Propos mémorables : Alpha Oumar Konaré (Président de la République Mai 1994)

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‘’ Il est de la responsabilité de l’Etat, de donner la preuve qu’il entend et qu’il est en mesure d’assurer la sécurité de toutes les personnes, à quelque groupe socio-ethnique qu’elles appartiennent, ainsi que la sécurité de leurs biens.

Il appartient aux Mouvements  de confirmer leurs engagements en faveur de la paix et de la sécurité.

Il leur appartient sans plus aucun retard, de contribuer à la lutte contre les actes de banditisme.

 Oumar Mariko, Secrétaire général SADI (1998)

« J’entends des gens dire, si Moussa Traoré avait, c’est-à-dire, accepté l’ouverture démocratique, le 26 Mars n’aurait pas eu lieu. Une chose est sûre : ceux qui le disent, n’ont pas compris qui soutenait le mouvement estudiantin ».

Choguel Maïga, Président du MPR (Mai 1999)

« Nous pensons qu’il est inadmissible sur le plan militaire, qu’on amène les matériels de l’armée malienne pour une telle mission (NDLR : mission de maintien de la paix en Sierra Léone). Car, nous comprenons difficilement une telle option ».

Djiguiba Kéïta dit PPR, PARENA : 2001

« Le Mali nouveau, ce n’est pas le MPR qui peut le bâtir, c’est nous, c’est à dire les autres, ceux qui ont combattu le système dont le MPR se réclame ».

 Feu Me Demba Diallo

« Aujourd’hui, Moussa Traoré peut se targuer d’avoir été trop bien traité par rapport à ce qu’il a réservé à ses adversaires et même à ses amis, morts dans les conditions que l’on sait à Taoudénit ».

Alpha O. Konaré Président de la République : 8 Juin 1992

« Nos frontières ne devraient plus être comme ces postes frontières, livrées aux seules forces de l’ordre, devenant à l’occasion, des forces de suspicion et de contrôle, ces zones où, l’on cherche à se faire peur, où l’on veut marquer les différences. Ces espaces ont le plus besoin de gestion commune, concertée, de gestion à la base, où, place devrait se faire à une participation et un contrôle populaire plus grand, à une mise en commun plus prononcée de nos potentialités, de nos capacités, à une revitalisation de notre fraternité ».

Sambi Touré, journaliste (Avril 2001)

“Le Mali est l’un des pays qui a le plus grand nombre d’organes dans la sous-région. Mais, le problème de cette presse, c’est la qualité, pour parler de professionnalisme”.

Ibrahim Boubacar Kéïta, ancien Premier Ministre (2000)

« Dans une prospective, mon frère Alpha Oumar Konaré et nous-même avons échangé. Nous avons estimé que le mois de Février qui me verrait dans ma 6ème année de gestion gouvernementale, sera une bonne date pour que je passe le relais. Je n’y ai vu aucun inconvénient ».

Professeur Yoro Diakité

« Les objectifs essentiels immédiats du 26 mars étaient l’instauration du multipartisme intégral et de la liberté pour les gouvernés de choisir leurs gouvernants. Ceux-ci ont été atteints. Mais, l’espoir populaire attendait un mieux vivre et surtout devenir maître de sa propre histoire. De cela, nous en sommes loin ».

Issé Doucouré, (avril 2001)

“Les nouvelles générations sont venues au syndicalisme, parce qu’il y a des grands parleurs. Et le peuple ne croit qu’à celui qui crie haut.

Ils n’ont aucune formation, aucune expérience. Ils sont uniquement guidés par le profit. C’est pourquoi aujourd’hui, l’UNTM n’est que l’ombre d’elle-même”.

Aminata Dramane Traoré, ministre de la culture (1999)

  “Mon foulard est l’expression de ma liberté. Je lui donne le volume et la forme qui me plait”.

Alpha O. Konaré Président de la République 1996

« La terre est l’héritage commun de tous. Nul ne se sauvera sans les autres ! Nul ne se sauvera sans l’Afrique ».

 

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