Avant-hier mardi 2 décembre 2014, la délégation gouvernementale aux pourparlers d’Alger a fait le point sur le document qui a sanctionné le 4ème round des négociations intitulé “Projet d’accord pour la paix et la réconciliation au Mali”. La conférence a été animée par les Ministres Mamadou Konaté de l’Action Humanitaire et de la Reconstruction des Régions du Nord, Ousmane Sy de la Décentralisation et de la Ville et Zahabi Ould Sidi Mohamed de la Réconciliation Nationale.
Les conférenciers ont affirmé que le présent document proposé par la médiation d’Alger respecte pour l’essentiel les lignes rouges tracées par le Président Ibrahim Boubacar Kéita et défendues par la population malienne. Ces points sont entre autres la défense de l’intégrité territoriale du Mali, de la forme républicaine, laïque, uniforme, unitaire et démocratique du Mali.
Pour la délégation malienne, le projet d’accord du 27 novembre 2014 constitue une avancée. Si l’on se fie aux propos des Ministres conférenciers qui ont animé ladite conférence de presse, le document prendrait en compte les préoccupations des Maliens. Ils affirment que nulle part dans le document il n’apparaît les aspects relatifs au fédéralisme et à l’autonomie. Ils soutiennent que le document à l’état actuel n’est pas encore un accord définitif et que des améliorations doivent y être apportées. Il reste à voir si la population, après analyse du contenu du document, le cautionnera.
L’on se rappelle que le premier document soumis à l’appréciation des Maliens (“Éléments pour un accord pour la paix et la réconciliation au Mali”) avait été largement critiqué. Plusieurs organisations ont même rejeté ledit document au motif que certaines parties portaient atteintes à l’intégrité du Mali ou favorisaient certaines régions au détriment des autres. C’est pour dire que le nouveau document intitulé “projet d’accord pour la paix et la réconciliation au Mali” bénéficiera d’une appréciation objective seulement après son analyse par les populations. Un préalable indispensable pour que l’accord définitif qui est attendu soit consensuel. Attendons de voir alors
Modibo KONÉ
Les négociations c’est de faire des concessions surtout que les rebelles n’ont rien eu ni indépendance ni autonomie ni fédéralisme.
C est une camisole de force qu on veut nous obliger a porter…
JAMAIS, JAMAIS…
Ces Vouyous doivent doivent au contraire presenter des excuses au peuple malien… qu on acceptera meme pas…avant qu ils ne soient juger et condamner…
Ibra, we have to be careful with what we wish for! Le document peut etre ameliore’!!!! JE DEMANDE TOUJOURS QU’ON MEDITE SUR SON ARTICLE 5! J’AI DES PROBLEMES AVEC 30% DU BUDGET POUR LES REGIONS! JE PREFERE QUE LES RESSOURCES AILLENT LA’ OU’ LES BESOINS EXISTENT (TOUT LE MALI)! IL FAUT DONC LES DISTRIBUER CORRECTEMENT!!! 50% DES FONCTIONNAIRES RESERVE’S AUX RESSORTISSANTS DU NORD?? SI LES AUTRES REGIONS APPLIQUENT LA MEME REGLE, LES NORDISTES SERONT PERDANTS!!!! SOYONS PRUDENTS ET EVITONS CERTAINES CHOSES QUI NE FONT QUE COMPLIQUER LA SITUATION! JE SUIS POUR QU’ON RENVOIE VISION20GAO ET KADY-GANDAKOY TRAVAILLER AU NORD! LES NORDISTES PEUVENT EGALEMENT PRENDRE AMI SOUROUNI. AVEC MISS ORTM NOUS TROUVERONS UNE NOUVELLE PREMIERE DAME POUR NOTRE COCHON! SBM EGALEMENT PEUT QUITTER NOTRE FASO. NOUS NE VOULONS PAS DE SON GROS NEZ!! LE PETIT FILS KARIM AUSSI DOIT QUITTER NOTRE FASO!
D’ici la’ je condamne ton ” …. soient juger et condamner…” car tu insultes la langue de Moliere! (rire)!!!
L'essentiel est que l'accord soit global et définitif. Les personnes réfugiées et déplacées comptent beaucoup sur les parties au dialogue pour tenir compte de toutes les spécificités afin qu'on ne parle plus de rébellions. Si non….rendez-vous les années à venir, que Dieu nous en garde !!!
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