3èmes Journées nationales de l'information et de la communication : La seconde mort de Dieudonné Alpha A Sow

0

Dieudonné Alpha Amadou Sow a dû se retourner dans sa tombe que ses collaborateurs de si longue date n’aient pas mis du temps à l’oublier, comme ils viennent de le prouver à la faveur de ce premier grand rendez-vous de la presse, à savoir les 3èmes Journées nationales de l’information et de la communication. Pas une minute de silence en la mémoire du ”Ségal”! S’il n’avait tiré sa révérence – pas plus tard qu’en juin dernier – il est évident qu’il serait aujourd’hui aux premières loges. Tout comme il a été l’un des artisans des 1ères journées en 1991 et des 2èmes en 1996, alors qu’il était conseiller technique au ministère de la Culture et de la communication.

Quand les grands commis de l’Etat commencent à être oubliés à la toute première occasion par leurs collaborateurs !

Un député français donne raison à ATT

”Les problèmes de sécurité, il y en a partout ”

Bravant les consignes des autorités françaises, le député de Seine-Saint-Denis et ancien maire de Montreuil, Jean Pierre Brard, s’est rendu ce 22 décembre dans la ville de Tombouctou. ” Je suis avec une délégation de parlementaires français qui eux, sont restés à Bamako, à cause des pressions subies pour ne pas venir à Tombouctou. Moi, j’ai dit non, je vais à Tombouctou, pour apporter mon soutien au Mali, au moment où il connaît quelques difficultés dans le nord", a-t-il déclaré à l’AFP. Toujours selon l’Afp, il a affirmé que  l’Elysée, la présidence de l’Assemblée nationale française et le quai d’Orsay avaient exercé des pressions en ce sens sur les députés français du groupe d’amitié entre la France et le Mali, dont il est vice-président, actuellement en visite dans notre pays. ”Ce n’est pas le moment d’abandonner le Mali. Les problèmes de sécurité, il y en a partout," a-t-il conclu le député Jean Pierre Brard. 

Persécuté dans son pays

Un albinos malien trouve refuge en Espagne ?

Abdoulaye Coulibaly est son nom. Il est albinos. De nationalité malienne, il vient de trouver refuge en Espagne. Persécuté dans son pays comme il l’a fait croire aux autorités espagnoles qui lui ont facilement accordé l’asile ! C’est la première fois qu’un albinos, de surcroît malien, se réfugie en Europe en invoquant de telles raisons. Et pourtant de plus en plus, les albinos sont traités avec beaucoup d’égard dans notre pays, surtout avec la création de la Fondation Salif Kéïta.

La rédaction

Commentaires via Facebook :