et entretien des routes au Mali…. il faudrait vraiment éliminer ou restructurer ces deux en une entité plus efficace et transparente.
    Maintenant il vient faire semblant de nous parler de l’article 14 de l’UEMOA… sachant bien qu’il y a une difficulté extraordinaire pour son application au Mali pour ne pas dire c’est impossible…compte tenu d’énorme désordre qu’on a laissé fleurir dans le secteur du transport ( des milliers des camions 16m pour 80t ou des citernes de 60 000 L etc..). Une AUTORITÉ ROUTIÈRE doit elle s’asseoir sur ses fesses pendant plus de 10 ans sans rien faire pour empêcher la construction de véhicules hors-gabarit …pour juste venir d’un coup dire aux transporteurs de défaire leurs camions?
    J’AI PLEIN DE RECOMMANDATIONS a nos autorités SUR CE SUJET mais il ne faut que la soi-disant “Autorité Routière” vienne se moquer de maliens ici!

  3. le DG de “l’Autorité routière: “..Il s’est avéré que la surcharge est pour beaucoup dans la destruction rapide des routes au Mali…” ET LA CONSTRUCTION BRICOLÉE ET MÉDIOCRE DE NOS ROUTES Par vos entreprises familiale et d’amis est pour combien dans la destruction immédiate des routes au Mali?
    Cette structure (“AUTORITÉ ROUTIÈRE” ) est l’une de plus opaques et incompétentes au Mali…personne ne sait la où s’en vont les 50 milliards qu’elle collecte chaque année au niveau du BNP plus l’argent des péages/pesages… regardez seulement l’état des routes a Bamako…rie des routes médiocres! Ces deux structures AGEROUTE ET L’AUTORITÉ ROUTIÈRE constituent un gros handicap pour le réinvestissement de l’argent public destiné a la construction et entretien des routes au Mali…. il faudrait vraiment éliminer ou restructurer ces deux en une entité plus efficace et transparente.
    Maintenant il vient faire semblant de nous parler de l’article 14 de l’UEMOA… sachant bien qu’il y a une difficulté extraordinaire pour son application au Mali pour ne pas dire c’est impossible…compte tenu d’énorme désordre qu’on a laissé fleurir dans le secteur du transport ( des milliers des camions 16m pour 80t ou des citernes de 60 000 L etc..). Une AUTORITÉ ROUTIÈRE doit elle s’asseoir sur ses fesses pendant plus de 10 ans sans rien faire pour empêcher la construction de véhicules hors-gabarit …pour juste venir d’un coup dire aux transporteurs de défaire leurs camions?
    J’AI PLEIN DE RECOMMANDATIONS a nos autorités SUR CE SUJET mais il n e faut que le “Autorite Routière” vienne se moquer de maliens ici!

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