Du 13 au 15 avril 2012 à Ouagadougou, le médiateur de la Cédéao pour la résolution de la crise politico-militaire au Mali, le président du Faso, Blaise Compaoré, a présidé une réunion de concertation avec les représentants du CNRDRE, de la société civile et de la classe politique qui devrait aboutir à “une feuille de route consensuelle” pour “parachever la mise en œuvre” de l’accord politique conclu récemment avec la junte.
A l’ouverture de la rencontre samedi, le médiateur a rappelé qu’il “ne s’agit pas de faire le bilan du régime passé, mais plutôt d’aller de l’avant pour sortir vite de la crise, car ce qui se passe au Mali peut arriver dans tous les autres pays de la Cédéao surtout avec la présence de groupes armés dans le Nord qui mettent en péril la sous-région”.
Pour le président Compaoré, il s’agissait avant tout d’obtenir très rapidement “une feuille de route pour la transition et l’intervention militaire de la Cédéao pour rétablir l’intégrité du territoire du Mali”. Il a alors proposé aux différentes délégations ; à savoir : le CNRDRE, les regroupements politiques pro et anti-putschs (MP-22, Copam, FDR, APDS, Groupe IBK-2012, Association des cadres de soutien à Modibo Sidibé, le Collectif des ressortissants du Nord), les organisations de la société civile comme les représentants des confessions religieuses, les associations féminines pour la paix et la presse à travers la Maison de la presse et l’Assep, un plan de travail. La délégation de l’ancienne junte était conduite par Moussa Sinko Coulibaly, directeur de cabinet du chef des putschistes, le capitaine Amadou Sanogo.
Pendant plus de 12 h, le médiateur a écouté les propositions de sortie de crise des regroupements. La divergence a vu le jour autour de la continuation ou non de l’intérim du président Dioncounda Traoré et la durée de la transition. Les discussions et les conciliabules ont continué durant toute la nuit du samedi à dimanche pour permettre aux collaborateurs du président Compaoré avec en tête le ministre des Affaires étrangères du Faso, Yipéné Djibrill Bassolé de cerner les appréhensions des uns et les propositions des autres.
Leur synthèse a été alors soumise à la plénière qui a commencé en fin de matinée de dimanche pour se terminer en soirée après plusieurs heures parfois de houleuses disputes qui auraient voulu l’intervention éclairée des leaders des ordres religieux qui ont facilité la tâche de la médiation en mettant à sa disposition une synthèse des propositions de sortie des différents regroupements politiques et de la société civile.
Sous l’égide du président Blaise Compaoré qui a tenu à plusieurs reprises à rappeler que la communauté internationale et les partenaires techniques et financiers qui n’accepteront pas un “Etat d’exception” au Mali. Ce qui semble être encore le cas, car, aux dernières nouvelles les protagonistes n’étaient pas parvenus à un consensus pouvant accélérer le processus de sortie de crise. Il semblerait que le choix du Premier ministre appartient toujours aux signataires de l’accord-cadre (NDLR : CNRDRE et Cédéao). La validation de ce choix, qui doit se reposer sur des critères de compétence et d’unanimité de l’opinion nationale, appartient au président de la République par intérim, le Pr. Dioncounda Traoré. D’autres décisions importantes ont été prises pour déterminer la composition des organes de transition qui sont les suivants :
Georges Diallo
(Correspondance de Ouaga)
que les chefs religieux nous laissent respirer n’ont ils pas maudits ce pays à travers att les députés pendant au moins sur trois vendredis faire des prières contre ce pays pour un quelconque code de la famille il ya environ deux ans haram pas de blague avec les noms les plus exhaltés de dieu et du prophète (paix soit sur lui)ayez peur de dieu le groupe des profiteurs ont fait un tourisme à ouaga les vrais maliens honnêtent veulent autre chose que de se venger ces gens qui dorment dans des chateaux ne peuvent pas sauver ce pays certains gens préparent déjà leur place au conseil des ministres quel honte
Je parle en mon nom et je n ai aucun mandat
La liberté d opinion me permet de donner mon point de vue
Je n attends rien des hommes politiques ; les mêmes qui ont plongé ce beau pays dans cet état
Comment osent ils bloquer l avancée des débats pour une résolution de dédits majeurs que font faces les malins; pris en otage ?
Ils sont tous entrain de faire tout pour se repositionner et garder leurs rangs
S ils avaient bien gouverner, bien gérer les ressources de tous les maliens pour le bien être commun, il n y aurait pas eu de coup d état !
Après le coup d état qui est fait à cause ces mêmes mafieux ; il serait incompréhensible voire inacceptable qu ils reviennent comme rien n était; pour faire quoi ?
c est pou cela que je souhaite que le capitaine Sanogo, ses compagnons , les corps habillés et tous les maliens se mobilisent pour faire avancer les choses en disant stop, ça suffit pour cette classe politique
Il faut maintenant confier les destinées du pays à d autres hommes et femmes pour le bonheur commun
Merci à SE Compaoré, Bassolé et toutes les bonnes volontés qui accompagnent le Mali
Vive le Mali en paix pour que vive l Afrique unifiée
ON EN A ASSEZ MAINTENANT
Le prochain coup d’etat sera du MNLA ,donc il n’y aura meme plus de pays ou il faut faire les elections,vous les politiciens et l’armee vous nous en merdez maintenant ,vous ne pensez qu’a vous meme, pas au pays et a ses pauvres citoyens,maintenant on est pret a accepter ancardine,au moins eux ils ont une armee digne de ce nom,et les maliens seront de bons musulmans.
http://www.ipetitions.com/petition/non-a-la-negociation-avec-le-mnla
Faites savoir aux autorites maliennes que vous en avez marre des negociations unitiles et sans fins avec la rebellion. Signez cette petition pour vous faire entendre: Pas de negociation avec le MNLA qui ne controle rien sur le terrain.
IL Y A CERTAINES GUERRES QUI DOIVENT ETRE FAITES. SI CELLE CI A LAQUELLE NOUS SOMMES CONFRONTES EN EST UNE, ALORS NOUS LA FERONT….
Je serais tres content d’avoir ton contact mon frère. Combien de maliens ont cette vision . Notre pays me fait pitié. Souvent je me pose cette question si reellement nos leaders ont été a l’ecole. Et CEDEAO ne faire que dicter la position française. Blaise et Ouattara sont des pions français.
Monsieur OUSMANE DIANE
Dernière connexion : lundi 09 avril à 20h22
Modifier mon code d’accès
Sécurité
Me déconnecter
Accueil
Consulter
mes comptes
Effectuer
une opération
S’informer
SouscrireMes données
personnelles Contacter
ma banque
Mes comptes
Indicatif – N° de compte Nature Solde au 13 avril 2012
N° 04000 211087E Compte de dépôts 162,42 +
Mes informations
Aucun message
Les résultats d’une rencontre dépend de la qualité des participants. Le Mali est-il devenu depuis le 22 mars 2012 la Répubique des médiocres ? En tous cas la rencontre du Burkina, par la qualité de certains délégués, ne nous rassure pas quand à l’avenir de ce pays.
Quelle honte !!!
Que Dieu protège le Mali.
pourquoi ne ps discuter sur tout ca au mali? on a un president et l’enssemble nationnal est ouvert
ce sont les poignées de personnalité au tour d’une table a ouaga qui vont discuté de l’avenir des millions de malien????? je suis plus que jamais inquiet pour mon pays
ATTENTION Unisson nous pour combattre l’ennemis en commun (Mnla aqmi ansar dine)
Je suis en pleine crise d’hypertension (que Dieu vous garde et vous donne une bonne santé)car il m’a été donné d’assister de près au ridicule des maliens présents à cette rencontre de Ouagadougou. Tous les maux réunis :
1- notre pays annexé,
2- l’armée capitule sans combattre; lance un SOS;
3- le pays mis sous tutelle par manque “d’HOMME” au Mali;
4- la constitution malienne se discute au Burkina Faso ainsi que le choix du premier ministre. SVP laissez-moi mourir de cette hypertension!
Autant de situation individuelle que tout malien ne peut supporter. Et c’est dans ce contexte dramatique que “nos représentants” lors des rencontres au Burkina Faso n’ont pas jugé suffisant le niveau de bassesse et s’en sont donné à cœur joie de mettre l’intérêt du Mali en second plan en ne pensant qu’à leur jeu politique avec pour objectif immédiat des postes dans la transition, l’élimination de candidats gênant pour la présidentielle, fustiger l’armée et l’ancien régime (ATT), bref tout sauf l’essentiel pour le “vrai peuple” du Mali. On m’a enseigné que les peuples ont les dirigeants qu’ils méritent, j’en rajoute “ils ont également les situations qu’ils méritent. Corollaire.” Donnez-moi tord ou laissez-moi m’en aller.
NON mon amis je suis d’accord avec toi sur tout ces point,Reste en vie UNE CHOSE EST SUR LE MALI NE SERA PLUS COMME AVANT.
ATTENTION Unisson nous pour combattre l’ennemis en commun (Mnla aqmi ansar dine)
Pourquoi la délégation malienne s’est déplacée à Ouaga?Blaise doit accomplir sa tache ,il doit se déplacer au Mali .Je pense qu’il a peur d’un coup d’état chez lui.La classe politique malienne me fait honte,elle est immature ,opportuniste , égoïste ,faible , désorganisée.
-Un Oumar Mariko avec quelques partis politiques qui veulent un changement en essayant de faire des règlements de comptes.
-un soumaila Cissé qui voit rien au delà de sa petite personne ,il mobilise tous ses moyens pour barrer la route à tout processus aboutissant à un éventuel nettoyage “kokadjè” qui risque de mettre fin à sa carrière politique.
-Modibo Sidibé un franc-maçon qui était programmé par ATT et ses amis pour gagner l’élection fera tout pour enfoncer le Mali d’avantage que de se voir échouer .Il pense qu’il est surhomme ,trop égocentrique.
-les jeunes politiciens émergents comme Moussa Mara à cela s’ajoutent quelques honnètes personnes comme Dr SACKO Soumana ,Dr Cheick Modibo
Diarra ,IBK …qui sont perdus.Ils ont face à eux les trois premiers blocs qui sont presque des coquilles et le CNRDRE de l’autre coté .
Dans tout ça ,chaque jour qui passe le MNLA,Ançar Dine,Boko Haram ,AQMI renforcent leur position et la population du nord abandonnée à leur sort souffre de plus. Tan disque ces guignols sont à Ouaga dans les hôtels luxueux à palabrer sur des points qui ne sont pas prioritaires.Dommage !
Comments are closed.