De plus en plus, de vieux administrateurs (retraités ou proches de la retraite) signent leur retour aux affaires. Ils sont promus à des postes juteux ou nommés dans les représentations diplomatiques au détriment de jeunes cadres contraints au chômage, après avoir été éjectés de leurs postes, pour divers motifs, notamment politiques.
Après le retour de vieux chevaux dans le gouvernement, voici les vieux chevaux de l’administration malienne.
Administration (2)
Ces cadres qui chôment…
Inquiétant ! De nombreux cadres (civils et militaires) sont aujourd’hui dans une situation intenable. Ils ont pour la plupart occupé des postes de responsabilités au sein de l’administration et de l’armée. Relevés de leur fonction, ils n’ont jamais été redéployés ou affectés… Certains d’entre eux se trouvent dans cette situation depuis deux ans. Combien sont-ils ? Nul ne sait. Cette situation va durer encore combien de temps ? En attendant, les autorités sont fortement interpellées sur le chômage de ces cadres dans un pays qui ne manque pas de compétences. Mais pourvu que ces compétences ne soient « tuées dans l’œuf » pour des raisons politiciennes et inavouées.
Route de Sébenicoro :
Des engins de la mort
La route de Sébénicoro devient aujourd’hui une voie très dangereuse pour les usagers. En effet, depuis la réfection de ce tronçon, les camions Ben, destinés au transport du sable, multiplient les accidents.
L’excès et l’état défectueux des véhicules en seraient les principales causes. Conséquences : de nombreux poteaux électriques ont été arrachés lors de ces multiples accidents. Et aujourd’hui, il est impérieux que les dispositions soient prises pour mettre un frein à une situation très dangereuse pour la vie des citoyens. Aussi, cette route qui vient d’être rénovée à coût de milliards subit déjà une dégradation très avancée.
Nord du Mali :
Allègement du dispositif français
Hier, les forces françaises déployées au nord du Mali ont procédé à un allègement de leur dispositif.
Selon des témoins, une quarantaine de véhicules blindés et du matériel ont quitté Sévaré pour Bamako.
Certaines sociétés privées ont été aussi sollicitées pour assurer le transport des soldats français, indique-t-on. Les autorités françaises avaient promis de ramener les effectifs de Serval à un millier d’hommes, d’ici la fin de cette année.
La Rédaction
mr le journaliste ses quoi poste juteux ah j ai oublier ses le poste ou on peut bien détourner l argent publique et aprés tout sa on se dit musulman
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