Vie de la Nation : la fuite en avant comme mode de gouvernance au Mali

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Marche républicaine à Paris contre le Terrorisme / IBK : « Nous avons été convié, accueilli, considéré à hauteur de ce qu’est notre pays, le Grand Mali »
Le Président IBK avec le nouveau premier ministre, hier à l’aéroport

«Gouverner, c’est prévoir» dit-on. Gouverner, c’est aussi s’assumer devant les situations les plus difficiles ; c’est endosser les responsabilités quand on prend des décisions. Tel ne semble pas être le cas au Mali.

En effet, dans l’une des affaires qui défrayent la chronique au Mali, dite des engrais frelatés, personne ne veut s’assumer, alors qu’on sait bien que de hautes personnalités sont à l’origine. Et cette fameuse phrase «Qui a donné donc l’ordre de…» ! Une fuite en avant prônée par nos gouvernants.

On se rappelle encore le «cas Kidal». «Il faut impérativement reprendre Kidal quoi qu’il en coûte. C’est une question de souveraineté nationale. Il faut laver l’humiliation et redonner espoir à tous les Malines qui avaient cru un moment que notre armée n’était pas prête à rétablir l’intégrité du territoire national». Telle était la devise de nos autorités avant l’offensive lancée par notre armée nationale pour la récupération définitive de la région de Kidal aux mains des apatrides armés du Mnla et de leurs acolytes. Mais, au finish, une défaite cuisante. Et depuis lors, personne ne veut s’assumer, comme ce fut le cas sous les généraux Moussa Traoré et Amadou Toumani Touré (ATT).

Mais qui a donc donné l’ordre d’attaquer ? Ce qui est incompréhensible dans cette histoire, c’est comment un groupe de militaires peuvent décider d’eux d’attaquer ces rebelles lourdement armés, sans l’aval de nos plus hautes autorités, notamment du président de la République et du Premier ministre. D’autant que le président de la République est le chef suprême des Armées et que selon l’article 53, titre IV de la Constitution malienne, c’est «le gouvernement (qui) détermine et conduit la politique de la Nation et dispose de l’administration et de la force armée». Et l’article 55 du même titre stipule : «Le Premier ministre est le Chef du gouvernement, à ce titre, il dirige et coordonne l’action gouvernementale. Il assure l’exécution des lois. Sous réserve des dispositions de l’article 46, il exerce le pouvoir réglementaire. Il est responsable de l’exécution de la défense nationale…». Sans commentaire !

Qui a donné l’ordre d’attaquer ? Cette question rappelle tristement les événements de 1991 sous le général-dictateur Moussa Traoré, après les massacres des Maliens, notamment des femmes marchant nues et des enfants. Il avait dit qu’il «n’avait pas donné l’ordre aux militaires de tirer». Et ATT, quant à lui, par rapport à cette même crise du Nord qui l’a éclaboussé, particulièrement au drame d’Aguel Hoc, déclarait qu’il n’était pas responsable. Bien dit. Mais quand il était interpellé sur des problèmes sociaux, il affirmait : «Je ne suis pas ministre de… de… pour résoudre ce problème…».

Dans quelle République sommes-nous alors ? Une République où on privilège la fuite en avant et où personne ne veut s’assumer ? Une République où personne ne veut aller au charbon ? Une République dans laquelle on ne s’assume pas ? Une République dans laquelle, comme on le dit, chacun couvre sa tête quand ça chauffe et cherche un bouc émissaire ? Non, il faut que ça change et cela doit changer, car notre survie en dépend.

Bruno E. LOMA

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82 COMMENTAIRES

  1. “Dans quelle République sommes-nous alors ? Une République où on privilège la fuite en avant et où personne ne veut s’assumer ? Une République où personne ne veut aller au charbon ? Une République dans laquelle on ne s’assume pas ? ”

    Nous sommes tout simplement dans une république, où le seul et unique but du président consiste à s’offrir 5 ans d’honneurs, de pouvoir, et d’enrichissement avec LE MOINS POSSIBLE DE SOUCIS afin de “refiler le bébé” le moment venu au suivant, et… qu’il se débrouille lui-même à son tour à tenir 5 ans à se la couler douce avec LE MOINS POSSIBLE DE SOUCIS pour à son tour “refiler le bébé” à un autre qui, etc etc etc etc…

    De toutes façons, même “SI” ibk avait eu la volonté de traiter les vrais problèmes du Mali et des Maliens, ce vieux nullard dépassé n’aurait ni le niveau ni l’envergure!

    On a élu un vulgaire acheteur de Boeing-dresseur-d’index, et ON A aujourd’hui un vulgaire “acheteur de Boeing-dresseur-d’index”! 😳 😳 😳 😳

    Malheureusement, c’est un PRESIDENT dont le Mali avait besoin… 😥 😥 😥

    • Nous sommes dans une “République des camarades” où tout le monde veut réussir très vite et dans la facilité:-devenir ce petit millionaire ou milliardaire à la vitesse de la lumière- et où chacun a soif de la femme et faim de la gloire et du pouvoir.
      Raison pour laquelle l’Etat a failli.
      Nous faisons face à une défaite de l’Intelligence et du caractère.

  2. Je juge que la gouvernance des 2 ans passés résulte à bilan très positif, parce que lentement et surement, commençant par la base étape par étape IBK mène un travail très remarquable. Les détracteurs essayent de tromper la conscience et l’opinion publique en leur faveur dans le seul but de nuire au régime en place.

  3. Ahh les journalistes maliens, je me demande si vous êtes bien renseigné sur les faits et les réalités de votre pays. Hum j’avais même oublié que Bruno E. LOMA était un étranger. Renseigne avant de publier tes articles

  4. La nation à besoin de nous autrement, elle besoin qu’on s’unisses. Il faut répondre à cet appelle de la nation avant qu’il ne soit trop tard.

  5. Le Mali n’a pas eu un président plus déterminé, plus responsable, plus optimiste, plus disponible et dévoué qu’Ibrahim Boubacar KeÏta, même dans l’avenir il sera difficile d’en trouver comme lui. Par toutes ses potentialités, son n’expérience et son bon sens de patriotisme, il est au four et au moulin, il se donne corps et âme pour ressortir notre patrie de cette crise existentielle et multidimensionnelle

  6. IBK n’a trahi personne au contraire. Il gère de plus en plus mieux la situation. La population doit savoir que notre vient d’une crise qui à affaiblie toute ses activité interne comme externe. Le président IBK a besoin d’une suffisante de temps pour sortie le pays de cette crise.

  7. M. le journaliste, pour l’instant personne ne peut s’assumer dans l’affaire dite des engrais frelatés. Car jusqu’à preuve de contraire rien n’a été prouvé dans cette affaire. La fuite n’est pas en avant comme mode de gouvernance au Mali. Ce journaliste en sait absolumenet ce qu’il dit. 😆 😆

  8. Le temps n’est pas de se poser des question sur celui qui a fait quoi pour quoi?
    On se veut un Etat qui s’est réconcilier. Il faut qu’on arrête des questionnement idiote…

  9. Tu as raison, ce journaliste veut seulement porter atteinte à la crédibilité du régime en place. Le peuple n’a pas besoin de cela. Alors faite preuve de maturité et de professionnalisme.

  10. Le mode de gouvernance durant ces deux fait par d’IBK est irréprochable, car le Mali à connus son avancer sur tous les plans, à savoir sur le plan socioéconomique, culturel, politique, juridique, bref un Mali est en train de bâtir. Tous les Maliens doivent se donner la main pour une paix durable.

  11. Tu as raison, ce journaliste veut seulement porter atteinte à la crédibilité du régime en place. Le peuple n’a pas besoin de cela. Alors faite preuve de maturité et de professionnalisme.

  12. VIVE LE PRÉSIDENT IBK
    VIVE LA PAIX ET LA RÉCONCILIATION
    VIVE LE PATRIOTISME
    VIVE UN MALI UN ET INDIVISIBLE
    VIVE UN MALI UNI
    ABAS LES DÉTRACTEURS.

  13. C’est faux et archi faux, cet article ne raconte que des balivernes. C’est un article rédigé dans le seul but de porter atteinte au régime en place.

  14. Il faiut voir les bonnes côtés des choses. Le MALI est en marche envers le bon sens.
    Il n’est pas facile de diriger un pays, surtout ce pays qui vient de sortir de crise…
    Il est nécessaire de soutenir le président.

  15. La population Malienne est consciente pour tout acte faite par le président de la république et son gouvernement. Alors monsieur le journaliste, sachez réellement qu’IBK est un homme de parole digne et responsable car toutes les promesses qu’il a tenu avant d’arriver au pouvoir ont été mise en épreuves. Je vous fais une brève démonstration de cela, pour te montrer qu’IBK est la solution à nos problèmes. Un pays comme le Mali a besoin d’un dirigeant comme IBK.

  16. S’il vous plait faite preuve de responsabilité et de maturité. Le Président de la République est plus que conscient de tous les maux dont traverse le pays. Depuis la veille de son n’investiture il a engagé une lutte farouche contre cette crise existentielle et multidimensionnelle.

  17. Monsieur le journaliste, tous ceux ce vous disent dans vos articles sont vrai, car c’est grâce à la signature de l’accord de paix et la réconciliation du 20 juin dernier permet au Mali de tourner la page de 20 ans de corruption, de vol, du chômage, de détournement du dernier publique. C’est grâce à la signature de l’accord que les bailleurs de fond ont commencés à faire face au Mali.

  18. Mais aussi, nous sommes dans une république dans laquelle des journalistes comme toi acceptent des petites sommes d’argent pour fondre le pays dans des désordre et le cahot…
    Honte à des journalistes pareils, qui pensent plus à l’Etat de leurs poches que de servir la nation comme ça se doit.

  19. Je ne prends pas partie pour IBK, mais depuis son arriver le pays commence légèrement à se développer, délicatement mais assurément, il est en train de redresser le pays. Il est vraiment l’homme de la situation soyons honnête. Il peut gérer le Mali comme il se doit, il a la compétence nécessaire. Sa politique de gouvernance reste la meilleur mode gérance approprié à notre pays.

  20. «Pour sauver le Mali, les Maliens doivent mettre de côté leurs différences politiques, religieuses, ethniques. Le Mali n’a qu’un seul drapeau, une seule armée, un seul territoire. Défendons le Mali. Soutenons le président de la République et son gouvernement contre les « ennemis » du Mali ».

  21. Les vrais ennemis du Mali sont eux qui critiquent le président de la république et son gouvernement. Donnons nous la main rien ne vaut que la paix.

  22. Affaire ‘’ air cocaïne ’’ : ATT dans de sales draps
    L’Enquêteur
    Parce que, vouloir instaurer une justice digne de ce nom dans ce pays sans les éclairages de l’ex Président ATT sur ces affaires, c’est organiser un gigantesque cirque pour distraire les maliens. La conséquence immédiate la plus grave si cette histoire n’est pas tirée au clair, c’est qu’aucun pays sérieux ne prendra le Mali au sérieux.
    Le Mali d’ATT aurait croulé sou le poids de la cocaïne. Un cartel de la drogue nommé le Mali. L’auteur principal de la crise politique et sécuritaire majeure au Mali s’appelle Amadou Toumani Touré, alias ATT. C’est la cupidité de ce général de l’armée malienne, actuellement en fuite au Sénégal, qui est à la base de tous nos malheurs: commerce d’otages, trafic de drogue, complicité avec les groupes armés, corruption, sont, entre autres, les éléments déclencheurs de l’effondrement de l’Etat.
    A force de jouer avec la République, ATT a fait du Mali la risée du monde. Ce politicien de la vingt-cinquième heure a contribué à l’enrichissement illicite de nombreux acteurs actuels des milieux économico-financiers maliens, avec l’argent de la drogue. Faut-il procéder à leur dépollution systématique par un nettoyage général avec le balai de la justice, ou suffit-il simplement de faire recours au recyclage à travers un blanchiement fastidieux mais légal des ressources incriminées ? That is the question ! Dans tous les cas, l’Etat ne peut pas se soustraire à cette responsabilité managériale, s’il veut promouvoir la bonne gouvernance et lutter contre les crimes organisés et la délinquance financière. L’heure du bilan a sonné et on ose attendre de la justice que lumière soit faite et toutes les responsabilités situées.
    Avec un système d’oligarchie bien huilé et tentaculaire, le Président ATT était parvenu à mettre tous les acteurs politiques, la hiérarchie militaire, les cadres de l’administration et une grande partie des médias maliens dans son réseau nébuleux. C’est la raison de la levée de boucliers instantanée depuis que l’Etat a brandi l’éventualité du jugement d’ATT et de son clan. Pour sauver leurs têtes et protèger leur mentor contre le sabre de la justice malienne, ses inconditionnels n’ont pas lésiné sur les moyens pour distraire l’Etat. Ainsi, le clan des délinquants à col blanc se sentant menacé par le système IBK, qui fait de la lutte contre la corruption son cheval de bataille, a mis en branle des campagnes médiatiques très agressives contre le nouveau régime et ses dirigeants. Cette communication à outrance, adossée sur une stratégie bien pensée de victimisation, avait bien fonctionné jusqu’à un passé récent, mais elle a fini par perdre toute sa pertinence, du fait d’un phénomène normal de saturation. Ayant oublié de s’inscrire dans une dynamique temporelle bien maîtrisée, par incompétence ou sous l’effet de la peur, les animateurs de cette communication tout azimut ont fini par produire de la pollution médiatique qui entraîne immédiatement l’effet pervers d’un rejet instinctif et massif des argumentaires répétitifs de la part de la cible; représentée ici par l’opinion publique.
    Avec son système extrêmement pervers, ATT est parvenu à dribbler tout le monde avant de prendre la poudre d’escampette sous la furie de sa propre troupe trahie.
    Révelations: « Ami des voleurs et des victimes »
    En novembre 2009, lors d’une rencontre avec le commandant de l’Africom à Alger, le général Ward, le Président algérien, Abdelaziz Bouteflika, avait qualifié le Président ATT d’‘’ être l’ami des voleurs et des victimes en même temps’’
    Selon un document confidentiel, en plus du business juteux des otages, c’est dans le domaine du trafic de drogue que des relations étroites se sont tissées entre représentants de l’appareil de l’Etat, trafiquants et groupes armés.
    Pour preuve, ce document top secret révèle qu’en 2007, un gang de Touaregs convoyant une cargaison de cocaïne vers l’Egypte ou le Soudan, via le Maroc, s’était fait saisir la marchandise par une bande de la tribu arabe des Bérabich, pendant sa traversée du territoire mauritanien. Alors que l’affaire risquait de dégénérer en affrontements tribaux, un commandant de la SE de l’époque a joué le rôle d’intermédiaire entre les deux clans; obtenant que les Touaregs paient 30 millions de dinars algériens aux Bérabich pour récupérer leur cargaison. Selon la même source, le commandant en question serait intervenu sur instruction expresse du Directeur général de la SE.
    C’est en 2009, avec l’affaire ‘’Air Cocaïne’’ que la preuve de l’implication de l’ancien chef de l’Etat, ATT, dans le trafic de drogue, a été établie. Pour preuve, entre novembre 2009 et février 2010, au moins quatre atterrissages en territoire malien, d’avions bourrés de cocaïne, ont été autorisés par Koulouba. Le cas le plus médiatisé fut le Boeing 727 d’Air Cocaïne, calciné à Tarkint, au nord de Gao, après qu’on l’ait débarrassé de son contenu. Selon ce rapport accablant, en novembre 2009, c’est le maire de Tarkint, Baba Ould Cheick, les officiels de Gao, dont le maire Sadou Diallo, étaient présents pour accueillir les quelques tonnes de cocaïne qui furent toutes déchargées avant qu’on les fit prendre une destination inconnue. Ce Baba Ould Cheick aurait également été présent lors de l’atterrissage d’un avion cargo sur la piste de Mema, près de la localité de kita, à 76 km de Tombouctou, le 25 janvier 2010. Plusieurs tonnes de cocaïne ont été déchargées et il a fallu quatre rotations de six véhicules 4×4 pour transférer la drogue en un lieu non déterminé. Les véhicules auraient été escortés par des hommes d’AQMI lourdement armés. Cet émissaire d’ATT, Baba Ould, a accueilli un autre appareil à Ain In Esseri, prés de Tinzaoutin, le 9 février 2010. Mais le hic est que de tels atterrissages se seraient produits également au sud et à l’ouest du pays. En témoigne cet avion qui a déchargé, le 6 février, 4 tonnes de cocaïne prés de Kayes, en présence de plusieurs responsables locaux et de militaires basés à Nampala; ces derniers ayant même balisé la piste. Rien n’indique dans le document que ces commis de l’Etat étaient mis au parfum du contenu de l’appareil dont le lieu et les conditions d’atterrissage étaient, quand-même, plus que suspects.
    L’acte qui confirme que l’ancien président ATT était un narcotrafiquant de classe mondiale fut sa volonté de faire disparaître les traces du Boeing incendié de Tarkint. Selon ce document, la SE (Sécurité d’Etat) a bouclé la zone pendant trois semaines, après la découverte de l’épave, empêchant l’autorité nationale de l’aviation civile (ANAC) d’y accéder et interdisant à la brigade des stupéfiants de la police de procéder à une enquête. Une affaire qui en dit long sur les pratiques criminelles qui avaient cours au sommet de l’Etat. Comme si cela ne suffisait pas, Baba Ould allait encore faire parler de lui peu après, cette fois en tant qu’émissaire d’ATT auprès d’AQMI, afin de faire libérer un otage français, du nom de Pierre Camatte, suite à un chantage de déballage que le Président Sarkozy faisait peser sur les autorités maliennes. Le document n’informe pas sur le niveau d’information de Sarkozy par rapport à ces activités criminelles, encore moins s’il avait ou pas de quelconques intérêts directs ou indirects sur ce trafic de drogue de la dimension du cartel de Medellin.
    La plupart des suspects arrêtés ont été libérés sur ordre d’ATT; le cas de Mohamed Ould Awainatt, un narcotrafiquant de Gao, en est une parfaite illustration.
    Coopération entre l’Exécutif et le judiciaire: Revenir très vite à l’orthodoxie
    Ces quelques lignes sont des preuves tangibles de l’implication du régime d’ATT dans le trafic de drogue. Car, non seulement Amadou Toumani Touré était au courant, mais il prenait sa part. La conséquence la plus dangereuse de cette pratique criminelle réside dans le fait qu’aujourd’hui, ATT est parti, mais rares sont les officiers supérieurs de l’armée, les hommes politiques et les operateurs économiques actifs pendant cette période charnière, qui ne furent impliqués dans ce business criminel, tout en continuant aujourd’hui d’animer les activités économiques et politiques sur la scène nationale malienne. Nos enquêtes qui seront bientôt publiées, ont révélé que les secteurs des hydrocarbures, des infrastructures, du bâtiment, de l’enseignement privé et du transport routier sont les plus affectés par cette large et profonde contamination par le virus de la drogue.
    A la place d’une confrontation nécessairement nocive et contreproductive pour la République, préjudiciable et dangereuse pour la nation, une coopération entre les pouvoirs exécutif et judiciaire serait très utile et constructive pour purger de l’économie nationale les toxines que l’argent sale lui a inoculées et qui continuent de compromettre son dynamisme et sa bonne santé. A moins que la Justice ne décide du caractère licite de telles ressources financières à la suite d’une conduite jusqu’à terme de procédures régulières. La nation pourra en jouir de manière licite à travers le transfert légal d’une bonne partie de ces biens dans le patrimoine de l’Etat. Pour dire que, pour la sécurité des maliens, un terme doit être mis aux bisbilles récurrentes entre la chancellerie et le parquet, qui desservent aussi bien la République que le peuple.
    Parce que, vouloir instaurer une justice digne de ce nom dans ce pays sans les éclairages du Président ATT sur ces affaires, c’est organiser un gigantesque cirque pour distraire les maliens. La conséquence immédiate la plus grave si cette histoire n’est pas tirée au clair, c’est qu’aucun pays sérieux ne prendra le Mali au sérieux.
    Le Président de la République, Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, ainsi que tous les magistrats sont ici interpellés par rapport à la gravité de telles informations.
    A.B.D
    Source: L’Enquêteur du 10 mar 2014
    http://www.tamoudre.org/affaire-air-cocaine-att-dans-de-sales-draps/geostrategie/terrorisme-geostrategie/

  23. Pauvre scientifique, si ton père était comme IBK, il allait être le président de la république, tout le monde sait que la population Malienne est avec lui avec plus de 77% , et jusqu’a présent nous sommes avec lui.

  24. Restons pessimiste sur le cas du Mali, Il n’y a pas un régime qui ne connais pas des temps difficiles, mais on doit garder la patience.
    Le Mali sera un jour notre volonté à nous tous.

  25. Honte à des journalistes malhonnêtes qui se disent maliens et ensuite utiliser les mêmes diffamations que les ennemis du Mali utilisent contre nous. Affaire TOMY qu’est ce que tu peux raconter comme concret monsieur le journaliste ❓ ❓ ❓

  26. Il faut avoir toujours eu confiance au régime en place, car c’est grâce a IBK que le Mali a connu une bruyante civilisation et une bruyante évolution sur tous les plans.

  27. Seuls les ignorants, les inconscients, les opposants mal intentionnés, les apatrides, les détracteurs, les corrupteurs et corrompus se permettent de critiquer IBK et son régime. Parce qu’ils ne veulent pas voir le pays avancer. Les patriotes honnêtes, les dignes fils de ce pays ne critiquent pas. Ils préfèrent accompagnés, soutenir, proposer des idées différentes et plus avantageux et plus crédibles pour le pays.

  28. Tête de mort sculptée dans un calcul bilieux, misérable petit vomi de bite, face d’étron, branlomane végétatif, face de pet, tétard, tête de bite, éjaculat précoce, foirure de capote, niqueur de mère, enculeur de porcs,…Voilà ce que tu es Bruno E. LOMA

  29. Franchement je vous en prie Mr le journaliste, cet article ne vous ressemble pas et n’a pas de sens aussi. Humblement je pense que nous devrons saluer ce geste et soutenir d’avantage le gouvernement dans ce processus de Paix véritable.

  30. Kikikikikikikikikikikikikikkikkikikiki merci Jean de la FONTAINE pour cette récitation qu’on attend en longueur de la journée.

  31. Il faut qu’on se donne la main pour bâtir un Etat fort et crédible, le bonheur du Mali dépend d’IBK car il fait tout pour que son pays ne soit pas tomber a la main des individus mal intentionnés.

  32. Il faut avoir confiance au gouvernement, le Mali une justice équitable. Laissons les accusations de côté pour faire ce qui est de nos devoir pour un avancement meilleur de la nation. Personne ne peut prétendre une situation plus bonne que ces conditions dans lesquelles le gouvernement emballe sa population.

  33. Laissons ATT, car c’est un vrai bandit.

    Affaire ‘’ air cocaïne ’’ : ATT dans de sales draps
    L’Enquêteur
    Parce que, vouloir instaurer une justice digne de ce nom dans ce pays sans les éclairages de l’ex Président ATT sur ces affaires, c’est organiser un gigantesque cirque pour distraire les maliens. La conséquence immédiate la plus grave si cette histoire n’est pas tirée au clair, c’est qu’aucun pays sérieux ne prendra le Mali au sérieux.
    Le Mali d’ATT aurait croulé sou le poids de la cocaïne. Un cartel de la drogue nommé le Mali. L’auteur principal de la crise politique et sécuritaire majeure au Mali s’appelle Amadou Toumani Touré, alias ATT. C’est la cupidité de ce général de l’armée malienne, actuellement en fuite au Sénégal, qui est à la base de tous nos malheurs: commerce d’otages, trafic de drogue, complicité avec les groupes armés, corruption, sont, entre autres, les éléments déclencheurs de l’effondrement de l’Etat.
    A force de jouer avec la République, ATT a fait du Mali la risée du monde. Ce politicien de la vingt-cinquième heure a contribué à l’enrichissement illicite de nombreux acteurs actuels des milieux économico-financiers maliens, avec l’argent de la drogue. Faut-il procéder à leur dépollution systématique par un nettoyage général avec le balai de la justice, ou suffit-il simplement de faire recours au recyclage à travers un blanchiement fastidieux mais légal des ressources incriminées ? That is the question ! Dans tous les cas, l’Etat ne peut pas se soustraire à cette responsabilité managériale, s’il veut promouvoir la bonne gouvernance et lutter contre les crimes organisés et la délinquance financière. L’heure du bilan a sonné et on ose attendre de la justice que lumière soit faite et toutes les responsabilités situées.
    Avec un système d’oligarchie bien huilé et tentaculaire, le Président ATT était parvenu à mettre tous les acteurs politiques, la hiérarchie militaire, les cadres de l’administration et une grande partie des médias maliens dans son réseau nébuleux. C’est la raison de la levée de boucliers instantanée depuis que l’Etat a brandi l’éventualité du jugement d’ATT et de son clan. Pour sauver leurs têtes et protèger leur mentor contre le sabre de la justice malienne, ses inconditionnels n’ont pas lésiné sur les moyens pour distraire l’Etat. Ainsi, le clan des délinquants à col blanc se sentant menacé par le système IBK, qui fait de la lutte contre la corruption son cheval de bataille, a mis en branle des campagnes médiatiques très agressives contre le nouveau régime et ses dirigeants. Cette communication à outrance, adossée sur une stratégie bien pensée de victimisation, avait bien fonctionné jusqu’à un passé récent, mais elle a fini par perdre toute sa pertinence, du fait d’un phénomène normal de saturation. Ayant oublié de s’inscrire dans une dynamique temporelle bien maîtrisée, par incompétence ou sous l’effet de la peur, les animateurs de cette communication tout azimut ont fini par produire de la pollution médiatique qui entraîne immédiatement l’effet pervers d’un rejet instinctif et massif des argumentaires répétitifs de la part de la cible; représentée ici par l’opinion publique.
    Avec son système extrêmement pervers, ATT est parvenu à dribbler tout le monde avant de prendre la poudre d’escampette sous la furie de sa propre troupe trahie.
    Révelations: « Ami des voleurs et des victimes »
    En novembre 2009, lors d’une rencontre avec le commandant de l’Africom à Alger, le général Ward, le Président algérien, Abdelaziz Bouteflika, avait qualifié le Président ATT d’‘’ être l’ami des voleurs et des victimes en même temps’’
    Selon un document confidentiel, en plus du business juteux des otages, c’est dans le domaine du trafic de drogue que des relations étroites se sont tissées entre représentants de l’appareil de l’Etat, trafiquants et groupes armés.
    Pour preuve, ce document top secret révèle qu’en 2007, un gang de Touaregs convoyant une cargaison de cocaïne vers l’Egypte ou le Soudan, via le Maroc, s’était fait saisir la marchandise par une bande de la tribu arabe des Bérabich, pendant sa traversée du territoire mauritanien. Alors que l’affaire risquait de dégénérer en affrontements tribaux, un commandant de la SE de l’époque a joué le rôle d’intermédiaire entre les deux clans; obtenant que les Touaregs paient 30 millions de dinars algériens aux Bérabich pour récupérer leur cargaison. Selon la même source, le commandant en question serait intervenu sur instruction expresse du Directeur général de la SE.
    C’est en 2009, avec l’affaire ‘’Air Cocaïne’’ que la preuve de l’implication de l’ancien chef de l’Etat, ATT, dans le trafic de drogue, a été établie. Pour preuve, entre novembre 2009 et février 2010, au moins quatre atterrissages en territoire malien, d’avions bourrés de cocaïne, ont été autorisés par Koulouba. Le cas le plus médiatisé fut le Boeing 727 d’Air Cocaïne, calciné à Tarkint, au nord de Gao, après qu’on l’ait débarrassé de son contenu. Selon ce rapport accablant, en novembre 2009, c’est le maire de Tarkint, Baba Ould Cheick, les officiels de Gao, dont le maire Sadou Diallo, étaient présents pour accueillir les quelques tonnes de cocaïne qui furent toutes déchargées avant qu’on les fit prendre une destination inconnue. Ce Baba Ould Cheick aurait également été présent lors de l’atterrissage d’un avion cargo sur la piste de Mema, près de la localité de kita, à 76 km de Tombouctou, le 25 janvier 2010. Plusieurs tonnes de cocaïne ont été déchargées et il a fallu quatre rotations de six véhicules 4×4 pour transférer la drogue en un lieu non déterminé. Les véhicules auraient été escortés par des hommes d’AQMI lourdement armés. Cet émissaire d’ATT, Baba Ould, a accueilli un autre appareil à Ain In Esseri, prés de Tinzaoutin, le 9 février 2010. Mais le hic est que de tels atterrissages se seraient produits également au sud et à l’ouest du pays. En témoigne cet avion qui a déchargé, le 6 février, 4 tonnes de cocaïne prés de Kayes, en présence de plusieurs responsables locaux et de militaires basés à Nampala; ces derniers ayant même balisé la piste. Rien n’indique dans le document que ces commis de l’Etat étaient mis au parfum du contenu de l’appareil dont le lieu et les conditions d’atterrissage étaient, quand-même, plus que suspects.
    L’acte qui confirme que l’ancien président ATT était un narcotrafiquant de classe mondiale fut sa volonté de faire disparaître les traces du Boeing incendié de Tarkint. Selon ce document, la SE (Sécurité d’Etat) a bouclé la zone pendant trois semaines, après la découverte de l’épave, empêchant l’autorité nationale de l’aviation civile (ANAC) d’y accéder et interdisant à la brigade des stupéfiants de la police de procéder à une enquête. Une affaire qui en dit long sur les pratiques criminelles qui avaient cours au sommet de l’Etat. Comme si cela ne suffisait pas, Baba Ould allait encore faire parler de lui peu après, cette fois en tant qu’émissaire d’ATT auprès d’AQMI, afin de faire libérer un otage français, du nom de Pierre Camatte, suite à un chantage de déballage que le Président Sarkozy faisait peser sur les autorités maliennes. Le document n’informe pas sur le niveau d’information de Sarkozy par rapport à ces activités criminelles, encore moins s’il avait ou pas de quelconques intérêts directs ou indirects sur ce trafic de drogue de la dimension du cartel de Medellin.
    La plupart des suspects arrêtés ont été libérés sur ordre d’ATT; le cas de Mohamed Ould Awainatt, un narcotrafiquant de Gao, en est une parfaite illustration.
    Coopération entre l’Exécutif et le judiciaire: Revenir très vite à l’orthodoxie
    Ces quelques lignes sont des preuves tangibles de l’implication du régime d’ATT dans le trafic de drogue. Car, non seulement Amadou Toumani Touré était au courant, mais il prenait sa part. La conséquence la plus dangereuse de cette pratique criminelle réside dans le fait qu’aujourd’hui, ATT est parti, mais rares sont les officiers supérieurs de l’armée, les hommes politiques et les operateurs économiques actifs pendant cette période charnière, qui ne furent impliqués dans ce business criminel, tout en continuant aujourd’hui d’animer les activités économiques et politiques sur la scène nationale malienne. Nos enquêtes qui seront bientôt publiées, ont révélé que les secteurs des hydrocarbures, des infrastructures, du bâtiment, de l’enseignement privé et du transport routier sont les plus affectés par cette large et profonde contamination par le virus de la drogue.
    A la place d’une confrontation nécessairement nocive et contreproductive pour la République, préjudiciable et dangereuse pour la nation, une coopération entre les pouvoirs exécutif et judiciaire serait très utile et constructive pour purger de l’économie nationale les toxines que l’argent sale lui a inoculées et qui continuent de compromettre son dynamisme et sa bonne santé. A moins que la Justice ne décide du caractère licite de telles ressources financières à la suite d’une conduite jusqu’à terme de procédures régulières. La nation pourra en jouir de manière licite à travers le transfert légal d’une bonne partie de ces biens dans le patrimoine de l’Etat. Pour dire que, pour la sécurité des maliens, un terme doit être mis aux bisbilles récurrentes entre la chancellerie et le parquet, qui desservent aussi bien la République que le peuple.
    Parce que, vouloir instaurer une justice digne de ce nom dans ce pays sans les éclairages du Président ATT sur ces affaires, c’est organiser un gigantesque cirque pour distraire les maliens. La conséquence immédiate la plus grave si cette histoire n’est pas tirée au clair, c’est qu’aucun pays sérieux ne prendra le Mali au sérieux.
    Le Président de la République, Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, ainsi que tous les magistrats sont ici interpellés par rapport à la gravité de telles informations.
    A.B.D
    Source: L’Enquêteur du 10 mar 2014
    http://www.tamoudre.org/affaire-air-cocaine-att-dans-de-sales-draps/geostrategie/terrorisme-geostrategie/

  34. Le soutien au président IBK est un devoir pour tout bon Malien, car il est l’homme de la situation, il a fait tout ce qui est 0 son pouvoir pour le bonheur des Maliens. Le président IBK, est un président légitime et légalement élu avec 77,61% de voie, cela prouve que la population est avec lui. Depuis l’indépendance jusqu’à nos jours aucun président n’a eu un tel pourcentage lors des élections et n’a jamais été comme IBK dans son processus de Paix. Un pays comme le Mali a besoin d’un dirigeant comme IBK. Le Mali vivait dans cette crise depuis 20 ans, mais malgré tout cela IBK a fait tout ce qui est à son pouvoir pour que le pays ne tombe pas dans le KO. Il a réussis a trouvé une solution pour cela. L’accord du 20 juin 2015, a été un véritable moyen pour faire sortir le pays à la crise dont il était confronté.

  35. IL ne faut IBK et ses apatrides. Car dépuis qu’il est venu au pouvoir on ne cesse de voir ses réalisations. Alors en 2ans ce qu’il a fait il n’y a aucun président qui a fait cela d’abord.

  36. L’heure n’est plus encore de demander qui a fait quoi, il est nécessaire de se donner à l’union nationale et de construire ensemble ce pays. Dans une nation il faut que des erreurs se fassent, même une seul personne n’est parfait à plus forte raison un groupe des personnes.

  37. En ce qui concerne l’affaire des engrais dite frelaté, il est plus noble de laissé le rôle à la justice de faire son travail comme ça se doit.
    Sinon quand on se rappelle bien depuis que le président a entendu la nouvelle, il a coupé tout file de contact entre lui et son partissent Tréta qui en un moment est pointé du doigt.
    Mais il est important de comprendre que l’affaire des engrais a une origine très profonde, car ce sont la même qualité d’engrais qui ont été utilisé au Mali depuis les années 2002.

  38. Le Mali d’abord n’est pas un simple slogan mais une des soucis primordiaux du président IBK. De ce fait, il ne peut jamais cacher une telle atrocité. C’est de l’avenir du Mali qu’il s’agit.

  39. Unis nous pouvons.
    Vive le Rassemblement Pour le Mali
    Vive le Président Ibrahim Boubacar KEITA
    Vive le Mali.

  40. Le président n’est pas un magicien qui peut venir et changer notre vie à coût de baguette magique. Nous devons lui laisser le temps d’abord car tout le monde sait très bien comment était le pays. Il faut d’abord refaire la base d’abord.

  41. Le Président Ibrahim Boubacar a été élu à un score jamais réalisé au Mali avec plus de 77%. Avant lui, personne n’avait obtenu une marée humaine électorale. Peut-être, après lui, quelqu’un d’autre obtiendra difficilement un tel score de la part des maliens. Seulement, en guise de bilan à mi-parcours, c’est-à-dire, ce qu’il a réussi ou non au cours des deux ans passés à la tête de notre pays, la sagesse commande à la fois l’humilité et la retenue. Quoiqu’élu à un score jamais égalé ou plébiscité pour des amoureux de superlatifs, le Président Ibrahim Boubacar Keita, a hérité d’un pays anormal, un pays exsangue, un pays économiquement, socialement et financièrement à terre, des faits de l’invasion jihado-terroriste, de la gestion calamiteuse d’une junte ayant fait irruption sur la scène politique à
    la faveur de la gestion chaotique des affaires publiques d’un règne corrompu et mercantiliste.

  42. Fougariden voleur ventru ivrogne. Il n’a rien dans la tête .
    77% avec 900.000 ELECTEURS FICTIFS.
    – 1993-1994 ambassadeur en CI ;
    – 1994-2000 PM ;
    – 2002-2007 President de L’AN avec 25 MILLIONS/ MOIS
    – 2007-2012 Deputé
    – Avion achété/loué à 21 MILLIARD ;
    – Renovation maison à 10 MILLIARDS ;
    – 800 Moto De parade à 1 MILLIARD ;
    – 138 MILLIARDS Contrat d’habiilement millitaire avec CHAUSSETE, SAC DE COUCHAGE ;
    – 60 MILLIARDS d’engrais hors normes ;
    – Augmentation de 9 à 14 MILLIARDS budget pour payer des DAGADENS sur internet ;

    “SI TU MEURS POUR LE MALI , TU ES MORTS POUR RIEN “.
    ” NI I SARA MALIKO LA , I SARA FOU ” .
    **********************************************************************
    Gloire perpetuel à KLELA BABA. Que soit benit son nom, sa vie, sa source et sa lumière.
    Vive le GANJISME, vive la science universelle !

  43. IBK a besoin de tous ses fils et fille autour d’une même table. Alors remercions IBK et son gouvernement pour l’effort dans l’accord de la paix. IBK est un pionnier de la PAIX.

  44. Une RÉPUBLIQUE DES IRRESPONSABLES entamée le 19 novembre 1968,qui persiste malgré les événements du 26 mars 1991.
    QU’ALLAH SAUVE LE MALI!

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