Amo : un outil vomi par certains travailleurs de l’enseignement supérieur

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Les travailleurs de l’enseignement supérieur disent «non» et réclament 11 mois d’arriérés, souligne notre confrère «Le Débat». Selon qui les travailleurs de l’enseignement supérieur considèrent  l’Assurance maladie obligatoire (Amo) comme un gaspillage et non une solution sanitaire. C’est pourquoi ils la rejettent totalement et demandent le remboursement intégral des 11 mois d’arriérés. L’information a été donnée par Mamadou Bah, Secrétaire aux revendications du Syndicat de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. A l’en croire, dans le cadre de la sensibilisation et de l’information sur l’Amo en vue de conquérir de nouveaux adhérents, la Caisse nationale d’assurance maladie (Canam) a organisé le samedi 9 août 2014 à la Maison des Aînés une journée d’échanges entre le ministre de la Solidarité, de l’Action humanitaire et de la Reconstruction du nord,  avec la hiérarchie militaire et les travailleurs de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Si la première rencontre entre le ministre de la Solidarité, de l’Action humanitaire et de la Reconstruction du nord et les militaires s’est déroulé dans un climat serein et de compréhension, tel n’a pas été le cas des enseignants. Juste après le discours d’appel du ministre à adhérer à l’Amo, les enseignants, par la voix de M. Bah, ont  purement et simplement décliné l’offre d’adhésion  à l’Amo.

 

Echange de billets de banque à la sauvette : un nouveau business pour certains fraudeurs

 

Des billets craquants. Voilà ce que certains hommes adorent pour attirer les femmes. Lesquelles d’ailleurs en raffolent pour les cérémonies de mariages et de baptêmes. Et le plus souvent, on fait recours aux échangeurs ambulants de billets de banque qui en profitent pour escroquer certains clients. Faites un petit tour au niveau de la Bdm et vous nous donnerez raison. Selon nos informations, certains «vendeurs de ces billets craquants» trouvent les moyens d’insérer de faux billets dans leurs échanges. Et là, malheur à celui qui les aura, puisqu’il aura à faire aux policiers, alors qu’il ne pourra pas retrouver ce truand. La prudence doit donc être de mise !

 

Rassemblées par Bruno LOMA

 

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