‘’Dans une interview qu’il a accordée au journal le Monde Afrique, le Président Ibrahim Boubacar Kéïta a catégoriquement refusé de répondre à la question relative à une éventuelle candidature en 2018. Il a déclaré : « je ne vous le dirai pas. Si je décide de me présenter à nouveau, j’en réserverai la primeur aux Maliens. »’’
No comment !
Dans le Prétoire du 26 février 2018, Boubacar Sidibé écrit :
‘’Invité par les membres de son parti lors du congrès ordinaire tenu les 24 et 25 février 2018 à se porter candidat à l’élection présidentielle de juillet 2018, Dr Cheick Modibo Diarra dit oui sous réserve d’une possible alliance. C’était au Palais de la Culture Amadou Hampâté Bah.’’
Cheick Modibo Diarra ? Oh ! Celui là, on sait ce qu’il vaut.
Encore dans le Prétoire du 26 février 2018, encore Boubacar Sidibé écrit :
‘’Dr cheick Modibo Diarra n’a pas manqué de se prononcer sur les scrutins à venir. « Nous sommes d’avis de surseoir à la tenue des élections régionales d’avril et de reporter à une date ultérieur » a-t-il affirmé. Ce faisant, les autorités se consacreront aux préparatifs des élections générales, suggérera-t-il.’’
N’importe quoi !
Dans l’Indépendant du 26 février 2018, le confrère écrit :
‘’Dans le style direct qui lui appartient, l’ancien président de la République du Mali (1968-1991), le Général Moussa Traoré, est sorti de son long silence, jeudi 22 février dernier, pour une interview télé accordée au journal ‘’MONDE AFRIQUE’’. Visiblement peiné par la crise multidimensionnelle que connaît le Mali, il a donné son analyse de l’intervention française (Opération Serval) au nord, se montrant réservé sur l’empêchement fait aux FAMAs d’entrer dans Kidal. Il donne aussi sa lecture de l’influence grandissante des leaders musulmans dans le champ politique.’’
Vive la démocratie !
Dans le Pouce du 26 février 2018, Daouda Diankoumba écrit :
‘’L’Association des Femmes en Action pour leur Epanouissement (AFAE) a organisé un grand meeting de sensibilisation pour la paix, le vivre ensemble, le soutien à nos forces Armées et de sécurité du Mali et à l’appel à IBK d’être candidat en 2018, le 23 février 2018 dans la salle de Basket Ball du stade du 26 Mars. Le meeting était animé par la présidente de l’Association des Femmes en Action pour leur Epanouissement (AFAE) et la présidente du BN-UF-RPM Mme Diawara Aïssata Touré dite Lady. C’était en présence de plusieurs membres de l’Association des Femmes en Action Pour leur Epanouissement (AFAFE).’’
Cette ‘’association’’ de femmes aura du mal à s’épanouir en lisant votre texte.
Dans l’Info Matin du 26 février 2018, Mohamed D Diawara écrit :
‘’Sans préjudice des échanges actuels au sein de l’ensemble de la classe politique, notamment dans la Ruche, Soumeylou Boubèye Maïga, qui a été membre fondateur et vice-président de l’ADEMA-PASJ, se dit convaincu qu’au sein d’une Majorité présidentielle, il ne peut y avoir de projets concurrents, mais seulement des projets complémentaires. D’où, son appel à l’Alliance pour la démocratie au Mali à inscrire son action dans une démarche unitaire, de collégialité, de solidarité et de prise de conscience commune face aux enjeux majeurs qui interpellent tous les démocrates. C’était lors de sa rencontre, le vendredi après-midi, avec une bonne brochette des membres du Comité exécutif de l’ADEMA-PASJ, à son siège à Bamako-Coura.’’
No comment !
Toujours dans l’Info Matin du 26 février 2018, Mohamed D Diawara écrit :
‘’L’Ong « Transparency international » mondialement reconnu pour son rapport sur la corruption, a publié son classement annuel pour l’année 2017. Le Mali est classé 122ee mondial sur les 180 pays évalués. Dans le document, le Mali occupe la 29e place sur le continent africain avec 31 points. Contre 32 points en 2016 et 35 en 2015.’’
Avec ce genre d’écrit, vous serez très vite, jeune confrère, ‘’reconnu’’ nationalement.
Rassemblés par
Boubacar Sankaré