Accidents de la circulation routière: Les mêmes causes produisent toujours les mêmes méfaits

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Le nombre d’accidents de la circulation routière au Mali dépasse le seuil de la tolérance. L’an passé, les 6090 cas enregistrés, cela va s’en dire, proviennent, une fois de plus, de plusieurs facteurs, les mêmes que l’année précédente avec 8119 cas.

 

Malgré cette baisse timide, le constat effectué sur le facteur humain et matériel reste entier. Les mêmes causes produisent en continue les mêmes effets. C’est toujours le non respect du Code de la route, la surcharge, le mauvais état des routes, des véhicules et des engins. L’ignorance des usagers et le manque de fraternité routière représentent les principales causes des accidents au Mali.

 

Que faire ? Il y a lieu d’encourager l’Agence de la sécurité routière (Anaser), agent vecteur de cette faible baisse d’accidents de la route. En fait, il faut obligatoirement élargir son champ d’actions et lui allouer un budget de fonctionnement conséquent. Il y va de la sécurité de tous les usagers de la route.

 

Dans un autre registre, un plan de circulation digne d’une capitale et l’aménagement des routes secondaires constituent les priorités des autorités en charge de la mobilité urbaine pour la sécurisé. Une autre priorité de taille : combattre les ripoux de la Compagnie de la circulation routière.

 

   Mister NO

 

Le nombre d’accidents de la circulation routière au Mali dépasse le seuil de la tolérance. L’an passé, les 6090 cas enregistrés, cela va s’en dire, proviennent, une fois de plus, de plusieurs facteurs, les mêmes que l’année précédente avec 8119 cas.

 

Malgré cette baisse timide, le constat effectué sur le facteur humain et matériel reste entier. Les mêmes causes produisent en continue les mêmes effets. C’est toujours le non respect du Code de la route, la surcharge, le mauvais état des routes, des véhicules et des engins. L’ignorance des usagers et le manque de fraternité routière représentent les principales causes des accidents au Mali.

 

Que faire ? Il y a lieu d’encourager l’Agence de la sécurité routière (Anaser), agent vecteur de cette faible baisse d’accidents de la route. En fait, il faut obligatoirement élargir son champ d’actions et lui allouer un budget de fonctionnement conséquent. Il y va de la sécurité de tous les usagers de la route.

Dans un autre registre, un plan de circulation digne d’une capitale et l’aménagement des routes secondaires constituent les priorités des autorités en charge de la mobilité urbaine pour la sécurisé. Une autre priorité de taille : combattre les ripoux de la Compagnie de la circulation routière.           Mister NO

 

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Un bordel dans une catacombe

 

 

Le Centre islamique d’Hamdallaye, les immeubles Tomota et cette partie de l’Avenue Cheikh Zayed qui va de l’Imacy au rond-point Eléphant, couvrent-t-ils la moitié de la partie pleine d’un cimetière ? Tout porte à le croire.

 

Y’a-t-il un mal à rouler, mener des activés commerciales ou religieuses sur des tombes ? La question se situe ailleurs. Le parc qui jouxte le Centre islamique d’Hamdallaye abrite l’autre moitié de la partie pleine du nécropole profané depuis des lurettes. Là-bas, les sépulcres, les mausolées vernis d’urines, côtoient des latrines de fortune pestilentielles.

 

Dans ce no man’s land savamment entretenu par les mécaniciens, les menuisiers, les gargotières, les vendeurs de bois, de dibisokho, de matelas, de palissades, de meubles, d’objets d’art, de yougou yougou, d’eau, de fruits, etc., une odeur de chou rancie, mêlée à celles du chanvre indien, des cacas, des urines entre autres senteurs nauséabondes, parfume un bordel indescriptible. La prostitution s’y exerce in petto, même le jour, dans les cabanons de fortune où, l’alcool coule à flots. Les ordures traînent partout à longueur d’année. Pendant l’hivernage, les eaux de pluies deviennent maître des lieux. Récemment, le parc à bois avait été réduit en cendres.

 

Dans ce ghetto, personne ne respecte les morts. De surcroît, les autorités encouragent ces profanateurs de tombes pour n’avoir rien tenté. Trop ! C’est trop ! Affaire à suivre…

 M. NO

 

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UN appuie la police

 

Depuis son arrivée, la force de la Mission des Nations au Mali (Minusma) ne passe pas inaperçue à travers Bamako. Outre les positions qu’elle défend, avec bec et ongles, au Nord du Mali, elle abat un travail titanesque à Bamako.

 

En matière de police, elle est omniprésente dans tous les commissariats de la capitale où, elle renforce un dispositif sécuritaire défaillant faute de moyen matériel et un déficit criarde de personnel.

 

Pour parer au plus pressé, chaque commissariat reçoit régulièrement une épique dotée d’un pick-up du label UN (United nations), muni d’un As 52 et pas moins de six hommes armés jusqu’aux dents, gilet pare-balles en bandoulière.

 

Quelque part, la Minusma dévoile une police malienne semblable à une coquille vide. C’est le moment -ou jamais- de profiter du soutien des Nations unies pour rebâtir une police moderne à la hauteur de sa mission avant le départ des UN.

 

Bof ! IBK entend bien. Il parle trop. Mais, il ne fait rien !

La fête post investiture à des limites au moment où, le pays est maintenant sérieusement en danger.                               

M. N.

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