Nouvelle : Episode 2 : Elle cédait ses dessous à son pervers de beau frère

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Maladivement amoureux de la cousine de son épouse, sinon des rondeurs de celle – ci, MD avait fini devenir l’esclave de son satanique désir et des caprices d’une femme qui savait ce qu’elle voulait et ne lésinait sur aucun moyen pour atteindre ses objectifs. Convaincue du désir maladif que son beau frère éprouvait pour son corps, elle lui cédait ses dessous à 50. 000 F, l’unité. Il les mettait pour assouvir sa libido, et en tirait d’énormes plaisirs. Il resta longtemps esclave des rondeurs de Safy qui, de son côté, n’entendait plus s’arrêter en si bon chemin. Tant les fantasmes de son richissime et très généreux beau frère commençaient à faire leur effet, non seulement sur son corps et son esprit, mais aussi sur sa bourse débordante depuis d’espèce sonnant et trébuchant.

 

 

Safy, la vendeuse perverse de dessous à son pervers de beau frère, tenait ferme l’animal qui ne guettait que les absences de son épouse pour bander. Elle montait si bien la pression qu’elle finit par faire croire au pervers qu’elle ne voulait plus de ce jeu aussi humiliant que maudit, bien calculé, la coquine ! Car ce semblant de résistance le poussa davantage dans les bras de sa désormais satanique maîtresse dont la boulimie augmentait sans cesse. Waahou !!

 

 

Un jour, sachant son beau frère fortement enivré par ses déhanchements qu’elle accentuait  chaque jour un peu plus, Safy de retour du travail par une après midi chaude à provoquer à pluie, le trouva avec son épouse dans le salon, en train de suivre un match à la télévision. Après les samalecks qu’elle échangea avec ses tuteurs, et notamment sa sœur ainée, elle jeta son sac dans un coin avant de  s’affaler sur un sofa, juste en face du fauteuil dans lequel MD était assis. D’un subtil jeu de hanche, elle écarta négligemment ses longues et superbes jambes que trahissait une robe taillée dans un lin moulant tout son corps,  mettant en rébellion ses deux volumineuses et farouches mamelles qui faisait mine se s’échapper.

 

MD ne perdait rien  de la scène qui lui était proprement destinée, mais adressait une bonne blague à son épouse par rapport à la vie de nos sœurs qui aimaient-on ne sait pourquoi-les tailleurs européens. A son avis, ce n’est pas une bonne chose.

 

A suivre

Par Sory Haïdara

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