Le Parlement européen a adopté ce jeudi une résolution concernant le Gabon et la crise post-électorale qui a suivi la présidentielle d’août 2016. Les députés ont condamné les violations des droits de l’homme. Ils ont aussi taclé le processus électoral en jugeant que les résultats de la présidentielle « manquaient de transparence » et étaient « extrêmement douteux ». Selon eux, la légitimité du président Bongo est même remise en cause. Les parlementaires ont donc demandé au Conseil européen de demander des explications à Libreville et de prendre éventuellement des sanctions. Un texte qui bien évidemment satisfait Jean Ping. L’opposant qui se considère toujours comme le président élu.
Depuis des mois, Jean Ping demande à la communauté internationale de prendre ses responsabilités. La résolution européenne remettant en cause la victoire d’Ali Bongo conforte donc l’opposant dans son combat : « La communauté internationale a affirmé que le vote a été en ma faveur. L’autre vérité vient maintenant d’être une vérité internationale. Le pas a été franchi clairement, c’est important ».
Jean Ping « très confiant »
La résolution n’est pas contraignante. Seul le Conseil européen peut lancer des consultations et prendre des sanctions. Mais pour Jean Ping, ces mesures de rétorsion seront prises tôt ou tard : « Je suis très confiant. Nous avons toujours été patients avec la communauté internationale. Et nous avons toujours demandé des sanctions ciblées. Elles prendront peut-être le temps qu’elles prendront, mais elles arriveront nécessairement ».
Pour autant, il ne faut pas attendre tout de la communauté internationale, dit Jean Ping. Il annonce donc une nouvelle étape dans son combat : « Nous prendrons toutes les dispositions pour faire respecter la volonté du peuple. Nous entreprendrons donc des rapports de force sur le terrain. Nous allons sortir. Nous allons défendre notre souveraineté. Le peuple se plaint parfois qu’il ne nous voit plus, qu’il ne nous entend plus. Nous ferons tout ce qu’il faut faire. Qu’il soit prêt pour ça ».
Conférence de presse
Jean Ping appelle-t-il à manifester ? L’opposant ne le dit pas. En tout cas, le gouvernement l’a déjà plusieurs fois menacé d’arrestation s’il tentait de déstabiliser le pays. Sollicité, le gouvernement a annoncé qu’une conférence de presse serait organisée ce vendredi 3 février et qu’une réponse serait apportée aux propos de Jean Ping.
Qu attend le président Ali bongo pour lancer un mandat d arrêt international contre cet autre imposteur,vendu?
Ou est l union africaine,qu attend l union africaine pour interpeller jean ping,le métis vietnamien,qu il arrête son cinema?
L union africaine à envoyé des experts pour le dénouement du contentieux, chacun doit se plier au résultat final,et c est Ali qui a été proclame vainqueur.
Que souhaite ce monsieur,un règlement éhonté à la gambienne?alors qu il trouve vite son Macky sall parmis les pays limitrophes du Gabon.
Que ce vietnamien aille se faire foutre,qu il laisse le peuple gabonais vivre en paix,il n apportera rien de plus à la vie des gabonais,promettre est facile,fzire rêver le peuple de lendemain meilleur est facile à dire.
On prie dieu que Trump vient casser cette union européenne, qui n est que le bras séculier et de torsion des colonisateurs membres de cette union.
Quant à vous ces disant journalistes Maliens je vous prie de vous occuper de la situation du Mali
Si vous devez vous mêlez des problème extérieurs d’un pays comme le Gabon remuez vos plumes mille fois avant d’écrire
Soyons séreux, que l’UE s’occupe de ses problèmes intérieurs au lieu de chercher à déstabiliser un pays souverain dotés de ses propres institutions
BASTA !!!!!!! Jean Ping, il est temps de déposer les armes.UE ne peut rien faire pour toi La présidence du Gabon n’était qu’un rêve, il est grand temps de réveiller.Les jeux sont faits depuis belle lurette.
Le chi-en abois la caravane passe.
Les amis de l’U.E de Jean Ping devraient lui conseiller d’aller se présenter aux élections en Chine, plutôt que casser les couilles à Ali Bongo. Pourquoi ces pédés de parlementaires ne condamnent-ils pas Idriss Déby qui a organisé la fraude la plus légale (il faut l’appeler ainsi) de toute l’histoire du Tchad, et Denis Bon Dieu N’Guesso, qui a mis tous ses opposants en prison, avant et après les élections, et qui continue de les persécuter. Il a gagné les élections dans des conditions qui ont laissée ces mêmes parlementaires stupéfiés. Et aujourd’hui, c’est à Ali Bongo qu’ils s’en prennent, parce que, estiment-ils, qu’il est le maillon faible des dinosaures d’Afrique Centrale. Ils se trompent, car tous se sont focalisés sur le recomptage des voix dans le fief de Bongo plutôt que dans celui de son opposant. Tout le monde s’est débrouillé à sa façon, mais si le Chinois s’est fait niquer, c’est son problème. Pourquoi, ces parlementeurs européens n’ont-ils pas rappelés au Chinois, son attitude en Côte d’Ivoire, lors du blocage post électorale, pendant lequel il s’est opposé catégoriquement au recomptage des voix, sous le prétexte fallacieux, qu’il était source d’instabilité et de tensions sociales. A son tour, pourquoi insiste t-il jusqu’à présent sur ce sujet qui selon lui même, est sources de division et de malheurs? L’U.E devra rappeler le Chinetoque à ses vieux souvenirs de Côte d’Ivoire pour clore définitivement cette page des élections au Gabon.
L’U.E, doit savoir, que le Gabon n’est pas un Etat de l’Union Européenne,L’ E.U ne gère pas le Gabon. Ce que l’U.E est train de faire au Gabon c’est l’ingérence, c’est œuvrer pour l’instabilité du Gabon. L’UE doit cesser de se comporte de la sorte. les systèmes: solaire, sanitaire, judiciaire, la mise en place des organes dirigeants des pays Africains, relèvent seulement et uniquement de la souveraineté des Etats Africains, l’U.E, Les Amériques doivent cesser de se mêler dans ces domaines…
la coopération, l’appui, la solidarité doivent exister entre les peuples du monde, mais les peuples doivent se respecter…
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