Pour éviter à certains membres de l’Association des élèves et étudiants du Mali (Aeem) de prélever illégalement des sommes sur les bourses, les autorités scolaires ont bancarisé les opérations de paiement. Mais, le hic est que désormais, les files indiennes se forment dès 23 heures devant les guichets Ecobank. Pour ainsi dire, le calvaire des étudiants continue.
Au regard du calvaire interminable qu’ils endurent aujourd’hui, les étudiants réclament le retour à l’ancien système de paiement de leurs bourses. Car, selon certains d’entre eux, cette situation ne profitent qu’à ceux qui ont pris l’initiative de domicilier leurs maigres bourses à Ecobank. Ils se disent prêts à utiliser tous les moyens légaux pour que les autorités scolaires mettent fin à leurs souffrances. Ils vont même plus loin en se demandant si ces autorités scolaires et certains responsables d’Ecobank ne mangent dans la même «assiette»? Sinon, comment comprendre leur mutisme. Nous y reviendrons.
LASSANA
Va te faire foutre wy!!! Qu’est ce que tu en sais??????
Auncun étudiant n’a la capacité intellectuelle de remettre en cause le fonctionnement de la Banque. Cette banque a été sollicitée pour mettre fin aux sommes détournées par leur propre bureau de coordination ou bureau de fac. Si vous vous donnez la peine de lire le moratoire liant Ecobank et le gouvernement du Mali, vous saurez que la victime est surtout la banque
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