Au rythme de l’actualité de la semaine : Les piques de M. Soumaïla Cissé au président IBK

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Soumaïla Cissé (g) et Ibrahim Boubacar Keïta
Soumaïla Cissé (g) et Ibrahim Boubacar Keïta (d). © Vincent Fournier/J.A

La roue de l’histoire tourne : Dans une interview au journal hebdomadaire «Jeune Afrique», le président de l’Union pour République et le Démocratie (URD), candidat malheureux à l’élection présidentielle de juillet 2013 et député de l’opposition à l’Assemblée Nationale du Mali, M. Soumaïla Cissé a lancé des piques au président Ibrahim Boubacar Kéita (IBK). Des piques qui ont été relayées dans la presse malienne surtout dans l’édition hebdomadaire du journal «Les Echos» sous la plume d’un dogon résident à Washington, M. Ogopema Ouologuem, sous le titre «IBK au crible de Soumaïla Cissé : L’espoir assassiné ?».Voici une remarque importante du député Cissé : «Je trouve étonnant que le président ait nommé au poste de chef d’état-major particulier un officier connu pour avoir fait partie de la junte».

 

 

Nous rappelons l’honorable Soumaïla Cissé que lui et le président IBK sont issus du mouvement démocratique des années 1990 qui a renversé le général Moussa Traoré, putschiste de novembre 1968. L’ADEMA- Association, dont faisaient  partie le président IBK et Soumaïla Cissé, avait son aile civile et son aile militaire. Cette aile militaire, c’est celle nommée par Moussa Traoré, le groupe des «officiers félons».

 

 

Nous savons que parmi les syndicalistes et hommes politiques qui ont été à Koulouba pour demander à Moussa Traoré de démissionner, il n’y avait aucun militaire parmi eux. Nous savons aussi que Moussa Traoré avait indexé la Fondation «France liberté» de Danielle Mitterrand dans son renversement. Moussa Traoré avait bien dit que les rapports se trouvent à la sécurité d’Etat. Nous savons aussi que le jeune archéologue malien, M. Alpha Oumar Konaré, avait fait une visite en France en 1984 et qu’il a été interviewé par un journal français.

 

 

Dans cette interview, le jeune historien- archéologue Konaré critiquait ouvertement le coup d’Etat du lieutenant Moussa Traoré de 1968. Il avait bien précisé que : «ce coup  d’Etat n’avait pas sa raison d’être». Nous savons aussi que le jeune Konaré était à la tête des étudiants de l’Ecole normale supérieure (ENSUP) de Bamako qui avaient dénoncé le coup d’Etat du lieutenant Traoré. Nous savons que dix (10) ans après, le même Moussa Traoré, devenu général, a nommé le jeune Konaré dans son Gouvernement en qualité de ministre de la Jeunesse et des Sports.

 

 

Nous savons aussi que le 26 mars 1991, c’est un groupe de militaires, à la tête desquels le lieutenant-colonel Amadou Toumanai Touré, avait pénétré dans le Palais de Koulouba pour annoncer à Moussa Traoré son arrestation. Nous savons aussi que depuis mai 1981, les amis des «démocrates maliens et patriotes sincères» qui sont les socialistes français et à leur tête M. François Mitterrand sont au pouvoir. Nous savons aussi que les démocrates avaient refusé à Moussa Traoré, dans sa fierté, d’organiser son congrès extraordinaire de l’UDPM (Union démocratique du peuple malien) qui devait annoncer l’ouverture du multipartisme intégral.

 

 

Nous savons aussi que les démocrates maliens avaient multiplié les morts à Bamako pour discréditer Moussa Traoré aux yeux de l’opinion internationale. Nous savons aussi que les socialistes français avaient annulé une visite de Moussa Traoré en France. Pour sceller le sort politique de Moussa Traoré, M. Jacques Peltier, ministre français de la Coopération, avait annoncé 48 heures avant la chute de Moussa Traoré que «la France a coupé toute coopération de pointe avec Moussa Traoré».

 

 

La suite est connue. Moussa Traoré a été renversé. D’où viennent les ressources financières des démocrates qui ont permis de renverser Moussa Traoré? Les démocrates se sont installés au pouvoir  à la suite du coup d’Etat du 26 mars 1991, ils se taillent une constitution le 12 février 1992 où l’article 121 stipule : «Tout coup d’Etat ou putsch est un crime imprescriptible contre le peuple». Avec les démocrates, l’armée malienne a été réduite en lambeau et les armes ont été détruites. Les démocrates n’avaient pas besoin d’une armée. Il n’y a plus de guerre et c’est l’ère de la démocratie. Tout se passe par le dialogue et la démocratie.

 

 

A côté, le pays des démocrates s’appelle «REPUBLIQUE DU MALI». Nous n’avons jamais vu au monde une République sans armée nationale sauf celle des démocrates maliens. Parce que, pour parler d’armée, il faut parler d’hommes et de matériels. Toute armée doit évoluer avec les circonstances de l’époque sauf l’armée des démocrates. Mais ce que les démocrates doivent garder à l’esprit, Moussa Traoré a été putschiste en 1968 et quand un coup d’Etat l’a renversé en mars 1991, il a crié au scandale et il a traité François Mitterrand de «négrier».

 

 

En 1968, Moussa Traoré avait eu l’aval de la France pour son coup d’Etat.

En mars 1991, le lieutenant- colonel Amadou Toumani Touré avait eu aussi l’aval de la France.

Le coup d’Etat du 22 mars 2012, orchestré par la junte a été une surprise. La junte n’avait pas eu l’aval des maîtres de la France qui sont les USA. Voici le tort du général Yamoussa Camara. C’est son seul tort et c’est ce qui lui a coûté la prison. Grâce au coup d’Etat du 22 mars 2012, l’armée malienne est en restructuration et cette action, c’est l’œuvre du général Camara avec son équipe. Le général Camara est en prison avec la volonté des maîtres français qui nous ont retiré notre souveraineté à Kidal.

 

 

L’hommage de Mme Adam Ba Konaré au Professeur Abdoul Karim dit Diop

Le professeur Adam Ba Konaré a profité de cet hommage pour rompre le silence. Cet hommage a été lu à Markala. Ce n’est pas elle qui a lu le discours. Depuis la chute du président Kadhafi, personne ne l’a entendue parler. Elle n’a pas dit un mot pendant tout le règne de la junte à plus forte raison parler de son enfant emprisonné par la junte. Pourtant, au sein de la junte, il y a un certain commandant Konaré qui doit être aussi de la grande famille Konaré. Peut-être, si le président Konaré n’avait pas ouvert une promotion spéciale à l’EMIA où figure son enfant, il ne sera pas dans les griffes de cette junte qui n’est pas étrangère à leur fils.

 

 

De la même manière «où le renversement de ce dernier» (quand vous parlez de l’alternance démocratique avec ATT en 2002) à la suite d’une volte-face vertigineuse de l’histoire par une junte anonyme qui se donna le nom de Comité national de redressement de la démocratie et de la restauration de l’Etat (CNRDRE), c’est de la même manière, de la même volte-face qu’ont fait l’ADEMA-Association et le CNID-Association pour renverser Moussa Traoré. Ces deux associations lui avaient refusé qu’il organise son congrès extraordinaire.

 

 

Les putschistes de 1968 sont aussi arrivés par la même volte-face. Ils n’avaient pas tenu tête au président Modibo Keïta à la permanence du parti US-RDA. Mme le professeur, si les élections de 2002 n’étaient pas truquées, peut-être qu’on ne parlera jamais de la  junte du 22 mars 2012.C’est votre parrain ATT qui avait créé le MNA (Mouvement national de l’Azawad) comme les démocrates avaient créé l’ADEMA-Association et le CNID-Association.

 

 

Après la chute de Moussa Traoré, l’ADEMA a ajouté PASJ et le CNID a ajouté JIRI WATON. En fait, elles n’étaient que des partis politiques déguisés comme le MNA  qui n’est qu’un mouvement terroriste déguisé qui cherche l’indépendance de l’Azawad. Donc, il ne faut pas passer par quatre chemins, c’est ATT qui a créé le MNLA. C’est ça la vérité. La vérité finira toujours par rattraper le mensonge.

 

 

A l’honorable Soumaïla Cissé de continuer : «Au prétexte de la réconciliation, on absout des gens qui se sont compromis avec les djihadistes. Ils ont fait l’objet de mandats d’arrêts internationaux que le Gouvernement a levés, et ensuite, ils se sont retrouvés à l’Assemblée nationale sous les couleurs du parti au pouvoir. On ne leur demande aucun compte. C’est l’impunité la plus totale». C’est vraiment une remarque pertinente de l’honorable Cissé. Mais, l’honorable Cissé doit avoir en mémoire qu’après la rencontre d’IBK avec Intallah, le chef spirituel de ses rebelles, au cours de la campagne présidentielle de juillet 2013, c’était à son tour de le rencontrer. L’impunité existait depuis l’ère de leur maître à penser, son excellence Alpha Oumar Konaré, quand l’honorable Cissé occupait le poste de ministre de l’Economie et des Finances, et ensuite à la têted’un super ministère regroupant plus de quatre ministères avec les massacres du caporal-chef Ibrahim Ag Bahanga.

 

 

Le président Alpha l’a satisfait dans ses revendications : 50 millions de francs CFA et sa fraction a été érigée en mairie. Bahanga avait détruit le poste de gendarmerie de Tarkint.Il a tué des gendarmés, il en a blessé et il avait emporté des armes avec lui. Lorsque le président Alpha fêtait le 22 septembre 2000 à Kidal, Bahanga y était. C’est vrai, l’honorable Cissé, les assassins de nos soldats à Aguelhok circulent librement à Bamako et sur toute l’étendue du territoire.

 

 

Mais c’est ce que vous avez demandé dans votre campagne médiatique après votre délivrance des griffes de la junte à l’opinion internationale (ONU, CEDEAO, UA) qui était venue au secours du Mali, un gouvernement souverain, indépendant agressé par la France à travers ses secondes mains tapies à l’ombre au Mali et dans les rouages de l’administration. Vous avez été rencontré le MNLA à Nouakchott et cela après le massacre de nos soldats en janvier 2012, si nous avons bonne mémoire.

 

 

Le mandat d’arrêt dont vous parlez est nul et non avenu dans la mesure où les deux députés qui siégeaient à l’Assemblée nationale n’ont été l’objet d’aucune levée d’immunité avant le mandat d’arrêt. C’est le procureur qui devait demander la levée de leur immunité avant les mandats d’arrêts. L’impunité dont vous parlez, est une culture des démocrates.

 

 

Tout le monde connaît les limites de Bamako avant l’avènement des démocrates le 26 mars 1991. Aujourd’hui, Bamako est rentrée dans la région de Koulikoro, moins de 20 ans et tous les espaces verts et autres ont été spoliés par les maires avec leurs complices «démocrates». Quand des fonctionnaires qui émargent au budget national sont des milliardaires, c’est aussi de l’impunité.

 

 

Un coup d’Etat est égal à un coup d’Etat, qu’il soit militaire ou civil. Nous avons en mémoire comment IBK a été détrôné à la tête de l’ADEMA-PASJ en 2000 et comment il a été déstabilisé à l’intérieur par les moyens d l’Etat du Mali avec la combinaison de cinq ministères en un ministère, que vous avez dirigé. Nous avons aussi en mémoire les primaires de l’ADEMA-PASJ pour la présidentielle de 2002 entre vous et M. le ministre Soumaïlou Boubeye Maïga. Vous avez battu ce dernier avec des manières peu orthodoxes. Il y a aussi la morale en politique et dans chaque chose.

 

 

Il faut reconnaître que le Mali vient de loin avant l’arrivée d’IBK .Mais après six mois après son arrivée, il doit y avoir des signes palpables dans la situation de Kidal. Et si on n’arrête pas ceux qui ont massacré nos soldats à Aguelhok et Tessalit, si on revient à la réintégration des déserteurs de l’armée malienne et des forces de sécurité, qui ont eu à prendre les  armes contre leur pays, il vaut mieux aller chercher ATT à Dakar et ne plus parler de mandat d’arrêt contre lui au nom de la réconciliation nationale, il faut aussi réintégrer les 263 fonctionnaires illégalement admis à la fonction publique sous l’ancien régime. Pourquoi? Parce que la justice ne doit pas être sélective, elle être globale. C’est la raison pour laquelle nous demandons la libération pure et simple du général Yamoussa Camara, mis sous mandat de dépôt uniquement pour ses idées.

 

 

Le mensonge de la France au Mali

Tout ce que la France raconte sur le nord du Mali, concernant les frappes organisées contre les éléments d’AQMI, n’est en réalité que du pur mensonge. Les seuls bilans crédibles à nos yeux sont les bilans donnés par l’armée nationale du Mali. Tant que l’armée malienne n’est pas associée au combat contre les terroristes, tant qu’on ne donne pas champ libre à notre armée nationale de patrouiller librement sur notre territoire national pour assurer l’intégrité nationale et la sécurité des personnes et des biens, nous disons que tout le reste est du mensonge.

 

 

La chasse des miniers de Taoudéni par des hommes armés, la dernière frappe de l’opération Serval qui affirme tuer une dizaine de terroristes venant de la Libye dans la vallée de Tessalit, n’est rien d’autre qu’un mensonge de la France pour rester définitivement au Mali et réaliser son rêve d’exploitation des ressources minières du nord du Mali. Son projet est bien dans les cinq propositions de l’ancien Premier ministre du Mali, M. Mohamed Ag Hamani que nous avions écrit sous le titre «Ag Hamani blanchit la France dans son projet de l’OCRS». Pour que la France reste au nord du Mali et qu’elle puisse être la seule puissance à avoir les contrats d’exploitation des ressources minières, elle crée toutes les conditions pour y rester.

 

 

Le salut du président IBK

Le seul salut du président  IBK, c’est de dire non à la politique française au Mali, donc rentrer en conflit ouvert avec la France. Que le fils du président IBK soit député à l’Assemblée nationale n’est pas un problème. Que le beau-père de son fils soit le président de l’Assemblée nationale n’est pas le problème. Même si le président IBK nomme Mme Keïta Aminata Maïga Premier ministre du Mali n’est pas le problème. Mais là où il y a le problème et qui est inacceptable est que le président IBK soit toujours cramponné sur les mots suivants : «pas d’indépendance, pas d’autonomie pour le MNLA, c’est la ligne rouge à ne pas franchir» et que l’armée nationale du Mali reste dans une cage à Tessalit et à Kidal. Cela est inacceptable pour tout pays indépendant, il y a plus de 53 ans. La citation du président Saddam Hussein est toujours d’actualité : «La vie sans dignité n’a pas de sens».

 

 

Pendant six mois, le Mali n’a eu ni honneur, ni dignité pour recouvrer sa pleine souveraineté dans la région de Kidal qui fait partie intégrante de son territoire national. Nous rappelons au président IBK, qu’il est  un président plébiscité par le peuple malien avec un score de 77,62%. Il est élu par le peuple malien et non par la France. Le même peuple est là et donc il doit être à l’écoute de ce peuple.

 

 

Le président IBK doit avoir toujours en mémoire l’histoire du maréchal Pétain en France. Nous lui rappelons cette parabole du Saint Coran : «Ceux qui ont pris des protecteurs en dehors d’Allah ressemblent à l’araignée qui s’est donnée maison. Or la maison la plus fragile est celle de l’araignée. Si seulement ils savaient !» (Coran, sourate 29, verset 41). Le même Allahou Soubahanah Tala qu’il prononce à chaque occasion et qu’il avait prononcé pendant sa prestation de serment, c’est le même qui a saisi le président Mamadou Tandja et le président ATT. Le Seigneur de l’univers n’avait jamais dormi.

 

 

Le président IBK doit avoir à l’esprit que la France n’est venue pour arranger les problèmes du Mali mais elle est venue pour enfoncer d’avantage le Mali. La France n’est pas étrangère à tous les foyers de tension du monde actuel. C’est la France qui a cassé la Libye, la Syrie, la Centrafrique et actuellement elle est en Ukraine. Que les Maliens, dans leur intégralité et le monde entier, sachent que le danger actuel du monde, c’est la France. Elle (la France) vient de faire une épuration ethno-religieuse en Centrafrique.

 

 

La population musulmane qui était de 130.000 fidèles avant le début de l’opération «Sangaris» est passée maintenant à 900 fidèles. C’est ça la vraie image de la France, l’hypocrisie. Cette opération a été planifiée depuis belle lurette. Dans les rangs de l’opération Serval se trouvent les éléments du Mouvement national pour la Libération de l’Azawad (MNLA) et la France ne veut pas se débarrasser d’eux. La France cherche à travers son ministre des Droits de l’homme à revenir sur le Code de la famille et de l’enfant. Mais, le Mali appartient aux Maliens et non aux Français.

 

 

A Mme Sagara Bintou MAIGA

Cette dame demande des funérailles nationales pour les bérets rouges disparus. Nous demandons paix aux âmes de nos frères bérets rouges disparus. Mais, avant eux, il y a eu une centaine de soldats maliens morts à Aguelhok en janvier 2012. Ces soldats sont morts en mission commandée comme le lieutenant Konimba Kourouma est mort en mission commandée en 1964. Voici les hommes qui méritent des funérailles nationales comme le président Modibo Keïta, concepteur de l’armée malienne.

 

 

Les bérets rouges ne sont morts dans aucune mission commandée de la République du Mali. Au regard de la loi, ils sont putschistes comme les membres de la junte. Quand les hommes qui les ont poussés à agir seront au pouvoir, ils auront des funérailles nationales. Maintenant, Mme Sagara, réclamez justice et chacun a droit à la justice car la justice est un droit fondamental pour chaque individu. Dieu est avec la vérité. Il s’est interdit la transgression sur Lui-même et il a interdit de transgresser les autres.

 

 

Nous demandons aux Maliens de continuer à patienter mais d’être vigilants. La patience est de l’or. Mais la paix aussi est de l’or.

Que Dieu donne la bonne et la meilleure voie aux Maliens. Amine.

Yacouba ALIOU

 

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14 COMMENTAIRES

  1. Que de contradictions dans dans cet article?il est en outre tres touffu! Mr yacouba alou conseille la patience aux maliens en promettant que cela ira mieux pour le mali! Onvoit que yacouba ne vit pas au mali. Il connait bien lhistoire du mali de 1960 a2014,mais il est deconnecte de la realite et etonne pour quelquun qui vit aux usa. En effet,s’etant sans refugie aux usa,,pays democratique,il se declare supporteur des coups detat. Quelle mauvaise foi!! Yacouba alou aura du se taire au dessayer de faire de la demagoggie!!

  2. Et ça au moins je peux l’écrire?

    les opinions d’un aigri social! Trop de contradiction (du coq à l’âne). la personne qui a rédiger ce doc est débile, cinglé ou manque de bon sens. Il serait intéressant de connaitre ta capacité d’analyser. Espèce de putschiste que tu es!!! si tu veut rejoindre ton ami camara, il y’ a encore de la place dans la maison d’arrêt.

  3. Autan ne pas afficher certains articles sur votre site. Vous laissez couler les réactions qui renforcent votre politique de je ne sais quoi… Au fait pour qui bossez vous?

    Quelqu’un peut-il me dire le statu de ce site. Il appartient à qui? ET pour qui roulent ces agents?

  4. Maliweb n’est pas sérieux. Pour quelle raison vous me censurez pendant que des internautes de toutes acabits à s’adonnent au du n’importe quoi.

  5. Bel article. Nous avons besoin de ça de temps à autre. Nous remémorer de notre histoire et de ses grands acteurs. J’avoue que je suis impatiente de voir à quand notre Armée veillera sur Kidal et nos frères qui y résident. Reconnaissons que pour une armée qui a fait tant d’années hors jeux il Lui faut du temps (formation et discipline) pour être d’actualité. Puisse Allah bénir notre Patrie le Mali et son Peuple. Amine. Bravo à Soumaila pour sa maturité politique, et ce que nous attendons de lui et de son parti qu’ils soient l’oeil et l’oreille du peuple à l’assemblée et partout où nécessité se fera. Qu’il veille sur les intérêts du Mali comme le ferait n’importe quel parent pour son nouveau né. Puisse la paix et la bénédiction d’Allah touchées notre Mali. Amine

  6. Mon ami, l’heure n’est pas à la propagande nous connaissons presque tous l’histoire du Mali. Soyez d’accord avec moi que seuls les militaires ont mis en retard le développement de ce pays avec des coups d’état inutiles (1968, 1991, 2012).

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